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Pédérastie catholique (1)

Je précise que moi-même je n'ai jamais été victime de pédérastes dans l'Eglise catholique, pas plus que dans l'Education nationale d'ailleurs, bien que j'en ai croisé quelques-uns dans ces deux institutions. Mon propos est donc dépassionné. Il faut commencer par dire que seul un imbécile pourra s'étonner qu'il y ait autant de pédérastes dans des institutions dédiées à la pédagogie, à quoi se cantonne l'Eglise catholique aujourd'hui désormais assez largement. Un séminariste homosexuel du diocèse d'Avignon a récemment témoigné dans un bouquin qu'il avait lui-même été harcelé au cours de ses études... par d'autres séminaristes homosexuels.

Trois points à mon sens à ne pas perdre de vue :

1. Le puritanisme et la pornographie, qui a toujours joué un rôle de "soupape" dans les régimes puritains (cf. l'approbation par C. Boutin de la proposition de réouverture de maisons closes !), sont très proches spirituellement : par leur incapacité à penser "par-delà bien et mal" d'abord, ensuite parce que ce sont des postures morales relatives l'une à l'autre et qui se succèdent au gré de la modernité-antimodernité (P. Bruckner, théoricien du libertinage soixante-huitard naguère, avec la diminution de ses capacités sexuelles fait désormais l'apologie de la famille, et Cohn-Bendit rend hommage à la baderne de Gaulle).

La démonstration de Marx à propos du christianisme allemand "pré-existentialiste", démonstration opposée à celle du "Gay savoir" de Nitche (Marx connaît les ressorts du paganisme contrairement à Nitche), peut être traduite ainsi : le christianisme véritable a été subverti et réduit à un socinianisme, c'est-à-dire un paganisme ordinaire, par le biais de l'introduction de valeurs familiales et politiques "romaines" par la théologie gnostique médiévale.

2. La pédagogie étant une matière peu éloignée de la pédérastie, surtout lorsque cette pédagogie prend une forme militaire, ce qui est souvent le cas dans un régime républicain (cf. l'exemple des hoplites spartiates), il faut être vigilant vis-à-vis des mères de famille qui jouent souvent un rôle éducatif excessif ; on ne peut isoler la pédérastie de Proust de sa vénération pour sa mère (cf. la doctrine lacanienne et "L'Origine du monde", qui s'invite dans le christianisme génital-boutiniste "via" la théologie de Fabrice Hadjadj comparant dieu à une vulve).

La revendication du mariage par le parti Gay, d'autant qu'elle est à titre symbolique, prouve l'attachement à l'ordre moral ou social d'une partie des "Gays", bien qu'on puisse penser qu'ils sont, ne serait-ce qu'à cause de  l'étroitesse de leurs idées, les premières victimes d'une société libérale qui carbure à l'érotisme et au plastique (J'aime prendre l'exemple du crétin académique Angelo Rinaldi qui pense que Francis Bacon est un meilleur peintre que Picasso parce que celui-là était pédé.)

Commentaires

  • "le christianisme véritable a été subverti et réduit à un socinianisme, c'est-à-dire un paganisme ordinaire, par le biais de l'introduction de valeurs familiales et politiques "romaines" par la théologie gnostique médiévale."

    Eclairant !

    "La revendication du mariage par le parti Gay, d'autant qu'elle est à titre symbolique, prouve l'attachement à l'ordre moral ou social d'une partie des "Gays"

    Le refus des sacrements républicains aux pédés et gouines fait partie intégrante de cette duplicité qu'on appelle, pour simplifier, "système". On tortille du cul tel des commerçants chinois pour avancer prudemment le cochonnet, on institue le pacs (ou le mariage plus laïcard que laïcard des gens pressés et modernes) afin de ne pas prononcer le mot fatidique, on fabrique des aménagements au droit de visite et j'en passe. Mais jamais, ô grand jamais, l'institution ne sera ébranlée. Et cette pudibonderie vient des clercs républicains avorteurs, couvrant les euthanasies en douce pratiqués au nom de la logique comptable du taux d'occupation des lits hospitaliers, et du sentiment de toute-puissance de certains toubibs.

    "il faut être vigilant vis-à-vis des mères de famille qui jouent souvent un rôle éducatif excessif"

    Le problème Lapin, c'est que dans les couples il y a de plus en plus de pédérastes; non pas sexuellement parlant, j'entends bien. Que faites-vous du gamin qui n'a d'autre choix qu'être élevé par sa mère ?
    Les vraies visées de l'éducation laïque, c'est Georges Fenech qui en parle le mieux, tout un programme.

  • - Sade est typiquement pédérastique sans être pour autant particulièrement attiré par le même sexe. Idem pour Robbe-Grillet, BHL, etc. Tout éloge du sado-masochisme comporte une part de pédérastie latente.
    Il faut voir la pédérastie comme la sexualité idéale dans le régime libéral/national-socialiste. Evidemment cette religion existentialiste est paradoxale puisqu'elle conduit, à terme, à l'autodestruction politique (que l'empire romain a déjà connue), alors que l'existentialisme est selon Marx un pur produit politique, une religion plus théocratique encore que l'islam ottoman ou le judaïsme ; il faudrait dire une religion "babylonienne", puisqu'on voit dans le prophète Daniel que les prêtres de Bel simulent un dieu, comme les libéraux font à travers différentes "personnalités morales".

    - Ce n'est pas qu'il y a de plus en plus de pédérastes dans les couples, c'est plutôt que celui-ci est entièrement pédérastique. Le christianisme médiéval ou l'islam aujourd'hui est beaucoup plus conscient du danger et il ne fait rien d'autre que de tenter de l'enrayer en voilant les femmes et en légiférant sur la famille. Pour un chrétien, le voile intégral est parfaitement légitime sur le plan politique et en droit. Aucun mari ou père ne peut être contraint par la loi d'exposer sa femme ou sa fille aux processus de marchandisation et de prostitution capitaliste.
    Cela dit je ne pense pas que le voile intégral soit une bonne tactique. Je connais un certain nombre de républicains honnêtes et athées, parfaitement lucides sur l'exploitation politicienne qui est en faite, et se rallieraient facilement aux musulmanes qui porteraient un voile équivalent à ceux portés au moyen âge et assez dissuasif vis-à-vis des pornocrates.

  • Je ne crois pas le régime actuel mondialisé "existentialiste" paré de s'éteindre de sitôt tant que Dieu n'y mettra pas bon ordre.
    - Parce-qu'il offre plus de commodités que de contraintes, et offre même l'illusion aux plus malins des prolétaires de pouvoir s'affranchir. Les bénéficiaires médians du système sont, eux, largement pourvus en joujous consuméristes, et tenus par les bourses via le crédit.
    - Parce-qu'à la prochaine "reprise", les cris outragés des politiques et des classes moyennes s'éteindront proportionnellement à ce que les placements apporteront comme gains.
    - Parce-que contrairement à Louis XVI, il ne fera pas l'erreur de faire rentrer le loup dans la bergerie, ou en l'ayant bien fagocité au préalable.
    - Parce-que l'éducation et l'élévation du niveau de vie sont concomitantes à la xénophobie sociale. On compte sur elle plus que sur bien d'autres facteurs pour maintenir l'ordre social, chaque classe sociale veillant jalousement à maintenir une discrimination avec celle disposée juste en dessous.
    - Sans parler du progrès technique, véritable religion, créant l'adhésion par la commodité utilitaire (comme le bouddhisme) qu'elle entraine et le nombre de clercs qu'elle forme chaque jour.

  • - Jésus a mis "bon ordre" à l'existentialisme en ressuscitant ; l'aspect satanique de l'existentialisme tient précisément à ce qu'il efface le fait de la résurrection. Sartre ou les nazis Heidegger et Arendt sont justifiés à se branler avec l'existentialisme ; un chrétien se condamne au néant : la prédestination janséniste ne mène nulle part ailleurs ; dans la résolution de ce problème de robinet et d'étranglement, Sartre s'est pas gouré, au moins.

    - Le chemin que Nitche a parcouru du christianisme libéral boche à son paganisme nazi ou romain (sous le signe du grand n'importe quoi par rapport à d'autres "romains", Montaigne par ex.) est la plus petite distance philosophique qu'on puisse parcourir.

    - Dans l'existentialisme, l'homme est le jouet du destin, et advienne que pourra. Jacques Duquesne peut nier l'existence du diable, tel prêcheur insane de l'"Opus Dei" à tête de linotte (D. Letourneau) s'en moquer... rira bien qui rira le dernier, et croyez-moi ce genre de factieux lèche-cul du Capital ne me fait en ce qui me concerne pas du tout rire.
    Dans le christianisme, l'homme est acteur de son salut et vainqueur du destin et de la mort. Je vous engage à faire plutôt confiance à Shakespeare qu'à des libéraux chrétiens comme R. Girard, imposteur de première bourre et qui croit révéler un "scoop" quand il dit que "Hamlet" n'est pas une pièce sur la vengeance. Ben mince, on s'en serait pas douté. Et puis Jésus ne s'est pas suicidé, mais Judas : ça non plus n'est pas vraiment un "scoop".

  • "Jésus à mis bon ordre à l'existentialisme en ressuscitant."

    Oui mais ce n'est pas fini. L'existentialisme n'est pas satanique en ce qu'il nie la résurrection mais en ce qu'il donne l'illusion à la nature humaine d'être sa propre sauveuse. La pire des diableries est l'ivresse de la révolution. Révolution passagère dont pense se prémunir le capitalisme scientiste par intelligence historique mais dont les mobiles sont eux-mêmes une révolution durable. Dieu seul est sauveur.
    Et les rieurs se payant la tête des eschatologues devraient voir la gueule de leurs slogans mystiques comme "l'univers est né par hasard". Le déterminisme étant probablement une de leur plus flagrante contradiction, confondant allègrement l'universel et le particulier.

    Sinon, je n'ai pas trop pigé le rapport avec R.Girard ni trouvé votre mail Lapin. Néanmoins, en farfouillant sur google, je suis tombé sur : xj***u@hotmail.com ? Est-ce ça ?

  • Je ne m'étais pas aperçu que nous étions aussi opposés. Je serais curieux de savoir si vous êtes musulman, juif ou chrétien ?
    C'est sûrement un catholique qui sera le mieux placé pour voir la racine janséniste de l'existentialisme d'une part, c'est-à-dire un christianisme ramené à un "ordre moral", et de l'autre à quoi tient le caractère spécifiquement satanique de l'existentialisme, qui a bien pour effet de nier la résurrection.
    Votre anathème contre les révolutions est trop général ; il en est de toutes sortes, parfois opposées dans l'esprit. Jésus est perçu d'une certaine façon par les Juifs comme un révolutionnaire ; de même seront perçus ensuite les premiers chrétiens par les païens romains.

    - En affirmant que le capitalisme est scientifique ou scientiste, vous ne faites que répéter les slogans capitalistes. Pour un marxiste comme moi, le capitalisme n'a RIEN d'une science, mais il a bien TOUT d'une religion au contraire, étant entendu que le darwinisme ne peut pas être pris scientifiquement au sérieux par un marxiste tant son aspect de science politique et morale physiocratique saute aux yeux (le principe de mutation issu de la chimie, par exemple, est un principe statistique) ; Simone Weil a dénoncé l'imposture de l'atomisme de Max Planck par ailleurs, évidente pour un matérialiste (atomisme que Claude Allègre défend avec une comparaison avec Jekyll et Hyde qui a franchement de quoi faire rigoler), etc.

    L'idée d'un "progrès durable" que vous défendez est une idée défendue largement par les penseurs des Lumières, dont aucun ne prône le mercantilisme généralisé et la "modernité" (parfaitement réversible en antimodernité comme toutes les idéologies temporelles). Observez que tous les penseurs capitalistes libéraux, à commencer par Jacques Attali dont la foi/raison est la mieux définie, font penser à Leibnitz-Pangloss, à la rigueur B. Pascal, penseurs précisément combattus par Voltaire (pas assez efficacement, mais ça c'est un autre problème).
    - Je citais Girard à bon escient parce qu'il tente avec sa gnose sur la "mimésis", exactement comme Freud ou Nitche, de subvertir la pensée de Shakespeare, non seulement étrangère au libéralisme chrétien, mais qui permet de comprendre le mécanisme satanique de la politisation du christianisme. Ce n'est pas par hasard que le XVIIe siècle a banni Shakespeare, mais en raison de l'arrêt de mort que celui-ci a prononcé contre l'idée maçonnique chrétienne qui s'est d'abord épanouie au XVIIe siècle avant de se passer complètement de dieu au XIXe siècle et de s'épanouir pleinement dans la polytechnique satanique.

    (Même la révolution prolétarienne nazie n'est pas complètement indifférente à la spiritualité, comme en attestent des philosophes nazis tels que Heidegger ou Arendt ; mais l'obsession politique et architecturale de la pensée nazie est beaucoup plus forte que celle de Voltaire. Encore une fois, LE NAZISME N'EST PAS UN LIBERALISME EXTRAORDINAIRE, contrairement à ce que la propagande libérale enseigne.)

  • "Je ne m'étais pas aperçu que nous étions aussi opposés. Je serais curieux de savoir si vous êtes musulman, juif ou chrétien ?"

    J'ignore si nous sommes si opposé que cela, je pense juste que vous vous méprenez en m'offrant parfois des références que, par méconnaissance, je ne comprends pas. Pour répondre à votre question, je suis chrétien.

    "Votre anathème contre les révolutions est trop général ; il en est de toutes sortes, parfois opposées dans l'esprit. Jésus est perçu d'une certaine façon par les Juifs comme un révolutionnaire ; de même seront perçus ensuite les premiers chrétiens par les païens romains."

    Le Christ n'était pas révolutionnaire, les révolutions sont faites par les hommes pour les hommes. Les gouvernements quels qu'ils soient causent, vivent et transpirent politique. Politique dont les chrétiens doivent se tenir éloignés. Dieu et son fils, à ceux témoins de leurs apparitions, n'inspirèrent d'abord que stupéfaction ; songez à Moïse devant le buisson ardent . Tandis que ceux surpris de la survenue des révolutions sont avant tout les victimes des épurations ou les tenants de l'autisme sociétal.
    La foi n'est pas une lance portée par les hommes sur le pavois appelant : un gouvernement à la guerre au nom du « bien » ; à bénir les bombardiers par des aumôniers, à invoquer la « guerre sainte « par des imams ; à justifier une xénophobie tribale faussement stoïcienne et véritablement suicidaire (donc satanique, le diable connaissant sa fin inéluctable) par des rabbins ou des chefs de guerre du monde entier. Relisez les 2 Corinthiens, chapitre 4, verset 7 à 10.

    « En affirmant que le capitalisme est scientifique ou scientiste, vous ne faites que répéter les slogans capitalistes. »

    J'affirme juste que depuis le XIXeme siècle, la science et le scientisme ont cessés d'être des moyens pour devenir des fins en soi, donc de nouvelles religions. L'éducation généralisée et obligatoire étant le lieu de formation des clercs avec différentes variantes de fanatisme, les écoles d'ingénieurs étant semblables à des madrasas où la psalmodie de st Darwin donne l'habitus nécessaire à être un "scientifique"  (je mets des guillemets pour vous éviter des bonds de lapin ) de notre temps. Si ce n'est pas déja fait, procurez-vous La Technique et la science comme idéologie d'Habermas, le chapitre VII devrait vous plaire.

    « le capitalisme n'a RIEN d'une science, mais il a bien TOUT d'une religion au contraire, étant entendu que le darwinisme ne peut pas être pris scientifiquement au sérieux par un marxiste tant son aspect de science politique et morale physiocratique saute aux yeux.

    Je ne dis pas le contraire Ce « pauvre » Claude Allègre croit au fétiche homo-sapiens si ça lui chante et apporte de la notoriété. Déjà sur l'amiante, il était risible mais révélateur, sa vision du progrès se résumant à contracter une maladie pour la soigner ensuite ; comme des enfants s'amusant aux autos miniatures et créant des accidents pour le plaisir de sortir l'ambulance et le camion de pompiers.

    « L'idée d'un "progrès durable" que vous défendez »

    ??

    « l'idée maçonnique chrétienne qui s'est d'abord épanouie au XVIIe siècle avant de se passer complètement de dieu au XIXe siècle et de s'épanouir pleinement dans la polytechnique satanique. »

    « Polytechnique satanique », c'était ma vision du « scientisme » Lapin mais vous formulez mieux que moi.

  • - Ma question sur votre confession n'avait pas pour but de vous offenser, que ça soit bien clair. Vous savez que je considère l'évêque de Rome actuel comme étranger au christianisme, ne serait-ce que par ses références à une philosophie germanique, non seulement païenne, mais ouvertement athée (la seule logique chrétienne là-dedans étant que cet athéisme est de fait spécifiquement chrétien : on n'est pas loin d'Ubu-pape et de Luc Ferry, faux-cul de première classe).

    - Je suis bien sûr d'accord avec vous sur le point que la politique porte la marque du diable dans le Nouveau Testament, plus nettement encore que dans l'Ancien. C'est bien tout le mérite de Marx et Engels de l'avoir remis en lumière.
    A travers Shakespeare on peut comprendre le problème du révolutionnaire, dans le parallèle qu'il a dessiné entre Brutus et Hamlet, la révolte du premier étant politique, typiquement païenne, celle d'Hamlet étant une révolte de la vérité contre le mensonge politique, religieux, scolastique, symbolisé par Gertrude, Claudius, Polonius, Rosencrantz, Guildenstern...
    Là où je veux en venir c'est que dans la plupart des révolutions, y compris la révolution française, le double aspect "politique" et "scientifique" est présent, non pas le seul aspect "politique" que vous condamnez à juste titre. Autrement dit cela participe de la propagande politique de faire croire que la révolution française oppose un parti chrétien à un parti athée.
    - Notre opposition est simplement de langage : je suis d'accord avec Marx que seule la science est véritablement "révolutionnaire". Ou Shakespeare qui montre que la révolution politique tentée par Brutus, aussi bien intentionnée soit-elle, aboutit au "statu quo" ante. Je ne fais qu'essayer de vous convaincre que Marx est beaucoup plus proche du sens véritable de Shakespeare qu'un imposteur libéral comme R. Girard, qui essaie de l'occulter, exactement comme Freud ou Nitche.

  • En résumé : la vérité vaincra la politique et ses principes sataniques est un leitmotiv shakespearien ; on le retrouve en filigrane dans la science de François Bacon Verulam qui a pris pour blason un glaive tranchant une croix, symbole éminement païen, non seulement romain mais babylonien, "signe indien", bien sûr, mais aussi de la polytechnique baroque.
    Le glaive est fourni par le Christ ; il est "entre le père et le fils" comme vous savez : tout un programme révolutionnaire antipolitique qui explique sans doute en grande partie l'ambiguïté qu'on prête à Bacon.

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