Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Rage on Pain

    "One good thing about music, when it hit you feel no pain." said Robert Marley. My favourite music is both Robert Marley's and German middle-age folk music, although I hate Mozart or the Rolling Stones for paederastic people out of Harvard or any kind of Business School.

    In the Satanic High School or Church I do prefer Adolf Hitler. Black who want to be White are the same than White who want to be Black. United Coloured Bastards.

    I am not against a few old Portuguese songs too.

    Of course Marley is wrong: there is pain in music, that you can turn in rage against the machine, but pain although. Music is alcohol or drug that you do not take if you have no pain. I am thinking about my friend Rastaman from Jamaica who is dreamin' about being Leonardo but cannot because of German beer and French wine.

    Before Robert Marley same idea of peaceful music was in Middle Age Monk's head. But what did he do against the Mechanics? Nothing.

     

  • Divided Kingdom of Satan

     

    poundmussolini.gif

     

     

    There is probably just one Point where a French guy can make peace with one US guy (I am not talking about French Suckers who are dreaming about US-Dollars of course but about those who know the true History of the bombing of Normandy by the US-Air Force; or the intolerable weakness of US-Girls that makes the coupling between a French guy and an US-girl impossible -except if this French guy is Gay.)

    Point of peace is the common hate of Great-Britain. Good point in Christianity when it is not ruled by almost female is that the hate of every nation is encouraged! Gospels should be prohibited as much as Marxism in the US Nation if common US-people would be able to read.

    Hate of Great-Britain, ruled by Shylock, that betrayed Shakespeare. Always the same (the sole?) example of Ezra Pound who came to England, thinking that Englishmen would be interested in... Art! Man, Englishmen are only interested in motherfucking. Between smart Evelyn Waugh and Ezra Pound, both praising Mussolini as an honest capitalist (an example for Barack Obama, even if it is difficult to imagine Pound or Mussolini in Harvard), I am choosing Pound. There is no excuse when you are from the Country of Bacon and Shakespeare.

  • No Sexy Girl

    La seule femme que j'ai jamais aimée d'un amour pur, sans l'ombre d'une haine ni jamais la toucher, comme ces moines-puceaux amoureux transis du moyen âge, non loin de la damnation par le fait même, c'est une mère de famille humiliée, je soupçonne même rossée, abandonnée par plusieurs hommes successifs. La peau très blanche ayant souffert plus nettement de l'attentat du temps. Il me semble que mon père aussi l'aime bien : quelle pédérastie ! Mère de plusieurs enfants, dont plusieurs des pauvres lambeaux de chairs, à peine traversés par l'esprit : des poèmes ratés.

    Et pourtant jamais, JAMAIS je n'ai entendu cette femme proférer une parole féministe, verser dans l'aigreur, la pose d'Alceste où le premier petit ou gros épargnant en manque de liquidités tombe immanquablement !

    J'avoue, moi qui manque de courage à côté, que j'ai guetté une plainte de cette sainte, un reproche contre dieu, les hommes, la société... mais rien, que dalle ! D'une intelligence hors norme avec ça, pas le genre à croire au destin. A côté d'elle, la cohorte des grenouilles de bénitier au premier rang pour applaudir le pape : "Viva el Papa !", ou des culs bien roses et bien attractifs, mais sans plus.

    Mais je me trompe sans doute lourdement sur son compte : pas d'une sainte, seulement une combattante hors norme, un tempérament d'acier bien trempé, auquel se doit comparer quiconque à la prétention d'être un homme et non un fonctionnaire ou un courtier en assurances. Grâce soit rendue à cette femme unique ! Je pense à elle plus qu'à ma mère ou un quelconque substitut du même style quand j'ai besoin d'être galvanisé dans la bataille contre les chiens capitalistes.