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Orwell et la "crise sanitaire"

Article corrigé (4 févr. 2022) sous forme de fichier pdf à lire ici.

Commentaires

  • On dirait un résumé de ce blog voire un testament non ? Il est vrai que la situation peut brutalement s'aggraver (et je pense surtout aux prix de la nourriture) et que c'est peut-être le dernier billet de ce blog. Bon, j’espère en tout cas que vous avez quelques réserves.

    "En montrant cela, G. Orwell souligne l’emprise psychologique très large du totalitarisme, comme une sorte de connexion électrique reliant les citoyens à une source d’énergie commune."
    Quand on sait que le vaccin produit un champ magnétique (véridique, mettez juste un magnet de frigo sur l'endroit ou on à injecté) et que le corps humain produit de l’électricité, cette métaphore va sans doute devenir réelle !

    Sinon, le livre de Goldstein est assez révélateur en plus ce que vous avez déjà dit, on a déjà le précurseur du confinement (pour des buts économiques) et le parti unique qui est secret dans les "démocraties" (et il cite explicitement le Grand Orient de France).

    Malgré tout, ce système finira par s'effondrer d'une part à cause du temps qui finit par révéler ce totalitarisme dans toute son horreur et d'autre part à cause de l'avidité de cette élite qui n'a rien d'autre comme "religiosité" que l'argent, le pouvoir, le sexe, etc. puisque l'idéologie n'est là que pour soumettre les masses et, fatalement, cette élite tombera, dévorée par l'hybris.

  • Ce n'est pas un testament, plutôt une parenthèse.
    "1984" ne me paraît pas une satirique aussi pessimiste qu'on l'entend parfois dire. Bien sûr, dans la culture totalitaire où nous baignons, l'optimisme et l'intelligence artificielle sont de rigueur et Orwell plus ou moins "tabou" ; mais sa fable souligne aussi la fragilité des régimes totalitaires qui reposent sur des mensonges grossiers et des réflexes.

    - Du point de vue athée qui est celui de Georges Orwell, la "Vérité" n'est pas "Dieu", comme pour un chrétien, mais elle est néanmoins extérieure à l'homme, essentiellement ignorant, progressant petit à petit vers la connaissance. La Vérité est pour Orwell ce qu'elle était pour Marx et pour les Lumières auparavant.
    Cet appui du totalitarisme sur le mensonge, c'est-à-dire des règles définies par des intellectuels jouant le rôle de prêtres (sociologie, économie, statistiques) est donc pour Orwell assez énigmatique. La démocratie-chrétienne, le communisme et le nazisme (dans l'ordre de dangerosité) sont des civilisations absurdes, dont les objectifs affichés sont complètement mystiques : l'égalitarisme, la domination de la race aryenne... tous ces objectifs ne valent pas mieux que la sociologie, l'économie ou les statistiques.
    Le goût de l'homme pour le mensonge n'a pas de quoi de surprendre en revanche un chrétien, ni même que la démocratie-chétienne soit satanique. Shakespeare nous montre l'isolement d'Hamlet dès lors qu'il décide de s'intéresser à la vérité, après avoir compris que le royaume de Danemark (métaphore de l'Occident tout entier) repose sur un mensonge politico-religieux, une mésalliance de l'Eglise avec le pouvoir politique.

  • Ouaich frère, ni trop court ni trop long ton billet! je verrais pas le centenaire de ce bouquin (1984) ni même peut-être la fin de cette parenthèse du Lapin, mais laisse moi te dire qu'il n"y a rien à jeter ni à rajouter.
    Me demande si 144 000 existe vraiment; en tous cas plus de trace du Robot qu'a dû aller passer sa colère ailleurs (sur ses gnards sans doute, faute de pouvoir corriger sa bergère, ou sur les gnards des autres à l'EN, va savoir!)
    Ce que j'en dis... comment dit Bacon déjà? ha oui infirmité de but, le science sans conscience de de Rabelais? ou bien c'est Montaigne, l'accoucheur de souris?
    Les coup de tête dans le mur de l'absurde humanité semblent se faire de plus en plus violent (de plus en plus de cadavre) 1ère puis seconde guerre mondiale, me rappelle plus le score exact mais ce fut pas de la gnognotte, des millions et des millions de petits bonhomme partis en tout petits morceaux qu'on en aurait fait des puzzles pour occuper leurs veuves les soirs d'hiver entre deux crises, deux hoquets du Capital! Mais les veuves se consolent vite à petits coup de porto ou d'entre-deux-mers! et c'est reparti pour un tour, et re un tour, et encore un tour, bref, l'éternel retour, sans fin apparente ni souhaitable parce que le temps semble être aboli. L'histoire repasse-t-elle les plats? les mêmes plats? Et si il y avait déjà eu des centaines d'histoires, ça n'empêchera pas la nôtre, celle qui commence avec Grecs Egyptiens et juifs, ou à l'Orient des dynasties de Bridés bouddhistes bien gentils et propres sur eux, la guillotine portable à porté de main et une parole très poétique scandée musicale et si joliment calligraphiée qu'on devait en mourir d'extase avant même de sentir la lame du sabre atteindre la moelle épinière, l'esprit. Une langue inarticulée en somme.
    Pourquoi il me vient soudain ce passage de Paul?
    "Car la parole de Dieu est vivante, agissante, plus acérée qu'aucune épée à deux tranchants ; elle pénètre jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles [ ..]

  • Une chose, entre autres et pas des moindres, la petite bête Covid en écueil qu' a rencontré le Titanic, programmé qu'il était pour ce faire, j'aurais pas mieux dit!

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