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statistique

  • Orwell et la "crise sanitaire"

    Article corrigé (4 févr. 2022) sous forme de fichier pdf à lire ici.

  • Mondanités

    Une journaliste, dont le blaze fait supposer l'imbécillité, démontre à l'aide de quelques chiffres que le monde n'a jamais été meilleur qu'aujourd'hui.

    Sans calculs, mais avec un peu d'observation, on devine au rire d'Einstein que la science statistique est une science mondaine.

    Par ailleurs l'écrivaine Amélie Nothomb déclare que son bonheur, aussi grand soit-il, est altéré par la crainte de ne pas rester indéfiniment heureuse : pauvre petite fille riche. 

  • Climat écolo

    La doxa écologiste ne va pas moins à l'encontre du christianisme que le capitalisme. L'écologisme n'est en effet qu'un raisonnement alternatif sur le mode du raisonnement spéculatif capitaliste, aussi inepte sur le plan économique.

    Face à la faillite du système de rackett financier, on a pu voir le baron Serpillère de Wendel retourner sa veste et réclamer des subsides directement de l'Etat, faire preuve d'un pragmatisme en bronze. A-t-il modifié le cours du capitalisme pour autant ?

    Il y a beau temps que Marx a relevé que le courant idéologique libéral est de type alternatif. Capable de prouver l'existence de Dieu aussi bien que celle du Néant, en fonction des circonstances. A l'écart de la science puisqu'il s'agit d'un procès rhétorique.

    Des alternances du type "croissance-décroissance", le capitalisme en a connu et fait subir d'ailleurs plusieurs déjà, sans s'écarter jamais de sa résolution ultime : la guerre.

    En matière de climat c'est le même brouillard scientifique du côté écolo comme du côté capitaliste. Des deux côtés on gobe la théorie du battement d'aile de papillon, dont Claude Allègre use d'ailleurs habilement à la télé pour saper l'argumentation du parti opposé, sachant pertinement le rôle de bourrage de crâne que jouent les médiats, et que celui qui s'en servira le mieux sera le plus grand savant.

    La théorie revient à projeter sur la nature un modèle "f(x)" dans lequel "x" n'est qu'un reflet statistique de la nature elle-même, suivant la technique dite du "morphing" ou de l'anamorphose, gadget qui n'a rien de scientifique mais traduit la même croyance superstitieuse dans le hasard que celle de Sganarelle dans le moine bourru.

    De part et d'autre le même mensonge statistique, donc, au service d'une morale laïque complètement grotesque ; une morale qui consiste à voir dans l'homme une sorte de gestionnaire du cosmos, lui-même configuré à l'échelle des préjugés animistes de la pseudo-science laïque.

    Un climat d'apocalypse, en somme.