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  • Pièges de la Femme

    On vous dit et répète que "l'heure de la femme" est venue, ou que "le sexe faible est devenu fort". On vous prend pour les derniers des cons. Comprenez : "L'heure de l'objet est venu."

    Depuis toujours la femme se confond avec l'objet, et l'ustensile avec la femme. Ustensile plus ou moins noble, protégé de la convoitise du voisin par le voile, soumis aux transactions libérales dans les vitrines de Paris ou New York.

    La quête nazie de l'identité tend à semblable négation de soiLentement mais sûrement, la pornographie libérale nous entraîne du crime organisé vers l'explosion macabre. Les serpents démocrates-chrétiens, marqués du signe de la croix, seront alors les premiers étouffés par leurs langues.


  • Apocalypse Now

    Contrarily to Mayas and their solar system and religion, Christian Revelation is not future but present. Here and now human flesh is only trying to survive, or against natural cupidity looks for the Salvation. Past and Future are therapeutic, Christianity do not.

    Contrarily to pagan people, christian people have no destiny; if they had, so they would be a cross, that is destiny. Christian people have no future, no past and no time to dream now.

    Human people who do live in the future: 1/ Are very often women; 2/ Are dead already, but acting as machines, think as Dutch Descartes did, whose natural philosophy is one of the stupidest, not far away from Galileo, who was still believing in the pagan purgatory two centuries after Dante because of mathematics! A middle age man in the Renaissance!

    Surviving is dying slowly and is less reasonable than suicide says Italian Leopardi, as wise than Galileo is stupid.

     

  • Apocalypse et Economie

    On peut dire les femmes des personnes "économiques" et le féminisme a pour équivalent "l'obsession économique". Les femmes pourraient prétendre au titre de "victimes de la société", si elles n'étaient aussi habituellement masochistes.

    Dans la conscience ou la responsabilité chrétienne, ennemie de la civilisation, n'agissant pas contre elle, mais pensant contre de toutes ses forces, afin qu'advienne la vérité, cette tendance économique ou masochiste coïncide avec le tableau de l'apocalypse représentant l'Eglise comme une putain.

    Cette image contraste de façon étonnante avec l'image idéalisée qu'on peut s'en faire. Ainsi qu'avec l'idolâtrie en vigueur dans les sectes, et qui revient comme le fonctionnaire à s'incliner devant un Etat, une personne morale qui n'est rien.

    L'apôtre Jean est le premier étonné. Il n'a pas le pouvoir de Moïse de tancer ses corréligionnaires prosternés devant le veau d'or rassurant (comme toutes les idoles ou personnes morales). Le défaut de pouvoir de Dieu dans l'histoire chrétienne laisse le champ d'autant plus ouvert à celui de Satan, grand manipulateur à l'aide de l'espace-temps et du hasard. Surprenant pour un juif, le débordement de la puissance publique ne l'est pas pour le chrétien a qui le Christ a donné l'arme de l'esprit et le don de confondre les démons.

    Comme bien sûr l'économie traduit la cupidité ou l'érotisme, cela indique aussi au chrétien que la fin du monde ressemble à son origine, quand il prit à Adam et Eve au jardin d'Eden l'envie d'imiter le singe, fondant ainsi l'économie libérale. La "pourriture du Danemark" selon Bacon alias Shakespeare, renvoie au mythe d'Adam et Eve et au fruit défendu. 

  • Apocalypse Now

    Contrairement à celle des Mayas, l'apocalypse du Christ n'est pas future, mais actuelle. Ici et maintenant la livre de chair humaine tente seulement de survivre, ou bien contre la cupidité naturelle cherche la voie du salut. Contrairement aux païens, le chrétien n'a pas de destin, donc ni futur, ni passé, ni loisir de rêver à présent.

    L'homme qui vit dans le futur : 1/ Est souvent une femme ; 2/ Est déjà mort, agissant comme un automate, pensant comme Descartes.

    Ô combien symbolique la corde de Judas, puisqu'elle signifie aussi le langage, la cravate du fonctionnaire.

  • Facebook of Honor

    Did you notice that 'Facebook' is nothing else than a Cemetary? (Not far away from Mormon's registers of dead people.)

    This was good job from British Writter Evelyn Waugh to make a tale about USA, 'The Beloved One', mixing cemetery, i.e. death and love/sex. This was a good way for E. Waugh to demonstrate that US-Christianity is entirely fake, and as we know, inspirated by Egyptian. 'Facebook' is a kind of Pyramid and Zuckerberg a Pharao. Nobody can die on 'Facebook', because most of the people on it and their relationships are already dead.

    But E. Waugh did not made this demonstration; he did continue himself to believe that he was 'Catholic'. Understanding is nothing. You can understand God is something great and that does not make something of you. That's why for Christian faith is not in God but in Salvation (contrarily to Egyptians).

    Good understanding of E. Waugh of what American Dream was made of, comes from the fact he is himself underground and obsessed by Sex and Love. He wants them in Christianity, though they are not.

  • De Babylone à Matrix

    (MAJ)

    Babylone ou Babel est un vieux symbole de l'oppression. Il indique son caractère systématique ou mathématique. Contre le discours nazi ou conservateur, il est important de comprendre que l'architecture n'est pas un art "réaliste", mais l'axe essentiel d'une anthropologie menant à la folie. Les livres n'ont pas tous été brûlés ou interdits, comme dans la fable d'Orwell, mais le clergé a imposé aux masses la seule littérature thérapeutique ou virtuelle, destinée comme l'alcool à entretenir le moral des troupes, ainsi qu'un état d'inconscience permanent, y compris en état de veille.

    L'étude de "l'inconscient" comme une chose réelle, dans une société libérale composée surtout d'irresponsables (d'acteurs) est du plus haut comique, et la présence d'experts psychiatriques dans les tribunaux une mascarade (Contrairement à ce qui est généralement avancé pour défendre cette tartufferie, le but premier de l'expert-psychiatre n'est pas de disculper le prévenu mais la société elle-même.)

    La chose est d'autant plus flagrante, s'agissant d'oeuvres ou d'artistes dont le propos est tout sauf virtuel, et qui sont réduits au "style" ; Shakespeare en premier lieu, transformé en énigme par les universitaires libéraux ; L.-F. Céline dernièrement. Non pas sous l'effet d'un complot positif, bien qu'il faut rappeler que la politique est essentiellement un complot, mais comme F. Bacon ou Shakespeare l'a bien vu (cf. "Hamlet"), sous les effets conjugués de la lâcheté des élites civiles et religieuses, d'une part, et d'autre part de l'aspiration toujours plus puissante de la société à s'organiser à mesure qu'elle croît, devenant ainsi de plus en plus "quantique", c'est-à-dire bête.

    Il y a donc bien dans le nationalisme à l'échelle mondiale et ses apôtres les plus biscornus (J. Attali), une absurdité et un paradoxe de nature religieuse. On est parfois frappé de l'imbécillité particulière des artistes ou prétendus savants mis en vedette par les médias. Nitche, lui-même largement décadent pour quelqu'un qui rêve d'avoir une érection, le dit lui-même : la vérité n'est pas bonne pour la civilisation. Ainsi la sélection naturelle se fait des intellectuels les plus serviles, imbéciles ou rusés. En ce qui me concerne, mon exemple préféré est celui de Jean-Didier Vincent, spécialiste de la psychologie des chats et de l'éducation sexuelle des filles prépubères, et son : "Il faut en finir avec Eschyle !"

    +

    Le symbole de Babylone a été rajeuni ou restauré récemment par le terme de "matrice". Il n'est pas sans évoquer le cri de vengeance des sauvageons des banlieues : "Nique ta mère !", perspicace par sa façon de désigner le caractère maternel du pouvoir et de l'oppression moderne. Les membres du "Tea Party" yankee ultra-libéral, qui dénoncent l'ingérence de l'Etat dans tous les domaines n'y songent même pas ; pas plus que les soi-disant anarchistes français ne distinguent l'aspect ultra-sécuritaire de l'économie capitaliste. "Travailler plus pour gagner plus" : est un slogan typique de l'asservissement de type totalitaire, car c'est une simple promesse, un mirage.

    Précisons ici que le culte identitaire, caractéristique aussi d'un régime totalitaire (à des fins d'intimidation et de mobilisation par les élites des "sans-droits"), se heurte physiquement au genre masculin, moins apte à s'identifier à un principe essentiellement féminin. On peut le dire autrement : l'identité est un principe trop religieux ou trop abstrait pour un homme, moins disposé physiquement à l'anéantissement et au sacrifice. Une manière de mieux saisir le caractère totalitaire du discours identitaire est de comprendre qu'un cadavre est l'incarnation la plus réaliste d'un individu en tant qu'"identité". La croix est un symbole identitaire puissant, et on comprend qu'elle soit appréciée dans les cultes macabres, en même temps que des symboles opposés, exprimant au contraire le vitalisme, phallique ou sanguin (serpent, pyramide, dollar, etc.)

    Bien que je n'ai pas été élevé en banlieue, en tant qu'homme j'ai la même réaction qui consiste à voir dans la police une personne morale féminine qui cherche à m'imposer ses quatre volontés.

    Comment imposer à ceux qui n'ont pas de patrimoine le respect d'une autorité, dont la seule légitimité est la défense du patrimoine ? La République n'a pas de réponse à ça. Elle doit donc passer par un culte ésotérique et des promesses électorales, constitutifs d'un viol de la conscience. Ajoutons à ça que le trafic de drogue est la police républicaine la plus efficace dans les banlieues. Ses bénéfices contribuent à l'enrichissement de l'Etat et au maintien du respect des valeurs républicaines.

    +

    Dans la littérature, il faut encore penser à "Hamlet", où la mère du héros contre qui les puissances sataniques se déchaînent, et qui ne recours qu'à la seule force de l'Esprit, la reine Gertrude représente une telle matrice. La matrice, et en même temps l'Eglise. Cela tient à la connaissance du tragédien de la représentation traditionnelle dans les mythologies antique, juive ou chrétienne, du pouvoir d'oppression sous la forme d'une divinité féminine. L'idolâtrie de la Vierge Marie, à quoi se résume désormais le christianisme libéral, n'est pas un phénomène nouveau. Dans cette pièce comme dans d'autres, Shakespeare pose les jalons d'une théologie à la fois plus imagée et plus savante que celle de Dante ou Luther précédemment.

     Shakespeare n'entend pas seulement combattre un culte païen idolâtre, sous couvert de dévotion chrétienne, mais il souligne que le mythe de matrix a un sens très profond et universel, qui répond au mythe d'Adam et Eve. Le fait est que le culte républicain est un culte matriciel restauré, et qu'il a été restauré par les institutions chrétiennes. 

    Shakespeare-Bacon a en outre fait d'Hamlet, dans lequel on le reconnaît sans peine à ses nombreuses références à saint Paul et à Démocrite, le pendant du prophète Daniel, sachant que le Christ descend des prophètes juifs et non de la loi juive.

    Ce qui nous ramène à Babylone. Quand celle-ci se réfère à une oppression physique, plus proche de la tyrannie emblématique d'Oedipe, qui désigne le totalitarisme égyptien, babylonien ou romain (Bacon fait observer que César-Auguste a pris pour emblème le Sphinx, manière pour Bacon de sous-entendre que la politique, pour un chrétien, est démoniaque), au contraire la "matrice", par un symbolisme non plus masculin, phallique, mais cette fois féminin, suggère la nature dorénavant psychologique de l'oppression. Le populisme a d'ailleurs conservé cette distinction intacte dans le fameux "Ferme ta gueule !/Cause toujours !), tandis que l'élite religieuse, poursuivant son travail de sape, s'efforce de faire croire à un progrès de la psychologie sur la violence physique.

  • Economy & Revelation

    Another kind of Animal who cannot stand Truth face to face like Women do are Economists: those cannot stop making up and have plastic surgery. Instead of Truth, Female and Economist put Religion.

    Until a Man has not became Female, both Female and Economist won't be satisfied; that is why Women and Economists do rape young men when they are young, putting stupid dreams in their heads that they have to discover after by themselves that it is nothing else but Slavery. The guy who do love Life or Society, although She is a Bitch, loves his Mother like a Goddess (It is Achiles in Homer's books, and the reason why Christian Bacon-Shakespeare is showing off the laziness of the Heroe who is determined by Death and his Mother).

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    And when every male will be female/gay, Female and Economists will not be satisfied either (like in Japan today), because those animals are governed by terror, and terror has no end. Because they want to escape, but there is no quiet Place to go for these souls but the Cemetery.

    This is the reason why, as Hobbes does eplain it for Leviathan's citizens, 'Hell is truth seen from the back'. Because of the escape.

    Do not speak with Economists, my friend, do prefer talk to mad people because they are more funny, or with serial killers because they mostly take on themselves what they did; they do not committ suicide at the end, when it is too late, like Hitler. Hey, didn't you know that Hitler was a great economist who gave jobs an holidays to every German people?

    Nazis were just romantic like every bourgeois.

  • Economie et Apocalypse

    Il est une autre espèce humanoïde que les femmes qui ne peut supporter de voir la vérité en face, ne cesse de se maquiller et de pratiquer la chirurgie esthétique, jusqu'à se rendre méconnaissable pour elle-même, c'est l'espèce des économistes.

    L'espèce des économistes peut-elle être plus responsable que celle des écureuils ? C'est la question qu'il faut se poser avant de remettre sa vie entre les mains d'un économiste.

    Un de mes amis se dit frappé par la stupidité des élèves frais émoulus des grandes écoles de commerce, leur ignorance dans tous les domaines, y compris celui de l'économie. "Franchement, je lui réponds, quel esprit un tant soit peu intelligent irait se mettre au service de systèmes d'exploitation, au sein desquels il y a peu de chance d'acquérir une quelconque indépendance, si ce n'est de grands risques de se faire broyer. Ton erreur précédende est de croire que l'école républicaine forme pour le compte du capital des élèves intelligents ou ne serait-ce qu'honnêtes. Selon les lois de Darwin, l'école républicaine vise à former des esprits compétitifs, banalisant ainsi la tricherie.

    - La compétition et l'adaptation sont  le moteur du nivellement humain."

     

  • Les Oiseaux

    L'oiseau est l'animal le mieux fait pour gober la théorie d'Einstein de l'espace-temps ou la fable du "temps réel". D'abord parce que les oiseaux n'ont pas les pieds sur terre. Ensuite parce c'est une allégorie de la vitesse.

    L'oiseau est mieux fait pour vivre en cage que l'homme. Surtout les pigeons, qui ne pensent qu'à leur plaisir et sont infiniment inquiet de le satisfaire. Sauf l'aigle, bien entendu.

  • French Propaganda

    On "Au Trou !?" anarchist weblog you can read an example of French propaganda about Libya. This is from Bernard Henri Levy, French Millionnaire who does believe he is a kind of Kissinger. This is ridiculous and does remain "Super-Heroes" Comics style for kids, though the magazine is supposed to be for High-educated French people (who studied mathematics/business).

    He is a Hereo, but not the regular Heroe like his Friends Sarkozy and Juppé. The one who is able to write the Story. I even doubt that there is so Stupid Propaganda in USA!? Well, this is not too stupid in fact, and my opinion is that Bernard Henri Levy (we call him BHL in France like unglorious basterd JFK or DSK, or any brand) is a kind of genious like Gobbels was. Because this Comic-Strip-Style is exactly the level where educated people in France are now. Can you imagine that Belgium Hergé, about sixty years ago, made a comic-strip FOR KIDS in which he is pointing out the American way of Death?

    Bernard Henri Levy is friend of Jane Fonda or that kind of stupid US-turkey. Another funny story was that he tried to convince French people that there is something like a Civilization in USA and that it is not just a Dream. He failed and, therefore, US-Newspapers blamed him for being 'against USA', though he wanted to make something pro-USA!

    In fact Jesus-Christ was right: when you are rich as BHL does, the only way to escape is to become poor as soon as possible; if not you became one fortune's toy.

     

  • Delenda est Roma

    Le pape Benoît XVI fait l'objet ces jours-ci d'attaques virulentes de la part de la presse allemande, le magazine "Stern" en tête (groupe Bertelsman) - l'équivalent du "Figaro" ou de "Paris-Match".

    Ce procédé continue la vieille tactique de la société civile libérale allemande pour faire croire qu'elle a rompu avec l'idéologie nazie de Hegel, Nitche* ou Heidegger. Le bilan le plus objectif de la pornographie allemande est qu'elle a surtout vieilli depuis Hitler. L'écologie n'est qu'un tour de clé supplémentaire dans la corde libérale, qui trahit le même goût du charnier originel que les idéologies allemandes précédentes. Si les théories raciales nazies sont absurdes, que dire de l'écologie ?

    Sur leur philosophie morale régionaliste (Hegel, Nitche, etc.), les universitaires allemands savent beaucoup mieux que les nôtres de quoi il retourne, et s'abstiennent le plus souvent de l'invoquer. On avouera que ce ne serait pas malin, au cours de l'opération de sablage de la carrosserie allemande pour la repeindre en blanc, de citer Heidegger. Plus malin de la part de Bertelsman & Co, pour faire oublier le passé, de se servir du crétin Joseph-le-Raciotineur.

    De plus le pape va partout, répétant sa nostalgie du moyen âge à qui veut l'entendre, quand la bourgeoisie allemande s'efforce de toutes les jacasseries de ses cacouacs depuis Pangloss, de prouver au reste de l'Europe qu'elle a dépassé ce stade !

    *On me dit parfois que Nitche n'est pas Hitler. Même si je sais qu'Hitler n'affichait pas le plus profond mépris pour le peuple et tout ce qui paraît populaire (le christianisme, l'anarchie, le communisme) comme Nitche, je suis bien obligé, en tant que Français pragmatique, de constater le résultat sur le peuple des doctrines nazie ou libérale, et qu'elles ont bien plus efficacement que Nitche accompli son voeu d'esclavage pour le peuple, et de retour à l'état égyptien primitif, changeant les classes laborieuses en abeilles industrieuses qui ne vivent que pour mourir. Cherchez la reine des abeilles. 

  • Liberalism is Gynaecology

    You cannot be 'pro-life' against death without ignoring everything about biology, and thus everything about life and death. So what is 'pro-choice' against 'pro-life' fight would you ask? Just two consumer lobbies fighting each other.

    Thanks to historians we do know the importance of consumption into basic countrymen religions (and Christianity that was reduced to that slowly from XVIIth).

    I was recently reading Bacon-Shakespeare argument that medical science is the best way to ignore science and change natural science or genetics into religion, exactly what nazism did, Darwin or USA-today. This is the reason why Bacon-Shakespeare is so important and main Christian fighter in Modern Times. There is no modern paradox that is not solved by Shakespeare-Bacon. We can start from this joke of Bacon, who tells the story of a friend of him who was painter and became a medical man : 'Good choice, quotes Bacon, your mistakes will not be obvious as they were!'

    Perhaps we can say here briefly why Christian artists such as Bacon-Shakespeare (or French Moliere) are treating doctors like Satan's officers? Because immortality and truth are what Christian are asked for, not to find the best place where to rest in vicious Nature. So is Bacon pointing out the strange method of a Medical-art which does not even look for immortality but just comfort. Understand the consequence: medical science is not a science but a religion. It is taking people in modern history by where they should not be taken due to Christianity: feelings. It is the reason why Bacon-Shakespeare in his prophecies saw the triumph of Kingdoms and Nations under the Snake-Symbol.

    Therefore in his scientific vision Bacon is demonstrating that Medical art that treat human people as animals or robots cannot be very efficient. In Time Bacon-Shakespeare had so many ennemies than Hamlet did in Elsinor-Castle - and exactly the same. Last are Official Lyers Karl Popper and his disciple J. Ratzinger.

    Whoever wants to follow Jesus-Christ now, keep the Christian-culture away, and burn the KKKitchen table with, then you will see the Gospels as they are, without all the stinking stable-litter that was putted on by Disorder's Lieutenant, politickers in the name of Christ before Hitler, stronger that him.

    There is no Christian poetry. Hamlet killed them all. To see her soul nude and wrong made Ophely idiotic. There is no Christian-culture but the Hell itself.

  • Histoire ou Morale ?

    Afin d'illustrer le choc entre l'histoire et la morale, et pourquoi saint Paul est bien inspiré de rompre avec la morale, fondant ainsi l'esprit occidental moderne :

    - Quand le moraliste écrit : "Les peuples heureux n'ont pas d'histoire."

    - L'historien habile à déjouer le programme de la religion, qui imite la nature, réplique : "Les peuples qui VEULENT être heureux s'efforcent d'abolir l'histoire, n'aboutissant ainsi qu'au confort des prêtres et au totalitarisme."

  • Le Libéralisme est un Gynéco

    On ne plaidera pas séparément pour la culture de vie et la culture de mort, à moins d'ignorer tout de la biologie, et donc de la vie et de la mort.

    La République n'accuse l'islam ou le christianisme de croyances superstitieuses et dépassées que pour mieux promouvoir un principe plus radical d'ignorance : la culture. Sur un terreau de culture chrétienne insane, les valeurs républicaines ont poussé.

    Chrétien, fais table rase de la "culture chrétienne", brûle la table avec, et le message de l'Evangile t'apparaîtra débarrassé du monceau de fumier accumulé dessus par ses clercs. La réalité est qu'il n'y a pas de poètes chrétiens vivants, Hamlet les a tous poignardés. De voir son propre mobile dévoilé à ses yeux a rendu folle Ophélie. La culture n'a d'autre loi que de muer l'homme en cadavre.

  • La Fin du Monde

    "C'est ainsi que le mouvement circulaire, qui est une des premières lois naturelles de ce monde et comme le principe et la source de la conservation de l'univers, causera la destruction de cet univers et même de ses lois.

    Une fois disparus la Terre, les planètes, le Soleil, les étoiles, mais non pas leur matière, de celles-ci se formeront des créatures nouvelles, distinguées en espèces et en genres nouveaux, et des énergies éternelles de la matière naîtront un nouvel ordre des choses et un monde nouveau."

    Straton de Lampsaque

    S'il y a bien une pensée ridicule, c'est le néopaganisme libéral ou républicain, avec sa science molle, son cinéma pour foetus persistants et son écologie pour bonnes femmes dépressives. On peut le constater grâce à cet extrait de Straton de Lampsaque. Ou bien cent autres. On ne trouvera aucun penseur païen aussi vain que Luc Ferry ou Michel Onfray.

    Le païen moderne ne sait rien de la nature et du cosmos, auxquels il a substitué entièrement l'anthropologie libérale et quelques techniques de jardinage.

    Des différentes façons inventées depuis le moyen âge pour marier l'antiquité avec le christianisme, le libéralisme a retenu la plus débile, l'anthropologie, la seule qui lui permet de tenter la quadrature de son trou du cul.


  • Modernité = PIB

    "La puissance des Etats-Unis n'est plus ce qu'elle était." Francis Fukuyama (août 2011)

    La pensée libérale, fondée sur le préjugé, ne peut émettre que des jugements rétroactifs. Elle emprunte aux mathématiques leur connerie matricielle.

    Cassandre a trois mille ans d'avance sur la religion de Francis Fukuyama, qui est à la pensée ce que la Route 66 et Elvis Presley sont à la poésie.

    La valeur d'un penseur libéral se mesure à son habileté à manier la rhétorique ou le mensonge et, même sur cette échelle, Fukuyama ne vaut pas tripette - surclassé selon moi par Alain Minc.

    Fukuyama est célèbre pour être l'un des promoteurs du gadget de "la fin de l'histoire", cousin de la modernité, puisque celle-ci n'est autre qu'une "entrée en religion".

    La meilleure façon de comprendre la "fin de l'histoire", sa séduction, est la suivante : dans le libéralisme où tout est suggestion et hypnose, l'histoire joue le rôle de la statue du commandeur dans "Don Juan".

    Comment se débarrasser de l'encombrante histoire, qui place les penseurs libéraux face à leurs responsabilité et crimes ? Vu que "les peuples heureux n'ont pas d'histoire", le clergé du régime totalitaire a trouvé l'astuce d'escamoter l'histoire et de la remplacer par un gadget ; non pas de brûler toute la science, mais de ne conserver que les traités de catéchèse.

  • La Mort de Dionysos

    La seconde mort de Dionysos, non pas la petite, est rarement expliquée. Pour la raison simple qu'une religion ou une société ne peut supporter de voir la mort en face, bien qu'elle soit son seul but.

    Ce tabou est typiquement féminin, assorti d'un corollaire cocasse : comme les chiens aiment à courir après un os ou un bâton, les femmes font de même avec le phallus des hommes, souvent tout au long de leur existence, y compris une fois stériles.

    Au point qu'on pourrait parler pour désigner l'activité féminine ou sociale de véritable "nécromancie du phallus". Tout artiste, un tant soit peu inspiré, ira à rebours de cette tendance, pour éviter de tomber dans le point de croix ou l'art numérique de grand-mère.

    Seul un pédéraste italo-boche de l'acabit de Silvio Berlusconi peut croire que Dionysos préside à d'autres arts que celui du bunga-bunga, de la gay-pride ou des JMJ, toutes les bacchanales tonitruantes où chacun se livre à l'art en proportion de son sexe.

    Dionysos meurt de s'être gavé jusqu'à plus soif du sang de ses victimes, d'un arrêt cardiaque.

     

  • L'Anarchie

    - L'Anarchie n'a rien à secouer de la cause des pédérastes ou de celle des femmes. Si tel était le cas, l'anarchie serait la doctrine de l'Eglise catholique romaine, entièrement dirigée par les pédérastes et les femmes.

    A une lectrice de ce blogue qui se plaignait de ne pas trouver d'homme responsable (pour s'occuper d'elle), je donnai ce conseil : "Va te choisir un mignon à la sortie d'une église ou d'un temple !" Il demeure valable. Il y a longtemps que l'Eglise romaine n'est plus qu'une association de consommateurs parmi d'autres.

    - Si l'Anarchie était féministe, elle serait la "Société générale" ou la police des moeurs.

    - Si l'Anarchie se mêlait de la cause des pédérastes ou des femmes, alors cela voudrait dire que Daniel Cohn-Bendit, Luc Ferry, Finkielkraut, Philippe Val, André Glucksman, Bertrand Delanoë ou Cabu sont anarchistes, alors qu'ils ne savent pas quoi inventer pour lécher le cul de la République, insultant tout ce qui ne porte pas l'uniforme républicain en guise d'action de grâce.

    - L'Anarchie n'a pas à foutre le bordel. Sarkozy et son gouvernement sont là pour ça. La campagne électorale s'annonce déjà comme une partouze idéologique dépassant en vulgarité n'importe quelle compétition sportive.

    - L'Anarchie n'a rien à secouer de la cause israélienne, et encore moins de la palestinienne. La dernière des choses de la part d'un anarchiste est d'inculquer le goût de la propriété à un Palestinien qui n'a pas de territoire ; autant donner envie de forniquer à un eunuque.

    La terre ment toujours. Il n'y a pas de propriétaires, il n'y a que des possédés.

  • Dans la Matrice

    Avec un siècle et demi de retard sur les observations de Marx, des voix s'élèvent dans les médias pour dire leur inquiétude de la vitesse moderne ou du caractère de plus en plus virtuel des relations sociales ; je dirais : du caractère cinématographique de l'existence, pour souligner le rapport de la morale nationale-socialiste ou républicaine dominante avec la science-fiction, mélange de technologie et de rêve.

    En effet la force d'entraînement des cartels bancaires serait nulle sans la puissante courroie de transmission de la culture.

    On peut signaler ici la tartufferie, non seulement du pape Benoît XVI, mais de tous les apôtres de la "décroissance" économique, qui en somme contrairement à Marx continuent de faire croire que l'argent peut être neutre, utilisé intelligemment, alors qu'il traduit un culte opposé aux idéaux d'égalité et de partage dont certains le parent cyniquement ou bêtemennt.

    La tartufferie actuelle revient à répéter la doctrine libérale puritaine originale, qui ne peut se passer du blanchiment de l'argent. On voit ici que la culture et ses acteurs adhèrent parfaitement aux mouvements de capitaux. Comme Shakespeare le démontre, en faisant un axe essentiel de l'histoire, la purification des relations sexuelles est opérée simultanément. La "main invisible", qui dans la foi libérale d'Adam Smith sert à purifier l'argent et les transactions, a nécessairement un corollaire sexuel ésotérique. Parfaitement démoniaque au regard du christianisme, comme Shakespeare s'emploie à la souligner, l'exaltation de la cupidité sexuelle a joué un rôle dans la mécanique capitaliste.

    Il n'y a donc que des hypocrites à se plaindre simultanément des ravages causés par l'argent, tout en peignant la possession sexuelle sous un jour pur. Autrefois l'Eglise romaine, aujourd'hui ceux qui imputent la folie criminelle capitaliste aux seules erreurs des comptables, esprits robotiques ou cartésiens irresponsables.

    + En tant que chrétien, je suis bien placé pour voir que le cinéma a le caractère démoniaque. Il fut un des facteurs de développement du satanisme aux Etats-Unis, dont la version la plus sournoise et fréquente est celle du satanisme au nom du Christ. Il n'est pas difficile de trouver sur internet des blogs de "chrétiens" yankees qui prônent le port d'armes, aveu pathétique d'un culte authentiquement démoniaque, qui n'a rien selon moi à envier à la doctrine nazie.

    Le cinéma est sans doute un opium assez fade comparé à d'autres, mais sa dilution est tributaire de la taille du troupeau de moutons qu'il faut mener à l'abattoir ; de plus le cinéma a un effet de sidération progressif ; il commence avec le viol de la conscience de jeunes enfants qui sont encore au stade animal et chez lesquels la visée pédo-pornographique du cinéma a un impact particulier, les maintient dans l'obsession sexuelle et le désir incestueux qui excitent la peur. Avant de le condamner, il faudrait examiner combien de films Anders Breivik a ingurgités pour devenir un Norvégien chrétien+franc-maçon paranoïaque* ?

    Un attentat contre la part spirituelle, quand la société ne feint de s'offusquer que des atteintes à la chair et au porte-monnaie (dont elle est elle-même la principale cause, ne sachant s'organiser autrement que par le sang et son emblème monétaire, prédestinés à noircir).

    Car la tuerie sanglante est bel et bien le projet sous-jacent au cinéma. C'est à travers ce genre artistique méprisable et incitant au cannibalisme qu'on discerne clairement la suite donnée par les Etats-Unis au régime de l'Allemagne nazie. Probablement en pire, car on ne trouve rien dans la culture yankee, essentiellement animiste, qui résiste au cinéma et son effet d'aliénation progressive

    Le plus démoniaque n'est pas de défendre le cinéma au nom de Satan ou du chaos, comme d'assez nombreux producteurs ou metteurs en scène n'hésitent pas à le faire, plus ou moins discrètement ; une imposture plus grave est la défense du cinéma au nom du christianisme. Rien dans le christianisme ne justifie l'agrégation sociale et la souffrance qui en découle.

    L'agrégation sociale se faisant essentiellement sous la forme d'un sacrifice sanglant et charnel, dont l'argent est le signe le plus commun, forment les piliers de la synagogue de Satan les apôtres de la "doctrine sociale chrétienne" ou des divertissements chrétiens, ignorant tous les avertissements de l'art et de l'histoire selon lesquels cette doctrine macabre, reprise par le régime républicain, a servi à justifier les crimes les plus violents de l'Occident.

    + Le dernier en date, faux-jeton de première bourre, que j'entendais s'inquiéter ainsi à retardement de la vitesse moderne, est la starlette bobo Frédéric Beigbeder, sous-pastiche de Proust, dont le succès est emblématique du goût féminin pour les anguilles.

    Contre ce type cynique, à l'humanisme aussi frelaté que le néo-colonialisme de BHL, appuyé sur la choa, disons franchement que la vitesse et le caractère virtuel sont liés. Les systèmes informatiques et robotiques fonctionnent ainsi, par la transmission d'informations de manière presque instantanée, et pour mieux dire leur but : de façon "précipitée".

    "En temps réel" : l'expression décrit idéalement l'implosion d'un tel système, vu que seule une machine peut prendre le temps pour une chose "réelle", quand il a pour effet de l'altérer, exactement comme l'information.

    Un modèle informatique de l'univers est ainsi un schéma erroné ou altéré de la réalité (à tel point que ceux qui prennent ainsi leur science-fiction pour la réalité depuis Copernic ou Galilée sont contraints d'en opérer la mise à jour régulière).

    Ce type de modèle s'impose progressivement à tout un chacun (en commençant par les fainéants comme Beigbeder, installés dans le confort intellectuel et se moquant ouvertement de l'art et de sa gratuité, dans cette position de producteur de navets) en raison de son caractère fonctionnel. Les modèles mathématiques ou informatiques sont impropres à rendre compte de la réalité, en revanche ils sont "fonctionnels" et opératoires.

    Il ne paraît pas utile de souligner plus ici le rôle de la spéculation mathématique dans la formation de l'inconscient du citoyen-robot d'un régime totalitaire "matriciel". La quête de fiction (le "graal") ou de "virtuel" est le fait d'esprits faibles qui cherchent à se renforcer. On la retrouve en science où, bien que la haute technologie constitue l'aveu d'un nivellement scientifique vers le bas, les vieilles spéculations datant de l'Egypte antique continuent de s'imposer, trempées de psychologie, à cause de leur effet sécurisant, dont le revers terrifiant est rarement envisagé, nul n'étant plus apte à s'auto-absoudre de ses génocides passés, présents et à venir, que la polytechnique et les polytechniciens imbéciles, lieutenants du désordre et de la haine, planqués derrière l'argument de la règle et de l'horloge.

    + Quand les médias et la corporation des journalistes affirment accomplir leur "devoir d'information", ils énoncent inconsciemment ainsi le caractère totalitaire de leur mission. La contre-culture médiatique par l'internet l'a ainsi dernièrement en grande partie démontré, contraignant les pouvoirs publics (Henri Guaino) à défendre l'opacité, compte tenu de ce que les internautes reprennent à leur compte l'argument de transparence et d'information des médias.

    Plutôt que de déplorer comme le vieux con Beigbeder la virtualité de plus en plus grande des nouvelles interfaces et des nouveaux réseaux sociaux, mieux vaut comprendre que la relation sociale, sexuelle notamment, est essentiellement virtuelle. Autrement dit le ver est dans le fruit. Contrairement au mensonge libéral ordinaire véhiculé par F.B., la société mondialisée n'a rien d'un encouragement à l'individualisme. Elle est un hyper-socialisme ou un hyper-civisme, et le mensonge libéral vise donc à préserver le socialisme et le civisme dont ne peuvent se passer... les transactions bancaires et commerciales.

    Les jeux d'enfants, qui se résument hélas presque entièrement à l'apprentissage des rapports sociaux, la branlette étant considérée désormais grâce à l'apport de la philosophie morale germanique comme le b.a.-ba de l'humanisme, ces jeux témoignent du caractère virtuel (et passionné) des liens sociaux, de même que l'attachement d'adultes mièvres - Proust, Beigbdeder -, à des objets que ce dernier est incapable de comprendre pour ce qu'ils sont : l'essence de la vertu (Proust est un peu moins débile, parfaitement conscient que le fétichisme trouve son perfectionnement dans la musique, dont l'effet est aussi rassurant qu'une peluche ou une bibliothèque.)

    Que la vision chrétienne soit aussi réaliste et peu religieuse, cela explique qu'elle soit dissuasive de tout mysticisme et de fonder quoi que ce soit sur les rapports sociaux, rejointe ici par Marx et Engels. D'ailleurs on sait grâce à Shakespeare que la doctrine sociale de l'Eglise est la rançon de l'érotomanie monastique médiévale, d'après "Roméo et Juliette" notamment, dont la force pamphlétaire n'a fait au cours du temps que décupler, un acte de Bacon-Shakespeare suffisant à faire voler en éclats ce miroir de méduse qu'est le cinéma, "image animée de la bête" selon l'Apocalypse. 

    La virtualité décuplée des rapports sociaux indique seulement la formule d'un monde sous l'aspect d'une boule à facettes, prête à voler en éclats sous l'effet de l'accélération d'un mouvement dont la principale fonction est l'agrégation sociale.

    *Il existe des doctrines maçonniques chrétiennes (J. de Maistre), et même des anarchistes "franc-maçons", aussi absurde que cela puisse paraître.

  • Marx-Shakespeare

    Empruntée à Shakespeare par Karl Marx, l'idée d'évolution organique des formes morales et politiques. Marx, exégète de la "Douzième Nuit" ("La Nuit des Rois").

    "Un fou, un fou, j'ai rencontré un fou dans la forêt !

    Un fou bariolé ! Quel triste monde ! Aussi vrai que je mange pour vivre, j'ai rencontré un fou,

    Allongé par terre, qui se réchauffait au soleil,

    Se moquant de Dame Fortune en termes choisis,

    En termes choisis et convaincants, mais cependant un fou bariolé.

    "Bonjour, fou !, lui lançai-je."

    - Ah ! non, répliqua-t-il, ne me traitez pas de fou tant que le ciel ne m'a pas porté chance.

    Ces mots prononcés, il tira de sa poche une montre,

    Et l'examinant d'un oeil terne,

    Dit fort sagement : "Il est dix heures."

    Voici bien, ajouta-t-il, comment roule le monde. Il y a à peine une heure, on en était à neuf, et dans une heure il en sera onze.

    C'est ainsi que, d'heure en heure, on mûrit et mûrit, et donc que d'heure en heure, on pourrit et pourrit. C'est là le noeud de l'histoire.

    Entendant la méditation de ce fou bariolé sur le temps, mes poumons se mirent à croasser comme Chantecler ;

    Que ce fou soit capable d'une méditation aussi profonde, cela me fit glousser de rire pendant une heure de son cadran.

    Ô, noble fou : seul ton costume est bariolé." ("As You Like It" II,7)