S'il y a des chrétiens nazis, et les prêcheurs de la démocratie-chrétienne le sont, au sens où cette doctrine procède de la transformation du christianisme en éthique ou en culture de vie, maintenant de la sorte des centaines de millions de personnes dans l'ignorance de la vraie spiritualité chrétienne, il y a aussi des juifs nazis.
- Parlons d'abord de ceux que Hitler, par milliers, incorpora dans l'armée allemande, munis d'un certificat d'aryanité. Ils ne sont pas "juifs", objectera-t-on, puisqu'ils ont été aryanisés par Hitler. C'est exact ; ils ont renoncé à la loi de Moïse suivant la même démarche de conversion de l'amour chrétien en éthique démocrate-chrétienne, formule du crime contre l'humanité moderne. J'exagère ? Je suis un polémiste ? Les crimes contre l'humanité sont perpétrés par des masses populaires, manipulées par leurs élites. Dans cette manipulation, l'éthique joue un rôle décisif. Il n'y a rien dans le nouveau testament pour fonder une éthique. Il n'y a rien chez saint Paul non plus. L'art chrétien peut se définir comme l'art le plus pur de toute éthique. Voilà mon propos. A l'aide de l'éthique démocrate-chrétienne, ce sont des centaines de millions de personnes qui sont fanatisées, disposées favorablement au meutre légal de masse à l'aide du christianisme.
- Je citais l'autre jour la prose parfaitement ésotérique de Jürgen Habermas - les intellectuels allemands de l'école de Francfort sont tous des voyous -, alchimistes de l'éthique chrétienne. On trouve de tels usuriers de la parole de dieu aussi parmi les juifs. Je ne parlerai pas de Sartre, importateur avec Beauvoir du national-socialisme de Hegel en France (Hegel est un admirateur de Napoléon Ier - quel rapport entre Napoléon et le communisme chanté sur tous les tons par Sartre ?... Staline ? Hitler ?). Sartre n'a rien de juif et ne prétend pas l'être. Je citerai plutôt Lévinas, analogue juif de l'imposteur chrétien Habermas ; cet énergumène est l'inventeur de la sociologie juive. Inventer une sociologie juive, comme fait Lévinas, revient à réduire le judaïsme à une théorie raciale. Exactement comme Hitler a fait avec l'éthique nationale-socialiste, mieux conscient semble-t-il que Lévinas ou Habermas du caractère nécessairement païen du droit et de l'éthique.
Quand le sociologue Mircéa Eliade indique que le national-socialisme est une mystique du peuple allemand, copiée sur celle des juifs, c'est totalement mensonger. C'est Lévinas qui a recopié sa sociologie juive scandaleuse sur la philosophie nazie, et non l'inverse.
L'éthique de Lévinas est très exactement le tour d'esprit par lequel les juifs justifiaient il y a deux mille ans leur volonté de lapider une femme adultère : bien sûr leur mobile était sociologique. Selon Jésus-Christ, la volonté du peuple hébreu ne se confond avec celle de dieu. La loi de Moïse n'est pas une loi éthique. Autrement dit, elle n'est pas faite pour justifier le peuple hébreu, mais pour préserver l'annonce et la venue de l'esprit en son sein, prélude à l'écrasement par l'Eglise du Christ de cette saloperie d'éthique, que le chrétien E. Swedenborg rapproche utilement de sa désignation dans l'apocalypse comme "la bête de la terre".