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christine boutin

  • L'imposture Boutin

    La pasionaria démocrate-chrétienne Christine Boutin a été victime d'une opération de communication des "Femen" en Belgique (rebaptisées "Lilith"). Celles-ci l'ont enlacée et se sont livré à divers attouchements et insultes. Le prélat latin Mgr Léonard a été dans le même mouvement entarté par Noël Godin.

    Cela fut l'occasion pour C. Boutin, qui mêle sans vergogne ambition politique et références à une culture chrétienne qui n'existe que dans ses fantasmes, de nouvelles déclarations publiques délirantes :

    "(..) Nous sommes aujourd'hui entrés dans un combat qui n'est pas d'ordre politique mais d'ordre spirituel. Désormais, la vraie question qui est posée aux Français, c'est celle de la construction, ou non, d'une société sans Dieu. Madame Taubira nous a bien dit qu'elle souhaitait un changement de civilisation. Ce changement de civilisation est en réalité la proposition qui est faite aux Français par le gouvernement actuel, qui est la construction d'une telle société. (...)"

    - L'imposture de Christine Boutin et des démocrates-chrétiens dans son sillage est bien plus démoniaque que celle des Femen-Lilith : elle consiste à faire croire que le combat spirituel peut ou a pu s'accorder avec le combat politique, contre la lettre et l'esprit évangélique.

    La démocratie-chrétienne consiste à mettre en lieu et place de l'apostolat véritable, les fantasmes et les ambitions de bonnes femmes et de clercs calculateurs. Car la civilisation est une notion satanique, et nécessairement le fruit de la géométrie et du calcul.

    - Une civilisation plus ou moins équilibrée se conçoit comme un rapport fructueux ou providentiel de l'homme avec Satan (cf. doctrine de l'antéchrist Nitche), immuable selon la notion de l'éternel retour. C'est la nature et elle seule qui assure l'inaltérabilité de la civilisation, que seul un païen peut appeler de ses voeux. La décadence, dont l'effet le plus visible ne sont pas les singeries des Femen-Lilith, mais bien plutôt l'oppression extraordinaire de l'Occident sur le reste du monde, cette décadence traduit par conséquent une perturbation dans le rapport de l'homme avec Satan, son créateur.

    Le christianisme n'a donc rien d'un mouvement civilisateur, ainsi que les perfides démocrates-chrétiens tentent de le faire croire. C'est au contraire la révolution ou l'instabilité permanente de l'Occident qui porte la marque de l'idéologie catholique romaine. Le libéralisme, c'est-à-dire l'impuissance artistique traduite dans l'économie, l'athéisme, le fantasme démocratique, l'égalité des sexes, le culte identitaire personnel, tout cela n'est que l'effet de l'insanité extraordinaire de l'idéologie occidentale judéo-chrétienne. Le discours grandiloquent de Mme Boutin dissimule mal qu'elle est elle-même une sorte de femme-prêtre à la tête de pédérastes catholiques nostalgiques de la famille. La lâcheté de ces "veilleurs" est manifeste dans la mesure où ils ne se révoltent contre la pourriture libérale que dans la mesure où ils redoutent qu'elle porte atteinte à leurs intérêts patrimoniaux.

    Une grande part de l'apostolat aujourd'hui consiste à arracher le masque de ces imposteurs. La démocratie-chrétienne correspond au phénomène que les apôtres de Jésus-Christ décrivent comme "l'antéchrist" ou la "synagogue de Satan", c'est-à-dire une subversion du christianisme, comparable à celle que la religion de Moïse a subi de la part de ses prêtres.

    L'antichrist Nitche est fondé à dire que le "droit chrétien" ou la "justice chrétienne" représente une menace de mort pour la civilisation. En revanche c'est une stratégie de reconquête satanique qui le pousse à prétendre le "droit chrétien" fondé sur les saintes écritures.

  • Delenda est Roma

    "Pour moi le Vatican est la preuve par neuf que le Saint-Esprit existe." Christine Boutin

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    (Si vous n'avez jamais entendu parler de la preuve par neuf du Saint-Esprit, ne vous inquiétez pas, ça n'a rien d'anormal.

    Si vous ne croyez pas que le Saint-Esprit peut vous aider à combattre l'iniquité, y compris sous le déguisement de prélats se disant chrétiens, mais qui ne sont que des langues de vipères, s'efforçant de conserver leurs possessions, invoquez cette force qui soulève les montagnes.)

     
  • L'année de la méduse

    Rarement j'ai vu femme en vacances plus impudique que Christine Boutin cet été. Qui s'imagine-t-elle émouvoir en venant chialer parce que l'abbé Fillon lui a flanqué dix ans de retenue ? Ou parce que le boy-scout de Villiers, "écureuil acerbe", lui a chouré son strapontin à la grand-messe médiatique ? Même Juppé ne parvient pas à être aussi indécent.

  • Sexe et capitalisme

    Les publicités pour convaincre les jeunes gens rétifs à l'usage de la capote de l'adopter font penser à la position "du missionnaire". Pas seulement parce que les pouvoirs publics prêchent là une sexualité hygiénique "comme il faut", mais bien parce qu'on retrouve dans la morale laïque l'obsession jadis cléricale de réglementer jusque les "rapports" sexuels en détail.

    D'ailleurs on ne se contente pas de reprocher à Christine Boutin ses préceptes, on lui en oppose d'autres qui ne sont pas moins contraignants. Mgr Onfray ne se contente pas de dire : "Baisez comme vous l'entendez !" : non, ça c'est plutôt le professeur Choron ; Mgr Onfray prétend imposer sa recette du plaisir, "l'hédonisme", comme les restaurants snobs qui donnent des noms pompeux à des plats banals.

    La sexualité apparaît désormais si dangereuse pour la santé et si menaçante pour la carrières de certaines jeunes filles, qu'elles aiment mieux repousser les premières avances nettes jusqu'à l'extrême limite de la ménopause, si ce n'est au-delà, et se font nonnes 'de facto', 'en liberté'.

     

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    Les pratiques sado-masochistes particulières importées d'Asie comme beaucoup de supplices, vantées par feu l'académicien Robbe-Grillet naguère, par "Arte" désormais entre deux films documentaires, ces pratiques évoquent même les rituels liturgiques extrêmement scrupuleux de la religion juive ou chrétienne orthodoxe, très rébarbatif une fois l'attrait pour la nouveauté dissipé. Si on m'invitait à une séance de torture sado-maso, individuelle ou collective, je redouterais de m'endormir comme devant un film de Claude Chabrol.

    En ce qui concerne le christianisme et le sexe, il paraît aberrant que ce qui est censé réitérer l'incarnation et l'érotisme ait viré carrément au rituel funèbre. Certains vont même jusqu'à parler d'ailleurs de façon typiquement laïque de "petite mort" pour définir le coït (l'idée de métempsycose n'est pas loin).

    La preuve que la sécularisation de la religion comme de la sexualité est bien un indice de "féminisation" paraît assez facile à faire. En passant par les pratiques sado-masochistes, par exemple : quelle idée de se limiter à de simples égratignures et pinçons, de vagues tirages de cheveux ridicules ? Un sadique comme Fourniret paraît plus conséquent, plus kamikaze et moins "peine-à-jouir" pusillanime. Pourquoi se limiter à un sadisme comptable à la petite semaine ? Par soucis d'économie ? d'entretien du ménage ? Qu'est-ce qui retient le tortionnaire nazi d'être plus cruel si ce n'est la crainte d'être appréhendé par un autre nazi ayant autorité sur lui ? Cette limitation ne paraît pas très logique et correspond en revanche bien à un raisonnement de consommateur douillet.

    Il n'y a pas de grand plaisir féminin, il n'y a que des petits plaisirs de femmes additionnés ; idem pour la douleur. Voilà le raisonnement binaire typiquement féminin isolé.

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    Le "matriarcat", dont Frédéric Engels croit pouvoir dire que les tribus vikings primitives l'ont connu, la religion laïque l'a d'une certaine manière "ressuscité" : l'Etat n'est en effet qu'une grosse baleine qui abuse ses enfants. Une vraie mante religieuse, soit dit en passant, si on se réfère au destin d'"hommes providentiels" qui, comme Napoléon ou Hitler, ont cru féconder cet Etat. "Pupilles de la Nation", tous les enfants de France le sont plus ou moins, et s'il vient à l'idée de leurs parents biologiques de leur inculquer des principes qui ne sont pas laïcs, l'Etat s'y oppose fermement.

    Or le matriarcat n'est ni plus pacifique ni plus juste que le patriarcat intermédiaire. Simone Weil-la rebelle est bien la seule féministe cohérente, qui désire plus de virilité, d'immédiateté, et la mort des idéologies femelles et de la morale binaire pour les deux sexes.

     

  • Calote sur capote

    Le sermon de Benoît XVI aux Camerounais lui vaut d'être traité d'"autiste" par Alain Juppé, expert en la matière. On peut penser que ce politicien, condamné pour corruption, tente par là de se refaire une virginité auprès de l'électorat laïc.

    Depuis les romans de Mauriac, on sait à quel niveau moral situer la bourgeoisie bordelaise, qui a sans doute pardonné à Juppé ses malversations depuis longtemps.

    Le parti gaulliste, par ailleurs, dont Alain Juppé est un des principaux parrains, a beaucoup œuvré avec l'UDF en faveur de l'avortement. C'est encore un gaulliste éminent, alors président de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré, qui a récompensé solennellement la militante pro-IVG Caroline Fourest pour son combat prétendûment féministe en faveur de l'avortement.

    Le pape ne fait donc que récolter ce que l'Eglise a semé. L'inconséquence du pape, ici, est double :

    - d'abord Rome n'interdit pas aux catholiques de se prononcer lors des élections pour le parti d'Alain Juppé, bien au contraire. Idem pour l'UDF. Pour n'en citer que trois, de tailles variées : "Le Figaro", "Valeurs actuelles" et "Famille chrétienne", on a là trois organes de presse ouvertement gaullistes et qui ont fait campagne en faveur de Sarkozy, avant de le lâcher dans l'adversité.

    Comment oublier la compromission du christanisme par Christine Boutin, avec un gouvernement dont la devise anti-évangélique fut naguère : "Travailler plus pour gagner plus" (compromission d'autant plus flagrante et terrible que la carrière gouvernementale de Christine Boutin a stoppé net toutes ses velléités antérieures de combattre le crime d'Etat qu'est l'avortement, crime d'Etat soutenu par les industriels de la chimie au point que des dirigeants du "planning familial" furent "consultants" simultanément auprès de laboratoires pharmaceutiques, et qu'aucune précaution concernant les risques cancérigènes de ces pilules n'a été prise) ;

    - deuxième inconséquence : le "coïtus interruptus" est prôné aux fidèles en Europe par le clergé catholique lui-même, et rien en dehors de sa sophistication ne le distingue du "coïtus interruptus" à l'aide d'une capote anglaise reproché à des Camerounais. Cette deuxième inconséquence confine à l'hypocrisie ou à l'ignorance.

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    Mais le plus important est de ne pas tomber ici dans le piège médiatique. L'influence de l'Eglise en Afrique est aussi réduite qu'en Europe ; dans un sens comme dans l'autre, les sermons du pape ne peuvent pas infléchir le destin de l'Afrique. Le "coup du sida", tout ce battage médiatique autour du pape dont la racaille journalistique n'a en réalité rien à secouer, n'a qu'un but : dissimuler que les malheurs de l'Afrique en général et le sida en particulier, sont le résultat de la politique impérialiste occidentale en Afrique. Et, par les crimes impérialistes, le parti gaulliste d'Alain Juppé a été copieusement éclaboussé, et continue de l'être en Afghanistan. Les médiats ne se sont d'ailleurs quasiment pas enquis de l'avis des Camourenais sur les propos du pape ; la stratégie médiatique est définie d'avance. Si on ne peut pas parler de "complot médiatique", il y a bien un réflexe impérialiste.

    Dans cette dissimulation il est évident que l'Eglise, à l'échelle réduite qui est la sienne, joue un rôle actif, et que les petits sermons à deux balles du pape, pour cette raison, sont scandaleux : une vraie marionnette ! C'est du côté de l'Afrique et de l'Amérique du Sud contre l'oppresseur occidental que le pape devrait être.

    J'estime avoir le droit de critiquer le pape, contrairement à Alain Juppé, dans la mesure où je ne suis pas membre ni n'ai jamais voté pour un parti, le parti gaulliste, qui a largement contribué à entraîner la France, l'un des pays les plus riches du monde, au bord de la faillite économique et morale. Un parti qui a oeuvré à l'élimination de près de six millions d'embryons depuis les années soixante-dix, et qui pour compenser cette décroissance naturelle, a favorisé la venue d'immigrés du tiers-monde, parmi les plus qualifiés en général, immigrés traités avec mépris ou hypocritement le plus souvent, entassés dans des banlieues dessinées par des architectes dont les idées totalitaires sautent aux yeux. En tant que Français de souche, le parti gaulliste est à mon sens l'emblème même de la pourriture française. Tous les militants catholiques honnêtes qui s'en sont approché imprudemment, que ce soit Simone Weil, Maritain, Bernanos, s'en sont éloigné rapidement, dégoûtés. Plus mensonger encore que le régime de Pétain fut le régime de de Gaulle : telle est la sentence de Bernanos qui vaut plus que jamais.

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     L'animatrice Julie d'Europe 1, grassement payée à jouer les potiches, suggère qu'on inculpe Benoît XVI de "crime contre l'humanité" (jeudi 19 mars). L'académicien Jean d'Ormesson l'approuve. Rappelons que l'animatrice comme l'académicien sont des employés de Lagardère et Dassault, fabriquants d'"outils de défense nationale", de missiles destinés à des "frappes chirurgicales", des employés qui doivent presque tout à leurs patrons. Il est difficile de croire en effet que Jean d'Ormesson aurait pu avoir une carrière littéraire aussi longue, étant donné la nullité de sa prose, sans l'appui du "Figaro". Ce qui était appréciable chez les nazis, c'est leur FRANC cynisme.

  • Signes sataniques du temps

    Cabu qui dessine Sarkozy avec de petites cornes a beaucoup plus de flair que Christine Boutin.

    'Ce qui sort de la bouche de l'homme souille l'homme.' écrit saint Paul. Si l'on ajoute à la diarrhée verbale de Sarkozy le mouvement perpétuel qui agite son corps, on comprend qu'un artiste puisse être amené à voir en Sarkozy un agitateur, plus encore qu'en ses prédécesseurs, bien que le discours ne s'écarte pas du roulement habituel de tambour laïc.

    Les cornes du démon sont aussi des cornes de cocu, car la puissance que Satan promet à ses fidèles, il ne l'accorde jamais. Elle se résout dans l'impuissance et la mort. L'érotisme et Satan, ça fait deux. C'est dans le domaine des sentiments, de la séduction et du flirt poétique que le démon excelle. La science et l'érotisme contre la musique et les sentiments.

    Je repense à Christine Boutin : dans son 'Don Juan', Molière rappelle opportunément la séduction particulière que le diable exerce sur les femmes, la petite paysanne comme la bonne soeur dévote qui se disputent l'exclusivité du beau messager. Quelle est la carte maîtresse de Don Juan pour séduire ces dames ? Le mariage !

    L'engouement pour les stupides parodies de Molière par de Funès vient de là. Ces grimaces servent à protéger la tartufferie démocrate-chrétienne et le don-juanisme laïc des les charges de Molière.

    Nulle 'préscience' chez Molière, c'est le régime laïc qui est archaïque et pue les artifices et le puritanisme du XVIIe siècle à plein nez. Sans Descartes, par exemple, pas d'ingénieur de l'armement démocrate-chrétien, ni de cadre commercial démocrate-chrétien au service de 'Michelin' ou de 'Renault', ni de journaliste au 'Figaro' ; la bêtise de Jean d'Ormesson et tous les gâteux de l'Académie provient aussi du XVIIe siècle. Avant Hegel Descartes rend la division raisonnable.

     

     

  • Un feuilleton sinon rien

    En l’état actuel des connaissances, la façon la plus scientifique de noter les ministres du gouvernement Fillon serait de se baser sur l'audimat, puisqu’ils fréquentent tous assidûment les “talk-shows” à la mode, de Cauet (droite) et de Ruquier (gauche).

    Dans la course à la plus belle courbe d’audience, évidemment, Rama Yadé part avec un net avantage sur Roselyne Bachelot ou Christine Boutin. Elle n’a même pas besoin d’ouvrir son clapet pour séduire une clientèle plus large que la clientèle habituelle du “sarkoshow”, à savoir la ménagère de plus de cinquante ans.

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    Émoi en ce moment dans les médias, à commencer par ceux que contrôle Lagardère, vu que l'audience de Sarkozy semble fléchir. Un produit comme Sarko, les médias comptaient pourtant bien nous le vendre au moins jusqu’en 2012, retour sur investissement oblige.

    Mais, encore une fois, que le public finisse par se lasser de Dallas ou des Feux de l’amour, c’est pas ça qui est étonnant, mais au contraire que le feuilleton Sarko ait cartonné aussi longtemps : cinq ans !!
    Et c’est même pas un authentique feuilleton yanki, mais un simple “remake”, comme les cinéphiles auront remarqué.

    Sarkozy va-t-il se faire larguer aussi vite que Raphaël Enthoven par Carla Bruni ? Il est quand même moins insignifiant. Entre un journaliste et un politicien, il faut toujours choisir le politicien ; ce n'est pas une opinion très démocratique mais c'est la mienne.

  • Favoritisme

    De toutes les miss, moi mon béguin, celle que je préfère de loin, c'est la "Miss Droits-de-l'Homme". Elle n'est pas comme tous ces pantins à peine articulés qui représentent les provinces de France, sous la houlette de la Belle de Fontenay ; non, elle a du corps, du répondant, Rama Yade.

    Quand je la regarde, sa belle noirceur brillante, son air boudeur, elle me ferait presque oublier la trahison de Christine Boutin, voire la vulgarité de Roselyne Bachelot et de Valérie Pécresse réunies. Bien sûr, à force de répéter qu'elle a fait "Sciences-po", elle finira par ressembler à une sorte de Bernadette Chirac squattant un corps de reine, mais en attendant, c'est la reine du harem ! (Comme quoi Sarkozy n'a pas systématiquement mauvais goût et j'exagère un peu.)

    Paraît que Kadhafi a exigé qu'on lui organise une chasse à courre en forêt de Rambouillet, histoire de se cultiver. S'il avait eu un peu plus d'humour, il aurait demandé à ce qu'on lâche Rama Yade dans le bois, histoire de joindre la détente à la culture. Mais on ne plaisante pas avec les droits de l'homme. Ils sont trop sérieux pour qu'on ne leur consacre pas au moins un petit édito dans "Libé" ou "Le Figaro".