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obama

  • Sur Obama

    C'est amusant comme la politique ressemble aux échecs, et devrait porter le même nom, plutôt que brandir les couleurs de l'avenir, la démocratie, ou le diable sait quelle autre utopie attractive pour le peuple, comme la cape rouge du toréro pour le taureau.

    Hop, le cavalier noir Obama à la blanche vertu a pris la place du cavalier blanc Bush au noir dessein... et la partie continue. Les nations politiques sont des nations chinoises. Le cavalier dit mieux que le roi le niveau éthique où la politique, désormais, se joue. "Politique d'abord !" : n'est-ce pas le cri du mandarin nostalgique qui a perdu le sens du jeu - un fou ? L'homme du peuple est comme un pion : la seule pièce qui ne peut pas reculer. Son seul espoir ? Aller jusqu'au bout de la piste, et se métamorphoser ainsi en reine (l'ascenseur social). Bien souvent cette sorte d'homme dame le pion à toutes les autres pièces : on pourrait presque croire qu'il échappe à la règle inexorable du destin. Barack Obama n'est pas tout à fait du peuple, mais il en a l'air. La démocratie est la science qui manque le plus de preuves : Obama l'apporte.

    Rassurez-vous, je suis comme un enfant : je ne prends pas plus que ça le jeu au sérieux. Une partie d'échecs, quelle recherche du temps perdu ! Seul l'adulte est capable de prendre vraiment la vie ou la politique au sérieux. Il joue à s'en faire mal, et trouve encore le moyen de sourire. Souvent, un tel adulte n'a pas connu le sérieux de l'enfance, son mépris de l'amour et du hasard : on la lui a volée. Plié à la règle dès le début, il a été. Les femmes jouent à l'amour, comme les hommes jouent à la guerre, avec le même entrain ; je veux dire, je ne connais pas d'homme qui ne prenne l'amour comme une corvée - ça va bien cinq minutes. Tandis que la guerre ! Regardez notre Bernard national : tout d'un coup il est au front, à la tête de quelques soudards sanguinaires, et ce n'est plus le même homme ! On dirait Drieu La Rochelle, en beaucoup plus tenace. A la limite, l'amour ne vaut, pour les hommes, que comme prétexte à la guerre. Coupez l'excitation que procure la guerre aux hommes, et il n'y a plus que des jeux lesbiens.

    C'est pour ça que le suicide est une grande idée, la plus géniale de toutes les idées humaines : foutre l'échiquier en l'air. Ne croyez pas que le diable veut ça : au contraire, il est bien emmerdé. "Qu'avez-vous fait de la foi de vos ancêtres !?" Si le diable n'avait pas le sens de l'équilibre ou de la vertu, personne ne l'aurait. N'en déplaise aux nitchéens, la copie de Platon mérite une meilleure note. Nitche : 10/20 ; Platon : 15/20 ; Léopardi : 18/20 ; Darwin : 2/20.

    Le désespoir, chez l'homme, intimement lié au rire, est le signe de son intelligence. L'évolutionnisme n'explique ni le rire, ni le désespoir, mais seulement le masque ou la grimace sociale. L'évolutionnisme est un crétinisme. Il n'y a pas d'auteur comique intelligent dont l'art ne repose sur le désespoir, c'est-à-dire sur le sens de l'observation, et non celui du jeu.

    L'humour est la cuirasse de Shakespeare : il n'est pas nu sur le champ de bataille, comme tous ces connards à qui l'admiration d'Obama, Père Noël de couleur, à été injectée.

     

  • From Hitler to Obama

    In everything USA are continuing the German Dream of Civilization, but one point, teached by UK to USA: hypocrisy, without which you cannot make modern Civilization, but only old-fashioned irrelevant one of Hitler, that was defeated in two years.

    But hypocrisy, and therefore bad useless pulp-fiction of Johnatan Littell.

    Old tales that tell the story of a stupid Wolf which was mocked by a smart Fox are illustrating the victory of Democracy against Nazism.

  • Shakespeare vs Etats-Unis

    Barack Obama citant Shakespeare, c'est un truc aussi bizarre que Jean-Pierre Raffarin récitant le chapelet après un voyage d'affaire en Chine pour y fourguer du matériel français à la junte militaire qui dirige ce pays (en toute discrétion pour ne pas froisser un électorat dont c'est peu dire qu'il se voile la face à 100 %).

    Je veux bien que les peuples heureux ou qui désirent l'être soient hostiles à l'histoire, mais dans ce cas leurs dirigeants feraient mieux de citer Marcel Proust ou Walt Disney plutôt que Shakespeare (bien que certains contes pour enfants interprétés par Disney ont un sens apocalyptique, à l'instar des pièces de Shakespeare*).

    Vu que Shakespeare maîtrise le symbolisme comme peu de peintres, on peut douter qu'il aurait vu dans ces épis de maïs géants dressés vers le ciel, traduisant la "culture de vie", les symboles d'une nation chrétienne. On imagine d'ici ses plaisanteries salaces, dirigées contre ce type d'objets de culte et de dévotion. Plaisanteries qu'on ne comprend pas si on les croit gratuites, puisque Shakespeare entend par là souligner la trivialité de rituels et de formes d'art dont le sens est bien plus anthropologique que théologique.

    C'est plutôt la comparaison du chef des Etats-Unis avec un pharaon qui serait venue à l'esprit de Shakespeare, d'autant plus que le mélange d'architecture et de mathématiques qui forme la base de la religion des Etats-Unis n'est pas un complot ou un secret. L'oeuvre de Shakespeare contient déjà la satire la plus poussée du moyen âge et de son architecture sociale indue.

    Shakespeare souligne en outre dans plusieurs pièces le tempérament incestueux ou oedipien des rois et princes de son temps ; la mélancolie qui en découle et la chute d'autant plus rude que les chefs d'Etat ne sont que des bêtes de scène, mues d'abord par leur instinct, et donc aveugles.

    Or on voit que l'impérialisme a eu pour conséquence d'étendre cet instinct et cet aveuglement à des nations entières, chaque citoyen devenant une sorte de petit Oedipe tyrannique ou capricieux, "identitaire" gobant que la quête de ses origines l'empêchera de finir en petit tas d'engrais, et incapable de comprendre que la quête identitaire recouvre une stratégie de défense de la propriété, y compris par ceux qui ne possèdent rien.

    *Les contes mettant en scène une "mauvaise reine" et une "bonne reine" font référence à l'Apocalypse qui peint l'épouse du Christ, c'est-à-dire les chrétiens, tantôt sous un jour idéal et favorable, tantôt sous l'aspect d'une putain, donnant lieu à deux interprétations de la vision de St Jean, l'une morale (Dante Alighieri), l'autre historique (Shakespeare).

  • On The Road Again

    Dans la tradition de Tocqueville, Chateaubriand, Céline et Tintin, BHL voyagea en Amérique et s'y trouva mi-figue mi-raisin. Pas certain que tout le monde ait lu son livre, BHL a convaincu "France-Télévision" de diffuser une version "short cuts" filmée/voix-off de "crooner" de son périple (j'avais seulement feuilleté l'ouvrage magistral à l'époque, tombant sur la visite des bordels yankees, qui permet une comparaison avec le "Crazy Horse" de Paname-City).

    Résumé pour ceux qui n'aiment NI lire NI regarder la télé, mais seulement les blogues (2h/jour/Français) :

    - La Route : lacet serpentant à travers l'immensité des plaines arides plantées de cactus, idéal moyen de transit vers le trou du cul de l'Amérique, vroum-vroum fait parfois un gros "truck" plus effrayant que la baleine de Jonas : "out" Chateaubriand.

    - Obama : BHL avait prévu son élection. Dimension prophétique de l'essayiste.

    - Putes : hyper-hygiéniques ; c'est Arielle qui a dû être contente.

    - William Kristol : a des idées ; ça tombe bien, les Ricains allaient manquer de pétrole ; ils vont pouvoir se déplacer en Buick Kristoline. Car ça, BHL le dit pas, le Yankee ne marche pas, il se déplace. Le seul que j'ai vu marchant, cherchait justement à gagner la frontière française dans le sens inverse.

    - Las Vegas : assez vulgaire malgré tout le bien qu'on aimerait en dire ; BHL n'est pas Patrick Bruel, sachez-le, il fait du cinéma d'hauteur.

    - Prisons : on en ferme certaines pour en ouvrir d'autres.

    - Goulags : terme russe désignant des prisons russes. Pourquoi dire "goulag" à la place de Guantanamo ? Chercherait-on à atténuer les souffrances du barbu Soljénitsyne, non moins prophète de rien du tout que BHL ?

    - Mormons : impressionné, BHL, par leur sens de la famille : moment de sincérité.

    - Mur de la honte : inachevé selon BHL, car il autorise son contournement et les risques de dessication du peone mexicain égaré vers l'Eldorado de ses arrières-grands-parents.

    - Culture : contrairement aux idées reçues en France, il y a bien une culture aux Etats-Unis. Quel petit pédé de France ou de Navarre osera dire que les westerns c'est bof-culture à côté de la phénoménologie des nazis, Andy Warhol de la tomate dessalée en boîte ? Allons, soyons sérieux ou je sors mon six-coups.

    - Hamburger : BHL au régime. Moi ce que j'ai trouvé de mieux aux States, c'est la bouffe. Pas chère, croustillante, pas l'escroc-titi parisien à 10 euros les frites dégueulasses.

    - Question : pourquoi les Yankees n'ont pas aimé le bouquin de BHL ? Ils n'ont pas pigé qu'il leur faisait des compliments en français ? "The Beloved one" d'E. Waugh, satire britannique assez difficile à battre niveau concentration en vitriol, les Anglais étant encore plus impitoyables que les colons français avec leurs colonies, fut prise aux Etats-Unis pour un reportage caustique sur les cimetières pour chiens de Californie.

    Pour voyager incognito en Russie, BHL pourrait se faire décolorer en blond et porter la houppe ?

  • Chant down Sarkozy from Babylon

     

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    In Africa (Rwanda), French President Sarkozy accused Humanity to have been responsible of millions of African being killed. Sorry but this is liberalism trick one more time. Humanity-my ass! Capitalist system is not 'Humanity'. Auditor is crucial to make fake official history for Dummies to stay in drugs. To put out of the Black Register of Capitalist system all this waves of blood that make an Ocean now:

    - You have to prove that Rwanda politics was not depending on International Capitalist Trafic that makes Capitalist States send soldiers everywhere in the World to secure their business with religious or 'ethical' reasons;

    - You have to prove that Hitler's politics was not a capitalist one to whiten capitalism of millions of murders (what nazis did between 1935 and 1940 is exactly what Obama is dreaming about to do in the US Economics, with probably smallest opportunity to convince bankers to help the middle-class than Hitler had);

    - You have to prove that Abortion laws that made more than six millions of Foetus eliminated (in thirty years only in France) are not capitalist laws without any scientific reason but social, ethical or comfort.

    Out of Africa should go Capitalists professional story-tellers like Sarkozy, not only because of their Pharisaism (as much Christian than Jewish now), but therefore because of the evidency that they drove countries like France or California, 'lands of milk and honey', to bankruptcy. Tale of capitalism is so plain now: wish of milk and honey as a religion (that Hitler did not created only) leads to waves of blood.

  • Marx pour les Nuls

    Je ne me lasse pas de résumer Marx à sa plus simple expression. C'est utile pour ne pas tomber dans la religion communiste comme Aragon, Althusser & cie.

    Donc, la politique est un rêve ; on le comprend facilement à partir des exemples de Néron, Napoléon, Hitler ou Obama (je fais exprès de prendre des Romains). Quant au capitalisme c'est un rêve érotique, une pollution nocturne. Le capitalisme est donc la politique ramenée à l'essentiel.

    (Un chrétien se doit d'ajouter que la politique est aussi le rêve de Judas Iscariote.)

  • France against USA

    Best-seller author Samuel Huntington is too far away from Western idea of history to be considered as a true scientist. But he is although pointing the good reason why French people who are knowing their own history, art, customs, religion(s), do regard USA-culture as a foreign culture, not only for the sole detail that the USA have a theocratic constitution (French constitution is theocratic too, a theocracy in which the State does not let any place for God. The laws that are fighting against muslim or christian religious symbols prove that Marx was true: State religion is a stronger drug due to its mask of neutrality (Marx in his critics against nazi's State and legacy as G.W.F Hegel does define it.)

    USA, says Huntington, never knew catholicism and marxism. Catholic religion is not that much different from other Christian religions in fact nowadays, a theological unity that is starting from English and German Reformation (Best proof is that German Ratzinger does quote Saint Augustine very often, who was for medieval (!) catholic theology old fashioned.)

    As the Christian religion almost died in Europe (only 2% of French people go to the catholic mass) and last popes were coming from Eastern culture, one can even say that there is no big difference between protestantism and catholicism anymore (I mean 'no big' regarding theology). Who is interested in theology can even notice that Luther or Melanchton were closer to Aristotelician principles that grounded catholicism during about four centuries than today pope Benedictus XVIth himself does! But there did exist in catholicism a theological idea against theocracy that of course influenced some French philosophers of the XVIIIth, following Bacon and Shakespeare, English example.

    Let us say that Greek Materialism or criticism that Marx tried to introduce again in Europe in the XIXth century never influenced the USA. Best proof is that Time is almost treated as a god in USA culture.

    And this materialism is what can characterize Western Europe culture from others, even if one has to say that marxist historic science is opposite to mainstream French State devotion too.

    No doubt that the commercial and military alliance of France with the USA has for the moment a bigger influence on French people idea about USA.

    French immigrants from Africa, if they were proud of Obama's 'choice' are nevertheless seeing USA-military invasion of Irak nothing else as a colonial war.

  • A Prize for what?

    Peace Nobel Prize: this is no gift for a virtual mass-murderer like Obama. What the Hell will he make with all his weapons now?

    Jurymen (and women) of Stockholm usually give their prizes to crazy economists, worst novelists (I was almost disgusted of reading when I was seventeen by French Le Clezio who got the Nobel recently), without forgetting engineers who do not doubt that dynamite is essential in human progress (Hitler's engineer Fritz Haber who got the Prize for a gas-explosion detector in 1918 is in fact the more 'human' of them.) That is why one can guess they did not give their Prize to White House Resident on purpose. Best meaning to check it is to wait until next year to know if they give the Peace Prize to Ben Laden and his Al-Qaida party for same reason: helping Ben Laden to be a peace and love guy.

  • Shocking Civilizations

    Do US people love the France of Versailles and Louis XIVth? Or the one of the Revolution and Robespierre? Question is not so stupid as USA is supposed to be a democratic nation and illustrate the new modern citizenship -Freedom-Ladies-and-Gentlemen! Obviously USA-Nation has everything to do with Versailles' Great Time from which its Science, Art, Religion (and maybe even its pornography) is issued.

    Comparing worshiping king of France Louis XIVth, supposed to be nothing less than a human God or the son of the Sun, with worshiping President Obama, one must say that the worldwide love for Obama is more superstitious (Though the French press suck our Government and State as much as they can, a few journalists were rather surprised by the ask of Obama's wife to open Parisian Shopping Paradise on Sunday when she came with her husband, children and bodyguards. 'What's that? Sunday is Monday now and Shopping religion the religion of every day?' Hypocrisy is essential virtue to be a good French journalist, with a rather big diploma in ignorance.)

    Devotion for Louis XIVth is kept by the Versailles stylish furniture or gardening, but cruaulty of diseases and starvings, especially when they were caused by the king wars, makes the comparison between the devotion of any African people today for their President or Dictator more adequate. The popular love for Louis XIVth grand-grand-son Louis XVth who was a better king, more pacific, suddenly turned into hate for almost no concrete reason.

    Obama is just a picture on TV of the nice guy every mother wants her son to look like, speeching the Harvard language whiter than George Bush dark slang, with the Nobel Peace Prize in his pocket that will no doubt impress God himself (speciality of Nobel Swedish Jurors is to give prizes to mass murdering tools as they did fresh with Princeton crazy engineers using Black Jack rules to calculate profits after German bishops blessing Atom -"Thu are atoms and thu will turn into atoms later.")

    Therefore the French Revolution or the English one never happened in France or England countries themselves but only in Bacon's or Voltaire's thoughts; exactly as Karl Marx' willing to get rid of the State Anarchy is not real yet.

     

  • Fillon et les Juifs

    - Le curé de Levallois-Perret, auteur du petit laïus pour les obsèques de la jeune touriste française assassinée en Egypte sera-t-il cloué au pilori pour avoir tenté d'importer en France le conflit Ben Laden-Obama en fustigeant le terrorisme arabe ?

    - Au comptoir d'un troquet, je suis pris à partie par une (jolie) négresse outrée que j'ai pu dire à mon pote que Ben Laden m'est beaucoup plus sympathique qu'Obama... elle ne me laisse pas finir ma phrase : Obama ou tout connard sorti d'Harvard en général qui prête serment sur la Bible pour mieux dézinguer des innocents ensuite sans scrupules.

    Je manque même de peu de me prendre une torgnole et de me faire traiter de raciste. Un peu calmée par un compliment ou deux que je fais sur sa beauté, elle m'explique qu'aux Etats-Unis, au moins, on n'empêche pas les Noirs d'entrer en boîte de nuit, comme en France. Que Ben Laden et Dieudonné font tout pour rendre l'intégration des gens de couleur dans la société française plus difficile. Qu'est-ce que je peux répondre à ça ? Surtout dans un bar où on diffuse de la musique cadencée afin d'éviter tout dialogue véritable entre les gens ? Ma proposition de l'embrasser sur la bouche pour nous réconcilier, même si elle n'y consent pas, ramène un peu de sérénité.

    - Pour faire oublier son incompétence, Fillon fustige les antisémites qui, en France, blablabla... Si les bobos ont une religion, c'est bien l'antiracisme. Pour un capitaliste, la véritable preuve de sa prédestination, c'est l'épaisseur de son compte en banque ; si ça peut conforter celui-ci, il est disposé à consentir à la race noire, jaune, rouge ou sémite, tous les mérites possibles et imaginables. Quand je vois la gueule de Fillon, et quand j'entends ses discours, je regrette de ne pas avoir commencé de dégueuler sur les curés démocrates-chrétiens irresponsables dix ans plus tôt.