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  • Dans la Matrice

    La science des régimes communistes, c'est l'Histoire.

    La science du régime nazi, c'est la Biologie.

    La science des régimes libéraux, c'est l'Economie.

    Importance de la pseudo-science au stade totalitaire, qui joue le même rôle que les religions au stade précédent.

    Le hasard s'introduit dans les consciences par le biais de ces pseudo-sciences, prenant la place occupée auparavant par la providence. Le hasard révèle la nature anthropocentrique des pseudo-sciences totalitaires, par conséquent largement anti-expérimentales.

  • Le cas Bergoglio

    La démission de Joseph Ratzinger (Benoît XVI) au profit d'un nouveau pape évoque la démission d'un général après l'échec de son plan de bataille. Les discours publics de celui qui fut l'éminence grise de Karol Wojtyla (Jean-Paul II) rencontraient l'hostilité des médias du monde entier, qui ne manquaient jamais une occasion de rappeler son adhésion aux jeunesses hitlériennes.

    On peut penser que J. Ratzinger n'a jamais souhaité devenir pape, sachant que ce "péché de jeunesse" ne manquerait pas d'être mentionné par les médias, le rendant pratiquement inaudible.

    La réaction des médias et leur attitude comptent beaucoup du point de vue catholique ; le nier, c'est ignorer l'histoire de cette Eglise, ou encore refuser de prendre la mesure des efforts considérables de Jean-Paul II pour devenir une star planétaire, ce qui constitue un triomphe ou un sacre médiatique.

    Interrompue par l'inaptitude de Benoît XVI dans ce domaine, la marche en avant de l'Eglise romaine pour la reconnaissance médiatique a repris sous l'impulsion dudit "Pape François" (Jorge-Mario Bergoglio). L'Eglise romaine accuse un certain retard dans ce domaine, en comparaison de la religion dite "réformée" et des différentes sectes protestantes, déployées d'abord dans des pays du Nord de l'Europe où le journalisme est beaucoup plus moderne et efficace qu'en France ou en Italie. En France, la presse et les médias n'ont pratiquement aucune indépendance vis-à-vis de l'appareil d'Etat, sur le modèle soviétique (ou vice-versa).

    L'action du Pape François rencontre une certaine hostilité de la part des milieux catholiques français, ce qui était sans doute le cas aussi de son prédécesseur, pour des raisons et dans des milieux un peu différents. Le Pape François n'a sans doute cure des réticences françaises à son discours. D'abord parce que l'indiscipline française est presque une tradition multiséculaire; si la France n'a jamais rompu avec le pape, elle n'a jamais cessé de lui être infidèle, le trompant tantôt avec le roi, l'empereur ou la République.

    Et puis, surtout, ces catholiques français capricieux ne sont plus qu'une poignée, pas ou peu représentée directement sur l'échiquier politique. Le premier soin des candidats démocrates-chrétiens en France est de minimiser (au maximum) leur foi afin d'élargir leur audience.

    L'hostilité d'une partie des catholiques français s'explique par des raisons politiques. En effet, tandis que Benoît XVI semblait s'adresser d'abord aux Européens, le Pape François s'adresse aux pays en voie de développement, représentatifs de l'avenir, tandis que la situation démographique de l'Europe, son vieillissement, n'offre guère de perspective.

    (Pas question pour le pape d'approuver le "mariage gay", qui du point de vue du tiers-monde est perçu comme un caprice d'enfants gâtés ; pas question en revanche de condamner fermement l'avortement ou la contraception, qui dans le tiers-monde apparaissent comme le meilleur moyen de lutte contre la misère.)

    Sur certains points, le discours du pape François a même presque une tonalité "anti-occidentale", ce qui s'explique assez bien à cause du sentiment d'agacement, voire de colère, qui prend de l'ampleur dans les pays du tiers-monde et les pays en voie de développement, compte tenu des privilèges de l'Occident et de leur domination politique. Le pape trouve là une occasion de gommer l'image "d'Eglise des nantis et des patrons", qui colle à l'Eglise catholique depuis le XIXe siècle et les pamphlets prolétariens, dont les dommages en termes de propagande ont sans doute été considérables, et au moins comparables à l'affront de la Réforme protestante.

    En définitive, ce ne serait pas un paradoxe si grand de constater que la mondialisation se présente du point de vue de Rome comme une aubaine, c'est-à-dire comme le moyen de s'exprimer pleinement "urbi & orbi" (ce qui n'est pas encore le cas aujourd'hui, compte tenu de la puissance des médias occidentaux).

    Il n'en reste pas moins vrai que toute propagande se heurte à la défense expresse du Sauveur d'utiliser son message pour la défense d'une cause terrestre quelconque, que celle-ci soit nationale, prolétarienne, élitiste, économique, humanitaire. Le plan social, dans l'apocalypse, se confond avec l'enfer. 

  • Renouveau missionnaire

    Quelques gazettes ont titré ces dernières semaines sur le "renouveau missionnaire" (sous-entendu : catholique) ; en même temps, quasiment plus personne n'ignore la part de propagande dans le journalisme...

    De mon point de vue, l'islam représente une alternative à la culture dominante plus crédible, notamment auprès des adolescents. La crise économique prive la culture dominante de son principal argument.

    Quoi qu'il en soit, il faut rappeler que la mission chrétienne impose au missionnaire un cadre strict, sous peine de déclencher la colère de Dieu, ainsi que nous voyons les apôtres sévèrement admonestés par le Sauveur pendant sa vie publique. Les missionnaires chrétiens ne doivent pas témoigner d'une autre réalité que celle du Salut, et imiter ainsi l'apôtre Paul.

    - Le christianisme n'est pas de ces religions qui fournissent un certain nombre de recettes sociales plus ou moins efficaces.

    Ce que nous prenons parfois pour le retard du Royaume de Dieu, n'est en réalité que l'effet de l'impureté de l'homme et de ses paroles, où l'influence du péché et la sidération de la mort sont parfois perceptible, y compris quand il prétend se ranger sous la bannière du Christ.

    Pas plus qu'un savant n'estimera digne de la science ou de son statut d'enseigner n'importe quoi dans son domaine de compétence, préférant avouer son ignorance le cas échéant, un missionnaire chrétien ne doit prêcher au-delà de sa compétence, s'il n'en a pas (à la manière de certains prêtres qui font de grandes phrases creuses en chaire).

    Nous voyons que les apôtres du Messie sont des bons à rien, incapables d'être attentifs même à ce que Jésus-Christ leur dit, se comportant plutôt comme des petits chiens avec leur maître, tant que l'Esprit de Dieu n'est pas descendu sur eux à la Pentecôte, et avec lui la science de la Parole de Dieu et de son Esprit.

    Ignorer la force que représente l'Esprit pour un missionnaire chrétien serait comme pour un policier partir en patrouille pour faire régner l'ordre sans arme de service.

    Dans les nombreux mensonges qui sont proférés "au nom de Jésus-Christ" : mensonge de la "nation chrétienne", ou encore du "socialisme chrétien", de "l'économie chrétienne", le missionnaire chrétien doit voir l'ultime ruse de l'antéchrist pour enchaîner l'homme à la roue du Temps.

     

     

  • Du Fanatisme

    Contrairement à la rumeur, le fanatisme n'est pas axé autour de la notion de "dieu", mais autour de la notion de "mort".

    Ce qui signifie que pour un former un combattant djihadiste disposé à se sacrifier, ce qui compte n'est pas tant d'exalter Allah ou Mahomet que la mort, en attribuant au sacrifice de la vie le plus grand prix.

    Le fanatisme le plus meurtrier de tous les temps, et qui demeure le plus actif aujourd'hui, quantitativement, à savoir le nationalisme, se passe parfaitement de l'exaltation d'un quelconque dieu. En revanche, pour fabriquer un soldat nationaliste prêt au sacrifice, il faut prêcher la "bonne mort". Dans cette perspective, inculquer la croyance dans la survie de l'âme après la mort est un premier élément de prédication. Certaines utopies politiques totalitaires, telle la démocratie, ne font que transposer dans l'ordre temporel la croyance religieuse dans l'au-delà.

    L'exaltation du travail, dans la culture démocrate-chrétienne/capitaliste, nazie ou soviétique, est un autre élément de la culture de mort fanatique. L'exaltation du travail prolonge le sermon mensonger du clergé sur les oeuvres, qui selon l'apôtre Paul ne contribuent pas au salut.

    Opposés dans le schéma du "choc des cultures", combattants djihadistes et combattants nationalistes au service de telle ou telle nation sont mus par la même impulsion macabre.

  • Démocratie et Trous noirs

    Poursuivant l'ouvrage de Simone Weil ("La Science et nous", 1941) je mets ici en relation la démocratie et les "trous noirs", invention de la physique quantique dernier cri (trois techniciens de laboratoire américains viennent de se voir décerner le prix Nobel de physique, récompensant leur méthode de détection des ondes gravitationnelles produites par la fusion de deux "trous noirs").

    La mise en relation d'un système de valeurs politique et d'une théorie scientifique peut surprendre. Pourtant cette coïncidence est frappante, non seulement en ce qui concerne l'Egypte antique et sa formule politico-géométrique, mais aussi en ce qui concerne la démocratie moderne. De nombreux apôtres du régime démocratique prêchent simultanément sur les deux terrains, "scientifique" et "politique".

    Mes observations prolongent celles de Simone Weil puisque cette essayiste chrétienne a remis doublement en cause le fondement rationnel de la démocratie moderne et de ladite "physique quantique", élaboré en marge du développement de centrales nucléaires civiles et de bombes atomiques (censées garantir paix et démocratie).

    - Première observation : la démocratie se présente comme une "politique-fiction", de même que la physique quantique est une "science-fiction". Autrement dit, la démocratie est une politique en devenir, hypothétique, ce qui n'est pas le cas de toutes les doctrines politiques. La démocratie n'est pas l'égalité, mais elle tend vers l'égalité - du moins est-ce son objectif déclaré et officiel.

    De même la part de l'hypothèse dans la physique quantique est très grande. La place des modèles mathématiques permet de mesurer l'importance de l'hypothèse, étant donné la variabilité de ces modèles (le modèle de Copernic en partie périmé par le modèle suivant, etc.).

    Au demeurant la géométrie algébrique repose sur des postulats hypothétiques (infini, zéro), et non des preuves expérimentales. Autrement dit : le calcul mathématique EST antimatière. Il est donc logique que les savants qui recommandent une méthode scientifique fondée sur l'expérimentation recommandent de se méfier de l'abus de lois et de calculs algébriques.

    Le mathématicien Henri Poincaré fait ainsi la juste remarque qu'il est impossible de déduire des calculs de distances interstellaires effectués par Copernic la forme matérielle de l'univers. On pourrait en effet, sur la base d'une démonstration algébrique, postuler que la terre est plate : c'est ce que font les géographes lorsqu'ils dessinent des planisphères.

    En résumé : de même que la démocratie tend vers l'égalité, la physique quantique tend vers le trou noir (ou vers un point, en cas de modélisation bidimensionnelle).

    - Seconde observation : l'égalité (plus ou moins stricte) est un point de départ de la réflexion démocratique, en même temps qu'il est représentatif de son accomplissement. L'antimatière se retrouve de même aux deux bouts de l'enchaînement des démonstrations algébriques. On trouve déjà l'ébauche de "trous noirs" dans la mécanique de Descartes.

    La physique quantique ne tient pas compte des tentatives de réformer la science au début du XVIIe siècle en ménageant une part plus grande à l'expérimentation, afin de réduire la part de l'hypothèse et de la fiction, caractéristiques de la science médiévale. Cette dernière était fondée sur une méthode stérile, excessivement spéculative. 

    Dans le domaine de la physique quantique, les hypothèses sont formulées AVANT que ne soit procédé à des essais de vérification expérimentale, ce qui contredit le conseil de la méthode expérimentale inductive qui consiste, à l'aide d'expériences, à interpréter et classer tel ou tel phénomène apparent, aspect de la matière, transformations de celle-ci, etc.

    Ainsi on cherche à vérifier l'existence de trous noirs APRES en avoir formulé l'hypothèse. On va chercher dans l'espace apparemment infini, le moins adapté à l'expérimentation et à la confirmation de celle-ci, à des dizaines de millions d'années-lumière, la preuve de ce que l'on avance sur le papier.

    Pourquoi ne pas chercher à établir l'existence du rien dans la matière ici-bas ? On objectera que c'est le cas ; mais, là encore, c'est d'une façon la plus sujette à caution, compte tenu de la vitesse théorique accordée à la lumière. Alors qu'il reste tant à découvrir et à explorer, pourquoi se focaliser ainsi sur ce que la matière a de plus insaisissable ?

    De même on peut faire la réflexion de l'absence presque radicale de pragmatisme dans la démocratie moderne, où les problèmes économiques élémentaires sont délaissés au profit de discours abstraits sur le progrès.

    - Troisième observation : le cadre de la physique quantique semble moins irrationnel dès lors que l'on se situe dans le domaine technique ; sur le plan technique, on peut bien en effet se fixer pour objectif raisonnable d'améliorer les conditions de vie sur terre. Le progrès le plus probable sur le plan politique est, au demeurant, le progrès technique, non le progrès "démocratique" au sens idéal strict. Beaucoup ne réclament plus, en matière d'égalité, que l'accès au confort et au progrès technique pour tous.

    Déraisonnable serait de concevoir l'amélioration du monde "à l'infini" par le moyen du progrès technique. Un proverbe antique met à mal le perfectionnisme technique moderne : "Le mieux est l'ennemi du bien."

    Que la technique soit "un art en devenir", susceptible d'évoluer, ne doit pas pour autant conduire à une conception mécaniste de l'univers, dont le "trou noir" serait en quelque sorte l'âme fascinante.

    En conclusion : le darwinisme a accoutumé l'opinion publique à penser la science en termes de profit politique, dans la mesure où le darwinisme a inspiré pléthores de "doctrines sociales", que ce soit le nazisme, le capitalisme/démocratie-chrétienne, ou encore certaines variétés de socialisme. Néanmoins, d'un point de vue scientifique, l'usage politique de la science doit faire suspecter un biais anthropologique dans la science.

  • Sainte Psychanalyse

    La psychanalyse et les psychanalystes prolongent l'oeuvre du clergé catholique. Je le déduis de la perméabilité des milieux catholiques à cette pseudo-science, ainsi que d'un ouvrage de Carl Jung qui établit l'origine médiévale de la psychanalyse (si tous les catholiques ne le savent pas, le moyen-âge est la "place forte" du catholicisme).

    Le pape Benoît XVI fit ainsi l'extravagante proposition, à la suite de scandales sexuels à répétition dans les séminaires catholiques, de soumettre les candidats au sacerdoce catholique à un examen psychologique préalable. Etonnante confiance dans la psychiatrie, dont les résultats ne sont pas probants... Mais surtout, cette recommandation traduit une conception du sacerdoce étrangère à celle que les évangiles mettent en avant, et que l'apôtre Paul explique.

    Dès son apparition, la psychanalyse a rencontré l'opposition de médecins, de philosophes ou de savants ; la prétention de la psychanalyse à la critique littéraire ou artistique a notamment été brocardée sans ménagement.

    Mais les psychanalystes ont su rapidement mettre au point la censure qui protège leur art de la critique ; on ne trouve pas facilement en France dans les bibliothèques les auteurs qui contestent le pouvoir thérapeutique ou la valeur scientifique de la psychanalyse. Le service que la psychanalyse et les psychanalystes rendent à l'Etat (ils siègent même parfois dans les tribunaux) explique largement l'efficacité de cette censure.

    Je reproduis donc ici l'avis de Ludwig Rubiner sur la psychanalyse (souligné par moi) :

    "Quand, au bout d'un bref séjour, je quittai de nouveau Berlin, la psychanalyse s'y était entre-temps établie. Elle est excessivement intelligente, et une conversation avec elle fait partie des singuliers plaisirs de cette vie - pour peu qu'on soit enclin à traîner formellement en longueur des hypothèses avec une fièvre logique. Mais il faut dire qu'elle est également d'autant limitée qu'elle veut s'appliquer à tout.

    On croyait autrefois, de façon naïve et niaise, que la prétendue "vie" s'orientait, à peu près une génération plus tard, sur la spéculation artistique. C'est trente ans après les préraphaélites anglais, par exemple, que les dames de Saxe ont porté des vêtements rationnels.

    Il nous faut apporter un complément à cette règle : la "Science" en procède elle aussi. Trente ans après la mort de Dostoïevski, apogée, pour toute une génération, d'une littérature qui analyse l'âme, la psychanalyse entre en action. Elle est évidemment loin de se douter qu'il ne s'agit plus depuis longtemps pour nous de problèmes en discussion, mais de faits, d'éléments concrets, de quelque chose qu'il est possible d'exprimer par les statistiques : il ne s'agit plus pour nous de psychologie, mais de notre nouvelle mythologie.

    C'est pourquoi, dans sa valeur logique, la psychanalyse est fort inintéressante. Ce qui est seul important, c'est son utilité grossièrement pratique, le résultat thérapeutique.

    Observez sur qui opère la psychanalyse : non sur les êtres créateurs (législateurs). Mais sur ceux dans la vie desquels la nature peut pénétrer immédiatement ; sur les artistes impressionnistes, sur les personnes qui aiment la mer et sur les femmes.

    En revanche elle reste sans aucun sens pour des êtres qui sont dirigés par un esprit libre ; car chez eux la mémoire n'a pas à jacasser en vue d'une libération - elle procède, au contraire, d'une transposition, à l'intérieur d'objectifs qu'elle s'est consciemment fixés, en action directe." (1913)

    Autrement dit, les personnes malades sont particulièrement disposées à prendre la psychanalyse au sérieux. Il est vrai que beaucoup de médecins, aujourd'hui encore, demeurent assez sceptiques.

    Par "esprit libre", L. Rubiner entend "forte volonté", ce qui n'est pas la même chose (en particulier du point de vue chrétien où seule la vérité rend libre). Néanmoins il est vrai qu'un homme d'action vit dans le présent, délesté au maximum du fardeau du passé, dans lesquelles beaucoup de personnes passives demeurent engluées.

    Réduite à une méthode consistant à se débarrasser du passé, la psychanalyse serait assez bénigne et équivalente du sacrement de confession catholique. Mais Rubiner a raison d'envisager la psychanalyse beaucoup plus largement, comme une cause et une conséquence en même temps d'une évolution des mentalités en Occident.

    Il faut préciser que la nouvelle mythologie bourgeoise est une antimythologie, puisqu'elle place l'homme au centre de l'art et de la littérature. Le cinéma est le parfait exemple de cette antimythologie bourgeoise, puisque cet art est presque entièrement thérapeutique. Il m'est arrivé de croiser quelques hommes et femmes d'action au cours de mon existence : aucun ne parvenait vraiment à s'intéresser au cinéma.