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fornication

  • Rendre à César

    La politique est le domaine de César, ainsi que toutes les questions sociales contiguës.

    C'est à propos des impôts, question éminemment sociale (on dit que l'argent est le nerf de la guerre, mais il permet aussi d'acheter la paix) que les scribes et les grands prêtres juifs décident de tendre un piège à Jésus-Christ. -Nous est-il permis, ou non, de payer l'impôt à César ? (Luc, XX,20), font-ils demander à Jésus.

    La réponse de Jésus est célèbre : -Ainsi donc, rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.

    Jésus stigmatise ainsi la confusion des choses matérielles et des choses spirituelles ; sa réponse est facile à comprendre ; elle l'est d'autant plus que Jésus indique clairement que son Royaume n'est pas de ce monde.

    Il est sans doute humain de se préoccuper des questions sociales avant tout ; mais Jésus-Christ nous adresse un message divin, spirituel, qui ravale les problèmes humains à un rang inférieur. Dans la plupart des religions païennes, les questions religieuses et les questions sociales sont emmêlées.

    La réponse de Jésus est sans ambiguïté, mais l'Eglise catholique romaine s'efforce de l'occulter pour justifier les pactes qu'elle a passé et passe avec les puissants de ce monde. On peut lire ici ou là sur des sites de propagande catholique que Jésus ne prohibe pas l'engagement politique et social (!). Il faut ici toutes les ressources de la casuistique enseignée dans les séminaires pour faire dire au Christ autre chose que ce qu'il dit : l'engagement politique et social est dépourvu de fondement spirituel.

    - Un chrétien peut-il participer à un scrutin électoral ? Jésus-Christ ne dispense pas de payer l'impôt. Il arrive que les scrutins électoraux aient un aspect d'organisation pratique. Cependant le populisme et la démagogie jouent un rôle primordial dans le gouvernement des grandes nations désormais ; rares sont les élites dirigeantes qui ne recourent pas à la mystification du peuple, et cette mystification implique une forme de religion mystique parfaitement étrangère au christianisme (le mysticisme de Tocqueville ou celui de Hegel sont, au XIXe siècle, deux formes de mysticisme qui, pour se référer au christianisme, n'en sont pas moins parfaitement étrangers à l'esprit du christianisme).

    Ce qui est interdit au chrétien, c'est de faire valoir des solutions politiques ou sociales chrétiennes. C'est là le péché de fornication, le plus grave, car il est dirigé contre le salut, la parole et l'esprit de dieu. La démocratie-chrétienne procède entièrement de la fornication. Plus ou moins manipulés ou manipulateurs, les acteurs de la démocratie-chrétienne s'exposent à la damnation.

     

  • Le scandale arrive...

    Avant de parler du scandale et de la catastrophe qu'il entraîne selon les évangiles, il faut dire qu'à chaque mot, deux sens opposés sont attachés.

    Ainsi de la FOLIE. Il est fou, pour une majorité, de s'exclure du monde, quand pour d'autres, au contraire, c'est folie d'en faire partie. Et nul ne trouvera jamais de remède à LA folie, car il en est deux sortes opposées.

    On voit de même qu'il y a deux espèces de scandale, puisque le Messie est motif de scandale pour les Juifs, en même temps qu'il accuse le monde d'être scandaleux, à cause du péché.

    "Malheur au monde à cause des scandales ! C'est une nécessité qu'il arrive des scandales ; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive !" (Matth. XVIII,7-8)

    Ici il s'agit du scandale représenté par l'iniquité du monde et la fornication. On doit comprendre que le monde est nécessairement inique, c'est-à-dire qu'il a été conçu ainsi et le restera jusqu'à la fin des temps. Tenter de changer le monde est vain, mais ce qui ne l'est pas c'est d'échapper à cet engrenage.

    La fornication quant à elle, dont j'ai déjà parlé longuement, est le pire des péchés, puisqu'il consiste à faire dire à la parole divine ce qu'elle ne dit pas. Par exemple : le scandale du monde n'est pas nécessaire ou inéluctable, ce que l'on entend parfois de faux chrétiens dire, sincèrement ou parce qu'ils portent un masque. La fornication est le pire des péchés, et donc la meilleure arme de Satan.

    "Il [Israël] s'est heurté contre la pierre d'achoppement, selon qu'il est écrit : "Voici que je mets en Sion une pierre d'achoppement et un rocher de scandale, mais quiconque croit en lui ne sera pas confondu." (Rom. IX-33)

    Ici l'apôtre Paul aux Romains, citant le prophète Isaïe, explique comment le Messie a été confondu par Israël avec le scandale. Paul explique qu'Israël, le peuple de dieu, tout en conservant la loi a erré en voulant se justifier par ses oeuvres et mettant en place sa propre justice sans chercher la justice de dieu, que le Messie a révélée au monde au prix de son assassinat.

    "La fin de la Loi, c'est le Christ", ajoute Paul, de sorte que par la loi de Moïse fut mise en place, non une loi sociale, mais une loi de justice, pour indiquer le chemin aux justes et non servir aux justiciables. Et c'est ce que les Juifs ne comprirent pas ou feignirent de ne pas comprendre.

    Paul exhorte les chrétiens qui causent scandales et schismes en s'écartant de l'enseignement du Messie : "De tels hommes ne servent point le Christ Notre-Seigneur, mais leur propre ventre, et avec leurs paroles douces et leur langage flatteur, ils séduisent les coeurs des simples. (...) Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds."

    Ainsi on peut dire de la doctrine sociale démocrate-chrétienne qu'elle tient un discours doucereux et séducteur en tentant de faire croire qu'elle peut remédier à l'iniquité du monde.

  • Fornication catholique romaine

    Comme nous nous efforçons de le démontrer sur ce blog depuis plusieurs années, tentant ainsi de détourner de l'antichristianisme des hommes et des femmes qui se croient justes, mais qui sont trompés par les mensonges du clergé romain, ladite "doctrine catholique romaine" est une incitation à la fornication, sous couvert de combattre pour le royaume de dieu.

    - La "fornication", terme employé dans le nouveau testament et repris par les exégètes chrétiens, n'est pas l'acte de chair ou le coït à proprement parler. Il n'est pas non plus telle ou telle pratique sexuelle au sens large, considérée comme anormale dans telle ou telle culture. La fornication consiste à prêter à un acte charnel ou naturel une dimension spirituelle qu'elle n'a pas, et à poser ainsi une déviation sur le chemin étroit qui mène au salut, ramenant en enfer.

    - La "fornication" est péché contre l'esprit de dieu ou la parole divine. C'est, dans le nouveau testament, le seul péché qui déclenche la colère du Messie, contre les Juifs ou ses apôtres. La trahison de Judas l'Iscariote, même, ne déclenche pas une telle colère. En effet, qu'y a-t-il de pire que d'indiquer le salut ou l'amour chrétien là où il n'est pas ?

    - Quant à la "vertu", que les moralistes païens rapprochent de la modération, les évangiles indiquent clairement qu'elle n'est ni une condition suffisante pour le salut, ni une condition nécessaire. Quiconque parle de "morale judéo-chrétienne" ne sait donc pas de quoi il parle ; pire, il répand le poison du relativisme, c'est-à-dire de ce sentiment que l'on trouve répandu dans l'Occident contemporain sous la fausse appellation "d'individualisme"(que le comportement grégaire des peuples occidentaux dément).

    - La fornication catholique romaine est évidente aujourd'hui. Elle éclate au grand jour, par exemple, dans la débile et ridicule "théologie du corps" ourdie par l'évêque de Rome connu sous le nom de Jean-Paul II, où la doctrine catholique rompt les amarres presque de façon ostentatoire avec les évangiles. Pourquoi pas une "théologie de la chair", tant qu'on y est ? Parce que ce serait réclamer la franchise à l'antéchrist qui procède par ruse.

    Mais la fornication catholique est de longue date ; elle remonte au moins au moyen-âge, de sorte que l'on ne peut pas l'imputer au seul Jean-Paul II. La fameuse pièce de Shakespeare, "Roméo et Juliette", a ainsi le don de révéler au grand jour cet élément de fornication, central dans la doctrine catholique romaine. Shakespeare montre en effet dans cette pièce quelles sont les raisons qui peuvent entraîner de jeunes gens à se soumettre à un idéal amoureux falsifié, la passion excluant tout amour véridique. Et, parmi ces éléments, on retrouve le clergé catholique à la manoeuvre. Shakespeare vise par ailleurs dans ses sonnets le poète catholique franc-maçon Dante Alighieri, pour la même raison.

    De nombreuses notes sur ce blog permettent à celui ou celle qui le souhaiterait de reconnaître l'Adversaire à travers la doctrine romaine subversive.

     

  • Fornication catholique

    Le péché de fornication est la pire chose dont on puisse accuser un chrétien. La colère du Christ Jésus est chaque fois déclenchée par elle contre ses disciples ou les Juifs, tandis que Jésus n'a pas de réaction en face du blasphème des païens.

    Le clergé romain est le principal responsable de l'occultation de ce péché contre l'esprit de dieu, afin de retarder l'apocalypse pour le compte de la bête de la terre. En faisant croire que l'on peut prévenir la fornication par la morale sexuelle, alors que la fornication EST la morale sexuelle.

    Idiot utile, le "père" Alain de La Morandais (tu n'appelleras "père" que ton dieu et ton dieu seul, dit l'écriture sainte), est convoqué par les chaînes de propagande capitaliste, télévision ou radio, dès qu'il s'agit de fournir une explication aux paroles de l'évêque de Rome, son chef, en matière de morale catholique. Les authentiques chrétiens n'ont pas de chef et sont responsables de leur propre salut, et M. de la Morandais s'exprime au nom de son club de branleurs capitalistes, et en lui seul. De même quant un éditorialiste du "Figaro" a l'audace de se dire "chrétien", ne voyez-là qu'une manifestation de la ruse de Satan.

    Le divin La Morandais, prêt à toutes les galipettes pour cinq minutes dans la lumière des projecteurs, déclare à des centaines de milliers de Français, voire des millions, que "le plaisir sexuel est un don de dieu" (!) ; la preuve, il l'a lu dans un traité du pape Karol Wojtyla. Sans rire. Bien sûr le fromage et le pinard des moines sont un cadeau de dieu, à ce compte-là. Voilà comment on efface les paroles du Messie sur la faiblesse de la chair dans l'Eglise catholiques - exactement comme on vend des savonnettes à la télé. Spirituellement, il n'y a aucune différence entre ces deux propositions.

    Si j'avais dix-sept ans aujourd'hui, l'âge pas très sérieux où les sociétés totalitaires s'efforcent de maintenir leurs citoyens, je me convertirais sans attendre à l'islam, équivalent du catholicisme en moins femelle (comparez l'équipement du croisé chrétien aujourd'hui, et celui du djihadiste musulman). Et pourquoi ça ? Parce que la violence est une source immense de plaisir, et que ce plaisir vient de dieu, disent les crétins, en trempant leur biscuit dans une tasse de thé.

    Dix-sept ans est sans doute l'âge mental de M. La Morandais, car son idée du plaisir traduit cet âge, exactement comme les types de dix-sept ans appellent "amour" le coït, ce qui est une manière de le diviniser, à un point jusqu'où le paganisme n'a pas osé aller. Petit Roméo va en enfer guidé par un prêtre, nous montre Shakespeare, et cette leçon-là vaut soixante dix-sept fois sept fois les babils de La Morandais et du pape Wojtyla à l'attention des jeunes paroissiennes en fleur. 

  • Gay Savoir

    Mêler Jésus-Christ et la parole de dieu à la manifestation de l'hystérie sociale en faveur du mariage est le plus grand péché du point de vue évangélique. Le plus grand péché parce qu'il altère la logique du message chrétien, universel.

    La fornication, qui désigne un péché de nature spirituelle et non charnelle, est le péché des hystériques défenseurs d'un ordre social qui n'a jamais existé et n'existera jamais, ainsi que la révélation chrétienne l'affirme sans ambiguïté.

    A toutes les questions sociales qui lui sont posées, sans exception, le Messie oppose une fin de non-recevoir. Pour le rétablissement de l'ordre social, voyez le pape et ses beaux discours théoriques contre nature (c'est-à-dire dont la nature n'offre aucun exemple, ni même les prémisses d'une probabilité).

    Quelle sorte de prêtre peut cautionner cette kermesse, quand le tiers de l'humanité crève des caprices de ceux qui maintiennent le monde dans le chaos ?

  • Gay Pride et fornication

    Ce qui constitue le grave péché de fornication selon les Evangiles, faute contre l'Esprit de Dieu, ce ne sont pas les pratiques sexuelles sodomites, mais la "gay pride", c'est-à-dire la revendication ou la fierté d'un type de sexualité.

    La faiblesse de la chair humaine ne rejaillit pas sur l'Esprit, mais sur l'homme lui-même, quelle que soit son orientation sexuelle. Autrement dit, pour bien comprendre l'Esprit du christianisme, opposé au génie païen, on peut bien être abstinent sexuel de la naissance à la mort, et n'en commettre pas moins le péché de fornication. Contrairement aux religions païennes où le péché est contre l'éthique du moment, variable en fonction de l'intérêt commun, dans le christianisme, pur de l'éthique, les graves péchés sont commis contre le salut, c'est-à-dire contre l'amour de Dieu.

    Nulle part il n'est écrit dans le "Nouveau Testament" que la famille peut protéger l'homme de la mort ou de la faiblesse. Bien au contraire, Jésus-Christ proclame que son message dissoudra la famille. Son glaive séparera ceux qui craignent de s'éloigner des choses naturelles, de ceux qui s'en affranchissent pour s'élever vers l'Esprit de Dieu.

    Pourquoi ? Parce que la famille est une chose naturelle, et que seul les esprits faibles placent leur espoir dans les choses naturelles. Même les philosophes païens romains n'étaient pas aussi dupes de la fable du prolongement de l'âme après la mort.

    Enfants, ne confondez pas les évangiles avec le complot de pharisiens et de bonnes femmes catholiques romains, soudés par l'ignorance que la colère de l'Esprit de dieu et de ses saints frappe d'abord les traîtres.

    Les partisans du mariage pour tous, comme ses détracteurs, sont deux partis imbéciles, appuyés l'un sur l'autre, comme les cartes d'un château de cartes, défendant des causes aussi obscures l'une que l'autre.

    Le fait de justifier le mariage par des raisons absurdes, extrêmement dangereux sur le plan social et stigmatisé par Shakespeare ("Roméo et Juliette"), est une spécialité du clergé catholique romain ; elle tient largement à l'absence de justification chrétienne authentique à l'appui de toutes les questions civiles. Or la rhétorique du parti gay n'est que le produit dérivé du folklore catholique romain ; c'est cette dernière qui, dans l'Occident moderne, a opéré le rapprochement de l'érotisme et de l'amour, sous prétexte du commerce et des affaires.

    La famille est une institution païenne dont les prêtres et les rituels, eux, ne dissimulaient pas qu'elle reposait sur la violence. A défaut de remédier à la brutalité de la condition humaine et des rapports humains, au moins le paganisme ne dissimule-t-il pas cette violence. Lorsque l'aspiration aux choses surnaturelles est détournée vers un mysticisme psychologique totalement creux comme la musique, c'est là le péché de fornication.

  • La Guerre des Sexes

    Je consacre sur mon nouveau blog une note à la guerre des sexes, sans laquelle il n'y a pas de société possible ; je souligne que la fornication est l'enjeu de cette guerre, puis montre le rôle décisif joué par l'Eglise romaine (la prostituée) dans l'assignation de la fornication comme idéal social à l'Occident moderne, et non comme on peut le croire parfois, ou comme ils s'en prévalent avec un orgueil qui confine à la stupidité mercantile absolue, par de petits lobbys "homosexuels" qui n'existent que par le jeu de manoeuvres politiques qui les dépassent. Dans la guerre économique, le truc de l'identité homosexuelle est exactement le même procédé dont il est fait usage pour mettre le troufion au service de la patrie dans la guerre conventionnelle.

    Ainsi je ne fais qu'expliquer Shakespeare, quand l'université s'applique avec constance à le réduire à une énigme, avec l'aide de quelques romanciers porcins férus d'opéra tel Stendhal, afin de maintenir les Français dans un état d'inconscience maximum, et mieux les asservir ainsi à leurs idéaux petit-bourgeois médiocres (les explications françaises de Shakespeare sont parmi les pires, en dehors du fils de Victor Hugo qui a fait un effort pour le traduire correctement - en prose puisque Shakespeare est chrétien).

    - Hommes libres, haïssez la mer où les lâches trouvent la ressource pour se satisfaire de leur veulerie, et chérissez en revanche Shakespeare. Ne renoncez pas au combat avant de l'avoir entamé : c'est précisément là où les vieillards qui composent l'élite tendent un piège aux jeunes gens et font briller tous les avantages du confort intellectuel, jusqu'à l'humeur mélancolique du misanthrope qui a tout raté. Faites comme moi, torchez-vous le cul avec la culture moderne, laissez le cinéma aux nazis.