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  • French Godly Liars

    Christian holders of European nation -Monnet, Schumann and their followers-, did not hesitated to adulterate the Gospel to serve their human wishes. Is there any Leviathan without this kind of perfidy? This was an essay to copy the christian symbolism of United States of America.

    These Christian indeed linked the twelve stars wheel on the blue European flag with saint John Gospel, the Revelation wherein "a woman clothed with sun, the moon under her feet, and a twelve stars crown on her head" is described (Rev. XII,12). This woman was changed in "Mary, Holy Mother of Jesus-Christ" although traditional christian interpretation has been considering this woman since a long time as the Church of Jesus herself, who is depicted in the Apostle's scriptures as "Jesus' bride". Traditional interpretation is based on good reason. A few lines after the description of that woman, she has to escape the devil in a desert and she will give birth therefore to MANY children. One can guess that the twelves stars are representing the Apostles.

    Why did these Catholic people decided not to take the right symbolism? Probably for not hurting Lutherian or English irritability. European Union was about agriculture, brass and charcoal first of all, even for these Christians.

    The idea of an European or Mediterranean Christian Kingdom or even Geographical has nothing to do with the Gospels. "My Kingdom is not from this time" do not stop repeating Jesus from the beginning to the end of his public life (I wonder how American people can understand these words as time is in the Usa a real thing -English people have Shakespeare). And therefore, historically the idea of a mostly Roman Europe has more to do with self-suggestion than History. To limit oneself to French history, it is for a large "piece", not only Voltaire or Molière, AGAINST Roman principles.

    (In some Us-Churches one guess that the woman of the Revelation is Israel. This is nearly as wrong as the "European translation" because here no difference is made between Christian Church and Israel. Best way to understand Holy Spirit is to confront the two Testaments and not to comput them. If not saint Paul will be translated into Moses! From the Book of Genesis, Glory is for Israel and after the fight with the Angel, Jacob is becoming the "House of Israel" and fate of twelve tribes is described (Gen. XLIX,1-27). Of course there are innuendos to Old Testament in John's Revelation, but Salvation is for Christian Church and not for Israel. And in fact some American Christian are building as French with their Europe a geographical sionism that has no sense regarding the Holy Scriptures.)


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    Let us say that this Christian French Party whose last daze was the ephemeral government of de Gaulle cannot rebirth now. But the wrong idea about the Revelation as a useless bazaar full of symbols was madly instiled. Only the Leviathan idea is alive yet to which satanic theory of Hobbes was a stone.

    Most of French Christian are viewing their Catholic Church as a Virgin. Instead of the whore it is maybe.

  • Obamamania

    Le discours plein de bons sentiments de Barack Hussein Obama à l'égard de l'islam écarte-t-il le risque d'une attaque de l'Iran par les forces du Pacte Atlantique ? Seul un imbécile peut croire que ce sont des raisons sentimentales qui ont poussé les Etats-Unis à changer leur fusil d'épaule vis-à-vis de Saddam Hussein. Le gouvernement français a-t-il déclaré la guerre à l'Allemagne en 1939 parce qu'il était choqué par les dicours d'Hitler ? La réalité et les processus historiques sont un peu plus compliqués que les documentaires d'"Arte" qui, dans le meilleur des cas, ne jettent sur les faits qu'une lumière électrique blafarde.

    Léon Blum, beau parleur lui aussi comme Obama, voulait la guerre contre l'Allemagne, puis il a été soulagé que les accords de Munich la repoussent... avant de la vouloir de nouveau.

    John Kennedy a beau avoir un côté "sexy et sympathique" et s'être gargarisé des Droits de l'Homme tout au long de sa carrière comme un bureaucrate s'asperge de Guerlain pour Homme avant d'aller poser son cul dans un bureau à La Défense, il n'en reste pas moins l'un des présidents des Etats-Unis les plus assassins.

    Le débarquement en Normandie, célébré avec tout le faste républicain qui s'impose, non plus décisif dans le triomphe des forces alliées en 1944 que les bombes atomiques larguées sur le Japon, ce débarquement a fait près de vingt mille victimes la plupart innocentes en Normandie. Que faisaient les troupes anglaises dans les barges de débarquement, si ce n'est repousser un peu plus loin, non pas les forces allemandes dont la défaite était prévisible, mais l'Armée rouge. 

    Le vent de stupidité que les médiats et les politiciens soufflent sur des troupeaux d'électeurs dociles est tel désormais qu'on parvient à faire croire que dans une économie mondialisée où les cartels multinationaux font la loi, où les groupes de pression sont officiels, la décision de faire la guerre ou pas repose sur un homme SEUL ?! Il ne s'agit même pas de discuter la démonstration de Marx que l'économie capitaliste entraîne inexorablement ses acteurs vers le conflit armé, mais carrément d'effacer les faits historiques.

    Que l'amour-propre des mollahs iraniens se trouve mieux des déclarations d'Obama, c'est une chose ; l'histoire en est une autre et son oblitération complète par les idéologies nationalistes qui se sont succédées en Europe au cours des deux derniers siècles n'est certainement pas sans rapport avec le processus guerrier. Les nations guerrières n'ont pas d'Histoire, en quelque sorte, et c'est pourquoi on devine, derrière le nationalisme, quel que soit son échelle, la main de Satan. Le nationaliste, dans le nouveau Testament, c'est Judas Iscariote, qui prend Jésus pour un nouveau Moïse sans comprendre la radicale nouveauté du message évangélique.

  • Recette allemande

    Il y a une demoiselle allemande en ce moment, peu importe son nom, qui cartonne dans son pays avec une autobiographie pleine de descriptions crues d'objets gluants ou hérissés, comme son con et son trou du cul propres, où elle ne manque pas d'enfourner les doigts, en bonne ingénieuse polytechnicienne, pour mieux explorer l'origine du monde.

    Succès garanti dans une nation où le puritanisme absolu le dispute à un puritanisme relatif mais non moins absolu. Les puritains que la moindre vérité choque, doivent jeter des cris d'orfraie à l'idée qu'on puisse rabaisser les mots jusqu'aux objets immondes. Et leurs voisins doivent se jeter par pur esprit de concurrence sur le bouquin. Peu importe son titre. Suivant le principe de la sarabande.

  • Scrutin

    Hormis les vieillards, il n'y a plus guère que les fils-à-papa qui votent encore. S'il y a bien un sentiment que j'ai éprouvé très jeune et sur lequel je n'ai pas varié, c'est celui de l'indécence de la liturgie électorale. L'urne est un symbole malin pour attirer les papillons, pas les chrétiens.

  • Philologie

    STYLE : le mot seul par lui-même dessine tout un programme, une vraie anguille. Le S est tordu et siffle, le T indique l'écartèlement symétrique, le Y pose le doute et le hasard dynastiques, le L est anguleux, et le E est le trident froid. Il ne manque que la spirale du G ou le X divisionnaire. Et beaucoup d'autres signes encore. Je n'ouvre pas un livre signé Kierkegaard ou Kandinsky, par exemple, sans méfiance, comme un type qui soulève une pierre s'attend à voir jaillir un scorpion. Un philologue n'a pas plus de recul sur la langue qu'un pédéraste sur sa mère, c'est pourquoi il arrive souvent que le philologue finisse raide-pendu comme un point d'indignation, ou étouffé comme une interrogation.

    La graphie grecque dissimule moins que la latine la griffe du langage.

    "Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?" : je me demande si la grammaire janséniste a jamais produit un plus beau tube, qui trahit autant qu'il traduit que la langue est un animal politique.

    On dira que "Céline a du style" pour dire qu'il écrit n'importe quoi, de la musique. On dira que "Proust a du style" pour dire qu'il n'y a rien de meilleur que les lacets de la musique.

    Le style est bien une anguille de mer et quiconque possède un glaive s'empresse de découper en rondelle ce ténia.


  • Brave New World

    "Hyperdémocratie", "hypermarché", "hyperboréen", "hyperprésident"... on peut dire que le surdiplômé Jacques Attali possède le maniement de l'hyperbole comme un chirurgien-dentiste possède le maniement de la roulette. Elisabeth Tessier peut aller se rhabiller avec son tarot caduc. Avec toujours une carte dans la manche gauche en cas de coup dur, Attali est le roi du bluff !

    Toutes ces années à lécher la sainte fente matricielle et à jongler avec les infinis ont contribué à roder le sens du calcul de ce Blaise Pascal de série Z ; sa manière de faire l'apologie du "bon temps" et de l'opposer à l'Apocalypse est d'un exact rapport quantité/prix.

    Nul hasard si, en face, Shakespeare aiguise son arme contre l'abcès du temps : "Eh, toi, stridente hirondelle, infâme pie de Satan augurant l'été, ne t'approche pas de la sainte milice !"

  • L'Arche européen

    Grâce à la crise le caractère mystico-religieux de l'Europe apparaît plus clairement, derrière le mobile capitaliste. Si bien peu de travail a été accompli depuis la "Libération" dans le sens de l'unité des nations, en dehors de la législation monétaire et agricole, c'est que les cartels craignent une surveillance accrue de l'administration sur leurs activités ; les Etats-Unis d'Amérique sans les fonctionnaires du Trésor et l'administration fiscale yankis, voilà le rêve brisé par la crise. Ne reste plus que la coquille idéologique : le nationalisme européen. Or le véritable ciment du nationalisme, depuis le XVIIe siècle, c'est la guerre.

    Les politiciens, y compris d'extrême-gauche, sont comme "possédés" par l'idée européenne. La position d'Olivier Besancenot est absurde. De quelle sorte d'Europe veut-il, s'il ne veut pas d'une Europe capitaliste ? La politique colbertiste puis jacobine n'a pas de sens historique en dehors du mobile économique capitaliste. L'internationale prolétaire communiste était destinée à renverser les cartels industriels et bancaires, auxquels les syndicats semblent désormais sentimentalement aussi attachés que les parlements le sont cyniquement. L'idéal européen de Besancenot apparaît donc comme une sorte de néo-stalinisme additionné d'une dose de métissage culturel, sur le modèle yanki ; cet idéal est complètement étranger à Marx ou même Che Guevara. Le principal facteur de métissage, hier comme aujourd'hui, au demeurant, c'est l'esclavage. En soi le métissage n'a pas plus d'intérêt que l'épuration aryenne de la race.

     

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    Mais c'est plutôt Daniel Cohn-Bendit qui bat tous les records de crétinisme, ce qui n'est pas étonnant vu que l'énergumène doit presque toute sa légitimité à une série de sketches télévisés.

    La religion de Cohn-Bendit est le pacifisme, dit-il ; la réconciliation du peuple allemand et du peuple français seraient à mettre au crédit de l'Europe, selon lui ; ce connard de bobo a-t-il jamais ouvert un bouquin d'histoire de sa vie ? Les populations françaises et allemandes ne se sont jamais "haïes", c'est complètement grotesque. Les deux nations ont été dressées l'une contre l'autre par leurs élites, essentiellement pour des raisons économiques et financières. L'hostilité à la philosophie germanique est le fait de Marx et d'intellectuels communistes au XIXe et XXe siècles, ainsi que de quelques écrivains catholiques isolés comme Léon Bloy ou Ernest Psichari, Péguy (le cas de l'athée Maurras mis à part, étant donné qu'on peut difficilement faire plus boche que Maurras qui pousse le vice jusqu'à aimer la religion sans Dieu, trait de caractère typique d'une femelle germanique)... mais les peuples allemand et français n'ont rien à voir dans les déclarations de guerres barbares qui ont opposé l'Allemagne à la France au long des XIXe et XXe siècle. La plupart des poilus interrogés après la guerre de 1914-18 déclaraient ignorer tout des motifs ayant entraîné leurs chefs à les mobiliser.

    Drieu La Rochelle dans son "Journal" -que Cohn-Bendit est sans doute beaucoup trop sectaire pour apprécier-, ne cesse de souligner pour la déplorer, mais peu importe, l'absence de combativité des Français en 1940.

    Cohn-Bendit ne fait donc que reprendre les termes de la grossière propagande gaulliste, de ce parti nationaliste à demi-mafieux qui a certainement causé beaucoup plus de tort à la France que n'importe quel autre parti au cours du siècle dernier. De Gaulle n'a d'ailleurs jamais eu que l'estime d'une frange de la bourgeoisie et très peu celle du peuple, encore moins que Pétain, à qui le peuple des soldats savait au moins gré d'avoir épargné quelques vies au cours de la bataille de Verdun.

    Comme quoi on peut être un Juif apatride comme Marx et n'être pas pour autant une lumière. La race judéo-boche de Cohn-Bendit ne fait pas pour autant de lui un élu.

    (Un type comme Besancenot ne devrait pas laisser passer un tel mensonge, car l'inculpation des peuples est une des principales stratégies de la bourgeoisie pour dissimuler sa responsabilité dans les marées de sang versé.)

     

  • Dieudonné en campagne

    Conformément à sa théologie qui veut qu'on peut très bien être antisioniste et ne pas pour autant haïr les Juifs, les amalgamer, Dieudonné a placé sur ses affiches un rabbin.

    Exploitation du scandale médiatique se disent certains en regardant l'affiche, l'effet de surprise passé. Il est vrai que les médiats, eux, n'ont jamais, ô grand jamais, exploité la banlieue et son championnat de stock-car. Cette affiche c'est "Plus Belle la Vie", et voilà tout.

    S'offrir les services d'un VRP comme BHL n'est d'ailleurs pas très malin de la part du parti atlantiste. Quoi que puisse dire BHL, ça n'aura pas d'écho à l'extérieur de son club d'intellos du PS, atlantistes déjà convaincus et forcés de l'être. Tandis qu'un antisioniste qui fricote avec un rabbin, c'est quand même plus original que l'humour gras de "Rabbi Jacob", d'un cinoche populaire qui se fout de la gueule du peuple.

    (Dommage que le parti de Dieudonné n'ait pas les moyens de se payer une photographe compétent.)


  • Ad Mariam Europa !

    Les promoteurs démocrates-chrétiens de cet étrange manège qu'est l'Europe, dont le pacifisme est aussi bien dissimulé que la charité dans un sermon janséniste ou le christianisme dans le "Parti orange" de François Bayrou, ces promoteurs n'ont pas hésité à mettre le Nouveau Testament au service d'un projet pharaonique. On pourrait même faire tout un florilège de paroles d'Evangile que les démocrates-chrétiens ne veulent pas entendre voire, pire, de paroles qu'ils ont converties en devises de singes, à commencer par : "Mon Royaume n'est pas de ce monde."

    "Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. Elle était enceinte, et elle criait, dans le travail et les douleurs de l'enfantement." Ap. XII,12.

    C'est ce passage de saint Jean qui a été détourné par les "parrains" de l'Europe lors de sa mise à flots, et répété depuis comme une antienne, sachant que l'ancrage du christianisme dans la géographie est impossible sans des contorsions théologiques doublées de mensonges historiques. Pour bâtir la thèse d'une Europe "latine", il faut beaucoup plus de mythomanie que d'Histoire.

    C'est ici que s'insère la critique de Voltaire, car la calote dont le catholicisme a été recoiffé malgré toutes les admonestations de Jésus contre l'édification d'un royaume terrestre, cette calote est un couvre-chef de plaideur romain, dont le surplis pourpre recouvre tout le branlement canonique (C'est ici qu'on voit aussi que Nitche, "libertin hypermoraliste", est bel et bien un imbécile comparé à Voltaire.)


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    La femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, a été indentifiée à Marie, mère de Jésus, et les douze étoiles du drapeau européen sur fond d'azur interprétés comme un symbole marial. Jamais aucun théologien sérieux n"a soutenu une telle blague, que la suite du texte interdit (où un séjour prolongé dans le désert de cette femme est peint, femme qui donne ensuite naissance à plusieurs enfants) : premier mensonge qui en entraîne un deuxième plus grave, puisque cette distorsion jette un voile sur la Révélation. En effet la femme revêtue du soleil, symbole comme l'or de la Foi, c'est l'Eglise de Jésus. La substitution relève bien du sabotage historique. Le subterfuge de la part des "parrains" vient peut-être de ce qu'ils craignaient de heurter avec leur propagande des nations protestantes comme l'Allemagne ou les Pays-Bas, l'Angleterre ? La dévotion mariale des luthériens a peut-être été jugée une astuce plus flatteuse ?

    (Dans certaines Eglises protestantes yankies, on déduit que la femme de l'Apocalypse est "Israël". La logique de l'Ecriture est à peine moins altérée que d'en faire Marie ; il s'agit encore là d'une dérive du "judéo-christianisme", c'est-à-dire de la doctrine qui consiste à peu près à additionner l'Ancien Testament et le Nouveau et non à les confronter véritablement, comme le Sermon sur la Montagne y invite, confrontation d'où naît la bonne intelligence du Paraclet. Comme le judéo-christianisme "romain", son cousin yanki a pour effet de substituer Moïse à saint Paul et de déboucher sur une autre forme de Léviathan, un sionisme tout aussi géographique et non moins absurde. Dès la Genèse d'ailleurs, à la suite du combat de Jacob avec l'ange de la fin du temps, Israël devient "la maison de Jacob" dont certaines tribus regagnent le sein d'Abraham (Gen. XLIX, 1-27).


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    La résurgence d'un parti catholique ou chrétien est plus que jamais illusoire en Europe, un fantasme laïc entretenu avec soin, mais la formule diabolique de Hobbes, qui contient les ferments des constitutions agnostiques ultérieures, elle, persiste.

    Les démocrates-chrétiens européens prêtent donc à leur Eglise la virginité de Marie, comme s'ils se disaient à propos de cette Eglise : "Pourvu qu'elle ne soit pas une putain !"

  • Origine du viol

    Le jeune dissident Mathieu Rigouste qui dénonce l'oppression violente du capitalisme :

    1. Se retrouve acculé au principe de la violence dont il ne parvient pas à s'extraire ;

    2. Se voit opposer par ses détracteurs capitalistes le fait que les compagnies républicaines de sécurité ne font plus usage de leurs matraques depuis des lustres.

    C'est bien la preuve que la violence n'est pas physique d'abord. Elle est premièrement psychologique. La mort lente n'est pas plus violente que la mort brutale.

  • France for dummies

    "French Identity" is a new word used by Politicians since the French major Companies are expecting to save money because of their bankruptcy. This is a little trick to make people believe that the failure is due to foreign workers, not to stupid industrial economic principles. In other words: Mathematics to solve and save Mathematics, 0 = 0.

    This is a German idea of France. Mathematics were very useful for new countries and governments during the XIXth for example to give a soul to something that had nothing to do with former patrimonial interests of different people. New words for a bigger scale.

    During de Gaulle's dictatorship was teached the perfectest mathematics, the 'French Hexagon', number that hides a lesson of history: no country in the world never hated the heart of France, that is to say Paris, as much as French provinces did or are still doing now.


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    French Philosopher Rivarol, from Italian origin, who said: "My country is my language" does reveal the true spirit of citizenship or patriotic devotion. A combination of words. The more esoteric is the combination, the stronger will be the faith. Usa, more than France, are now entirely obeying to the language's function.

    Roman theology of Tertullian must be quoted here: "Credo quia absurdus est". No doubt that this suggestive way to believe is the best way to believe in the Morning star, believing it is the Evening one. This Motto should be written on the bows of every Leviathan Ark or on bank-bills.

    The translation of the fiendish theology from the catholic Church to the State occurred in the European XVIIth, era of war, dictatorship and bad scientists such as Gallileo, Descartes, Huygens or Newton that changed physics into language for ballistic reasons.  

    Proof that Catholic church was governed by fiendish principles is in fact in today Us religion, reflecting it.

  • No Sport

    Tout comme les économistes capitalistes confondent concurrence et économie, les philosophes laïcs ne connaissent pas la différence entre le sport et le jeu. Finkielkraut, Bégaudeau, Zemmour, qui déclarent à la télé leur "passion pour le sport", ne "pensent" pas : ils font allégeance au régime et à ses moeurs.

    La "vertu éducative du football" est une de ces vastes blagues capitalistes que seuls des pions peuvent avancer sans rire. Pourquoi pas la vertu éducative des dix-sept kilomètres d'entraînement par jour de la grenouille Manaudou, tant qu'on y est ? Exploitation = éducation, par conséquent, dans la nouvelle morale laïque télégénique.


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    Le principe de la compétition n'est bien sûr pas inhérent au sport mais au capitalisme. Je me considère moi-même comme un athlète, puisque je m'adonne au sport depuis vingt ans sans interruption ; mais j'ai toujours eu un souverain mépris pour la compétition. La compétition, c'est le cirque des femelles pour avoir le plus beau mâle, ou des mâles pour avoir le plus de femelles.

    D'un certain point de vue la "passion du sport" selon Zemmour, Finkielkraut ou Bégaudeau paraît même cocasse, comme le goût d'intellos malingres pour le spectacle du combat entre des corps d'athlètes, combat qui mène à la mort, au moins symbolique (le capitaliste est un Romain que la vue du sang fait s'évanouir).

    Il est vrai cependant qu'on peut faire des comparaisons philosophiques avec le sport. Le rugby ressemble à s'y méprendre à la religion laïque, à la philosophie nationale-socialiste de Hegel, par sa façon de progresser par jets rétrogrades dans un plan rectangulaire, de repartir à zéro après avoir marqué un "essai". Le football, qui a assimilé la tricherie dans son règlement, évoque plutôt, lui, les nouvelles pratiques fiscales et comptables de la City.

    L'intérêt du débat est qu'on peut voir que la promotion du jeu romain contre le sport grec vient du puritanisme et d'un excès de sentimentalisme. Jeux pythiques contre jeux olympiques.

    Bégaudeau n'est même pas capable d'imposer le respect à ses élèves. Sa notoriété vient du "deal" passé avec eux et du crétinisme des jurés du Festival de Cannes. Comme si les roulements de mécanique de Zemmour, le sémaphore de Finkielkraut, les caniches de Luc Ferry, les sermons d'Enthoven ne suffisaient pas, on a maintenant pour le même prix la tête de ballon rond de Bégaudeau.

  • Philologie

    Le pire ennemi du langage, c'est le langage lui-même. La philologie est entraînée par le même courant que la probabilité, principe de certitude mué au fil du temps en principe d'incertitude. Le grammairien après avoir tourné un peu sur lui-même comme un fakir ou une toupie, tombe au fond du trou noir.

    Le poète est celui qui ne tourne jamais sa langue sept fois dans sa bouche.