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Mon Journal de guerre - Page 108

  • MON JOURNAL DE GUERRE

    En fait de "Sixième sens", il en manquerait plutôt un aux femmes. Mais lequel ? La vue ! Je me base sur Simone de Beauvoir pour dire ça.

    Il ne faut pas confondre la méfiance du communisme vis-à-vis du féminisme avec la mysoginie de crétins comme Schopenhauer, Strindberg, Nitche, Freud, Cioran, etc. L'archaïsme n'a pas de meilleur allié que la fausse modernité et vice-versa.

  • MON JOURNAL DE GUERRE

    Je lisais le dissident Soljénitsyne, ex-officier soviétique, quand j'étais lycéen, avant qu'il ne soit à la mode d'en faire l'éloge.

    De ces longs récits ennuyeux, Soljénitsyne n'est pas ingénieur pour rien, je n'ai presque rien retenu. Sauf que Soljénitsyne a l'honnêteté d'admettre que le Goulag l'a opportunément débarrassé de sa femme.

    Deuxio, il n'aurait sans doute jamais songé à se consacrer à la littérature sans son long emprisonnement et cette vie monastique. Bien qu'un ancien camarade de Soljénitsyne, Dimitri Panine, a écrit un bouquin spécialement pour dire que comme ingénieur Soljénitsyne ne valait pas grand-chose.

    En tant que "bricoleurs de génie", Soljénitsyne et ses compagnons bénéficiaient de conditions de détention adoucies. Ce qui prouve que les Soviétiques étaient beaucoup moins communistes qu'on ne le dit.

    Mieux vaut lire Tchernychevski.

  • MON JOURNAL DE GUERRE

    Commence ce jour mon Journal de guerre (2008-2009). Je le place sous le patronage de Pierre DRIEU LA ROCHELLE qui sut si bien concentrer sur son nom l'incompréhension et la haine des imbéciles.

    D'où vient mon entêtement, voilà plus de vingt ans que ça dure maintenant, à être dissident ? La meilleure réponse que j'ai trouvée : c'est d'abord d'un réflexe de survie.