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Lapinos - Page 104

  • Philologie

    STYLE : le mot seul par lui-même dessine tout un programme, une vraie anguille. Le S est tordu et siffle, le T indique l'écartèlement symétrique, le Y pose le doute et le hasard dynastiques, le L est anguleux, et le E est le trident froid. Il ne manque que la spirale du G ou le X divisionnaire. Et beaucoup d'autres signes encore. Je n'ouvre pas un livre signé Kierkegaard ou Kandinsky, par exemple, sans méfiance, comme un type qui soulève une pierre s'attend à voir jaillir un scorpion. Un philologue n'a pas plus de recul sur la langue qu'un pédéraste sur sa mère, c'est pourquoi il arrive souvent que le philologue finisse raide-pendu comme un point d'indignation, ou étouffé comme une interrogation.

    La graphie grecque dissimule moins que la latine la griffe du langage.

    "Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?" : je me demande si la grammaire janséniste a jamais produit un plus beau tube, qui trahit autant qu'il traduit que la langue est un animal politique.

    On dira que "Céline a du style" pour dire qu'il écrit n'importe quoi, de la musique. On dira que "Proust a du style" pour dire qu'il n'y a rien de meilleur que les lacets de la musique.

    Le style est bien une anguille de mer et quiconque possède un glaive s'empresse de découper en rondelle ce ténia.


  • Brave New World

    "Hyperdémocratie", "hypermarché", "hyperboréen", "hyperprésident"... on peut dire que le surdiplômé Jacques Attali possède le maniement de l'hyperbole comme un chirurgien-dentiste possède le maniement de la roulette. Elisabeth Tessier peut aller se rhabiller avec son tarot caduc. Avec toujours une carte dans la manche gauche en cas de coup dur, Attali est le roi du bluff !

    Toutes ces années à lécher la sainte fente matricielle et à jongler avec les infinis ont contribué à roder le sens du calcul de ce Blaise Pascal de série Z ; sa manière de faire l'apologie du "bon temps" et de l'opposer à l'Apocalypse est d'un exact rapport quantité/prix.

    Nul hasard si, en face, Shakespeare aiguise son arme contre l'abcès du temps : "Eh, toi, stridente hirondelle, infâme pie de Satan augurant l'été, ne t'approche pas de la sainte milice !"

  • L'Arche européen

    Grâce à la crise le caractère mystico-religieux de l'Europe apparaît plus clairement, derrière le mobile capitaliste. Si bien peu de travail a été accompli depuis la "Libération" dans le sens de l'unité des nations, en dehors de la législation monétaire et agricole, c'est que les cartels craignent une surveillance accrue de l'administration sur leurs activités ; les Etats-Unis d'Amérique sans les fonctionnaires du Trésor et l'administration fiscale yankis, voilà le rêve brisé par la crise. Ne reste plus que la coquille idéologique : le nationalisme européen. Or le véritable ciment du nationalisme, depuis le XVIIe siècle, c'est la guerre.

    Les politiciens, y compris d'extrême-gauche, sont comme "possédés" par l'idée européenne. La position d'Olivier Besancenot est absurde. De quelle sorte d'Europe veut-il, s'il ne veut pas d'une Europe capitaliste ? La politique colbertiste puis jacobine n'a pas de sens historique en dehors du mobile économique capitaliste. L'internationale prolétaire communiste était destinée à renverser les cartels industriels et bancaires, auxquels les syndicats semblent désormais sentimentalement aussi attachés que les parlements le sont cyniquement. L'idéal européen de Besancenot apparaît donc comme une sorte de néo-stalinisme additionné d'une dose de métissage culturel, sur le modèle yanki ; cet idéal est complètement étranger à Marx ou même Che Guevara. Le principal facteur de métissage, hier comme aujourd'hui, au demeurant, c'est l'esclavage. En soi le métissage n'a pas plus d'intérêt que l'épuration aryenne de la race.

     

    *


    Mais c'est plutôt Daniel Cohn-Bendit qui bat tous les records de crétinisme, ce qui n'est pas étonnant vu que l'énergumène doit presque toute sa légitimité à une série de sketches télévisés.

    La religion de Cohn-Bendit est le pacifisme, dit-il ; la réconciliation du peuple allemand et du peuple français seraient à mettre au crédit de l'Europe, selon lui ; ce connard de bobo a-t-il jamais ouvert un bouquin d'histoire de sa vie ? Les populations françaises et allemandes ne se sont jamais "haïes", c'est complètement grotesque. Les deux nations ont été dressées l'une contre l'autre par leurs élites, essentiellement pour des raisons économiques et financières. L'hostilité à la philosophie germanique est le fait de Marx et d'intellectuels communistes au XIXe et XXe siècles, ainsi que de quelques écrivains catholiques isolés comme Léon Bloy ou Ernest Psichari, Péguy (le cas de l'athée Maurras mis à part, étant donné qu'on peut difficilement faire plus boche que Maurras qui pousse le vice jusqu'à aimer la religion sans Dieu, trait de caractère typique d'une femelle germanique)... mais les peuples allemand et français n'ont rien à voir dans les déclarations de guerres barbares qui ont opposé l'Allemagne à la France au long des XIXe et XXe siècle. La plupart des poilus interrogés après la guerre de 1914-18 déclaraient ignorer tout des motifs ayant entraîné leurs chefs à les mobiliser.

    Drieu La Rochelle dans son "Journal" -que Cohn-Bendit est sans doute beaucoup trop sectaire pour apprécier-, ne cesse de souligner pour la déplorer, mais peu importe, l'absence de combativité des Français en 1940.

    Cohn-Bendit ne fait donc que reprendre les termes de la grossière propagande gaulliste, de ce parti nationaliste à demi-mafieux qui a certainement causé beaucoup plus de tort à la France que n'importe quel autre parti au cours du siècle dernier. De Gaulle n'a d'ailleurs jamais eu que l'estime d'une frange de la bourgeoisie et très peu celle du peuple, encore moins que Pétain, à qui le peuple des soldats savait au moins gré d'avoir épargné quelques vies au cours de la bataille de Verdun.

    Comme quoi on peut être un Juif apatride comme Marx et n'être pas pour autant une lumière. La race judéo-boche de Cohn-Bendit ne fait pas pour autant de lui un élu.

    (Un type comme Besancenot ne devrait pas laisser passer un tel mensonge, car l'inculpation des peuples est une des principales stratégies de la bourgeoisie pour dissimuler sa responsabilité dans les marées de sang versé.)

     

  • Dieudonné en campagne

    Conformément à sa théologie qui veut qu'on peut très bien être antisioniste et ne pas pour autant haïr les Juifs, les amalgamer, Dieudonné a placé sur ses affiches un rabbin.

    Exploitation du scandale médiatique se disent certains en regardant l'affiche, l'effet de surprise passé. Il est vrai que les médiats, eux, n'ont jamais, ô grand jamais, exploité la banlieue et son championnat de stock-car. Cette affiche c'est "Plus Belle la Vie", et voilà tout.

    S'offrir les services d'un VRP comme BHL n'est d'ailleurs pas très malin de la part du parti atlantiste. Quoi que puisse dire BHL, ça n'aura pas d'écho à l'extérieur de son club d'intellos du PS, atlantistes déjà convaincus et forcés de l'être. Tandis qu'un antisioniste qui fricote avec un rabbin, c'est quand même plus original que l'humour gras de "Rabbi Jacob", d'un cinoche populaire qui se fout de la gueule du peuple.

    (Dommage que le parti de Dieudonné n'ait pas les moyens de se payer une photographe compétent.)


  • Ad Mariam Europa !

    Les promoteurs démocrates-chrétiens de cet étrange manège qu'est l'Europe, dont le pacifisme est aussi bien dissimulé que la charité dans un sermon janséniste ou le christianisme dans le "Parti orange" de François Bayrou, ces promoteurs n'ont pas hésité à mettre le Nouveau Testament au service d'un projet pharaonique. On pourrait même faire tout un florilège de paroles d'Evangile que les démocrates-chrétiens ne veulent pas entendre voire, pire, de paroles qu'ils ont converties en devises de singes, à commencer par : "Mon Royaume n'est pas de ce monde."

    "Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. Elle était enceinte, et elle criait, dans le travail et les douleurs de l'enfantement." Ap. XII,12.

    C'est ce passage de saint Jean qui a été détourné par les "parrains" de l'Europe lors de sa mise à flots, et répété depuis comme une antienne, sachant que l'ancrage du christianisme dans la géographie est impossible sans des contorsions théologiques doublées de mensonges historiques. Pour bâtir la thèse d'une Europe "latine", il faut beaucoup plus de mythomanie que d'Histoire.

    C'est ici que s'insère la critique de Voltaire, car la calote dont le catholicisme a été recoiffé malgré toutes les admonestations de Jésus contre l'édification d'un royaume terrestre, cette calote est un couvre-chef de plaideur romain, dont le surplis pourpre recouvre tout le branlement canonique (C'est ici qu'on voit aussi que Nitche, "libertin hypermoraliste", est bel et bien un imbécile comparé à Voltaire.)


    *

     

    La femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, a été indentifiée à Marie, mère de Jésus, et les douze étoiles du drapeau européen sur fond d'azur interprétés comme un symbole marial. Jamais aucun théologien sérieux n"a soutenu une telle blague, que la suite du texte interdit (où un séjour prolongé dans le désert de cette femme est peint, femme qui donne ensuite naissance à plusieurs enfants) : premier mensonge qui en entraîne un deuxième plus grave, puisque cette distorsion jette un voile sur la Révélation. En effet la femme revêtue du soleil, symbole comme l'or de la Foi, c'est l'Eglise de Jésus. La substitution relève bien du sabotage historique. Le subterfuge de la part des "parrains" vient peut-être de ce qu'ils craignaient de heurter avec leur propagande des nations protestantes comme l'Allemagne ou les Pays-Bas, l'Angleterre ? La dévotion mariale des luthériens a peut-être été jugée une astuce plus flatteuse ?

    (Dans certaines Eglises protestantes yankies, on déduit que la femme de l'Apocalypse est "Israël". La logique de l'Ecriture est à peine moins altérée que d'en faire Marie ; il s'agit encore là d'une dérive du "judéo-christianisme", c'est-à-dire de la doctrine qui consiste à peu près à additionner l'Ancien Testament et le Nouveau et non à les confronter véritablement, comme le Sermon sur la Montagne y invite, confrontation d'où naît la bonne intelligence du Paraclet. Comme le judéo-christianisme "romain", son cousin yanki a pour effet de substituer Moïse à saint Paul et de déboucher sur une autre forme de Léviathan, un sionisme tout aussi géographique et non moins absurde. Dès la Genèse d'ailleurs, à la suite du combat de Jacob avec l'ange de la fin du temps, Israël devient "la maison de Jacob" dont certaines tribus regagnent le sein d'Abraham (Gen. XLIX, 1-27).


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    La résurgence d'un parti catholique ou chrétien est plus que jamais illusoire en Europe, un fantasme laïc entretenu avec soin, mais la formule diabolique de Hobbes, qui contient les ferments des constitutions agnostiques ultérieures, elle, persiste.

    Les démocrates-chrétiens européens prêtent donc à leur Eglise la virginité de Marie, comme s'ils se disaient à propos de cette Eglise : "Pourvu qu'elle ne soit pas une putain !"

  • Origine du viol

    Le jeune dissident Mathieu Rigouste qui dénonce l'oppression violente du capitalisme :

    1. Se retrouve acculé au principe de la violence dont il ne parvient pas à s'extraire ;

    2. Se voit opposer par ses détracteurs capitalistes le fait que les compagnies républicaines de sécurité ne font plus usage de leurs matraques depuis des lustres.

    C'est bien la preuve que la violence n'est pas physique d'abord. Elle est premièrement psychologique. La mort lente n'est pas plus violente que la mort brutale.

  • France for dummies

    "French Identity" is a new word used by Politicians since the French major Companies are expecting to save money because of their bankruptcy. This is a little trick to make people believe that the failure is due to foreign workers, not to stupid industrial economic principles. In other words: Mathematics to solve and save Mathematics, 0 = 0.

    This is a German idea of France. Mathematics were very useful for new countries and governments during the XIXth for example to give a soul to something that had nothing to do with former patrimonial interests of different people. New words for a bigger scale.

    During de Gaulle's dictatorship was teached the perfectest mathematics, the 'French Hexagon', number that hides a lesson of history: no country in the world never hated the heart of France, that is to say Paris, as much as French provinces did or are still doing now.


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    French Philosopher Rivarol, from Italian origin, who said: "My country is my language" does reveal the true spirit of citizenship or patriotic devotion. A combination of words. The more esoteric is the combination, the stronger will be the faith. Usa, more than France, are now entirely obeying to the language's function.

    Roman theology of Tertullian must be quoted here: "Credo quia absurdus est". No doubt that this suggestive way to believe is the best way to believe in the Morning star, believing it is the Evening one. This Motto should be written on the bows of every Leviathan Ark or on bank-bills.

    The translation of the fiendish theology from the catholic Church to the State occurred in the European XVIIth, era of war, dictatorship and bad scientists such as Gallileo, Descartes, Huygens or Newton that changed physics into language for ballistic reasons.  

    Proof that Catholic church was governed by fiendish principles is in fact in today Us religion, reflecting it.

  • No Sport

    Tout comme les économistes capitalistes confondent concurrence et économie, les philosophes laïcs ne connaissent pas la différence entre le sport et le jeu. Finkielkraut, Bégaudeau, Zemmour, qui déclarent à la télé leur "passion pour le sport", ne "pensent" pas : ils font allégeance au régime et à ses moeurs.

    La "vertu éducative du football" est une de ces vastes blagues capitalistes que seuls des pions peuvent avancer sans rire. Pourquoi pas la vertu éducative des dix-sept kilomètres d'entraînement par jour de la grenouille Manaudou, tant qu'on y est ? Exploitation = éducation, par conséquent, dans la nouvelle morale laïque télégénique.


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    Le principe de la compétition n'est bien sûr pas inhérent au sport mais au capitalisme. Je me considère moi-même comme un athlète, puisque je m'adonne au sport depuis vingt ans sans interruption ; mais j'ai toujours eu un souverain mépris pour la compétition. La compétition, c'est le cirque des femelles pour avoir le plus beau mâle, ou des mâles pour avoir le plus de femelles.

    D'un certain point de vue la "passion du sport" selon Zemmour, Finkielkraut ou Bégaudeau paraît même cocasse, comme le goût d'intellos malingres pour le spectacle du combat entre des corps d'athlètes, combat qui mène à la mort, au moins symbolique (le capitaliste est un Romain que la vue du sang fait s'évanouir).

    Il est vrai cependant qu'on peut faire des comparaisons philosophiques avec le sport. Le rugby ressemble à s'y méprendre à la religion laïque, à la philosophie nationale-socialiste de Hegel, par sa façon de progresser par jets rétrogrades dans un plan rectangulaire, de repartir à zéro après avoir marqué un "essai". Le football, qui a assimilé la tricherie dans son règlement, évoque plutôt, lui, les nouvelles pratiques fiscales et comptables de la City.

    L'intérêt du débat est qu'on peut voir que la promotion du jeu romain contre le sport grec vient du puritanisme et d'un excès de sentimentalisme. Jeux pythiques contre jeux olympiques.

    Bégaudeau n'est même pas capable d'imposer le respect à ses élèves. Sa notoriété vient du "deal" passé avec eux et du crétinisme des jurés du Festival de Cannes. Comme si les roulements de mécanique de Zemmour, le sémaphore de Finkielkraut, les caniches de Luc Ferry, les sermons d'Enthoven ne suffisaient pas, on a maintenant pour le même prix la tête de ballon rond de Bégaudeau.

  • Philologie

    Le pire ennemi du langage, c'est le langage lui-même. La philologie est entraînée par le même courant que la probabilité, principe de certitude mué au fil du temps en principe d'incertitude. Le grammairien après avoir tourné un peu sur lui-même comme un fakir ou une toupie, tombe au fond du trou noir.

    Le poète est celui qui ne tourne jamais sa langue sept fois dans sa bouche.

  • Mythomanie laïque

    Le Moyen âge est le théâtre, comme tous les âges moyens tournés vers la "reconquête", d'un débat sur l'âme. Pas d'affrontements sur l'âme, pas de Renaissance. Le purgatoire, inventé au moyen âge par le clergé catholique, n'est autre que "le lieu de résidence des âmes".

    C'est sûrement parce que ni Luther ni Hobbes ne peuvent renier l'âme qu'ils préfèrent souligner l'absence de fondement biblique aux colonnes du purgatoire. D'ailleurs si Hobbes sape le purgatoire, ce n'est que pour mieux animer son Léviathan. Une théorie du purgatoire raffinée implique de le concevoir en mouvement, comme l'arche de Hegel, qui met le Léviathan "à flots", comme pour parer au Déluge. 

    Le débat sur l'âme, qu'on l'estime mortelle ou pas, est inséparable d'une théorie de l'intelligence. Les travaux des neuropsychiatres actuellement sur le cerveau gauche (sic) et le cerveau droit (resic) ressuscitent les théories de l'âme double ou triple, aussi multiples que les mondes dans le cinéma.

    En marge de la théorie de l'âme, il apparaît clairement que la thèse de l'inconscient accorde à la stupidité une autonomie inédite. L'intellect renferme la bêtise, comme l'harmonie contient le chaos et le signe négatif se déduit du signe positif, automatiquement.

    Le destin des orgueilleux est de n'être même pas "moyens" -d'être accueillis dans la carrière du Purgatoire par Satan en personne.


     


  • Rotten Kingdom

    One can love Shakespeare but hate United Kingdom as I do.

    Was Shakespeare Francis Bacon or not? To be able to answer this question, the fact that Shakespeare himself is involved in a mystic fight against British Kingdom has to be noticed. In the 'Hamlet' Tragedy, Shakespeare does compare his Heroe Hamlet with Pyrrhus, son of Achilles. Pyrrhus killed Priam and Hamlet will kill usurper King Claudius who married his 'mother' (who is not really his mother). And Greek heroes' triumph against Troy is due to Understanding as Hamlet's unfinished Triumph).

    It is thus difficult to include Shakespeare in the 'English religion' without changing the Tragedy in a romantic XIXth German Drama before -as S. Freud or F. Nietszche did.

    British official History is that London was founded by the Trojan survivors as Roma. And the legend about Arthur and the British Knights is continuating the Mythology. Obviously Shakespeare is OUT the Trojan Camp (which is a fortress although Greek heroes are 'free men').

    Is there no good reason to give the Arthurian Legend up? No doubt that Shakespeare whose theater reveals an acurate knowledge of both the Greek Mythology and the Holy Scripture (This second point is more difficult to see in our Time of Apostasy, but see the two different attitudes of Hamlet and his friend Horatio in front of the Ghost for an example of the way that S. depicts the Middle Age religion ; a Ghost at night cannot be somebody else than a Devil for Horatio, although Hamlet is very careful, knowing that the Saviour will come as a robber at night when nobody will expect it anymore).


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    No doubt that Shakespeare was capable to recognize the Satanic symbols in the Arthurian legend such as the red dragon or the lion (with the mouth opened). Kingdoms and Nations are therefore mentioned in saint John Gospel as the Beast's tools. And there are here three (on seven) Kingdoms, linked together: Kingdom of Priam, Roman Empire and United Kingdom. For sure Shakespeare's Theology is very different from Hobbes' one later; and Francis Bacon is not even mentioned in the big book 'Leviathan', although French bad philosopher R. Descartes is (who thought that the soul is a Gland in the Brain!) -'Leviathan' that was published less than fourty years after Francis Bacon books about Greek mythology and Elizabethan Theater. 

    Christian rock'n roll music is now part of catholic religion in spite of the satanic echo of music in general and rock'n roll in particular. But Bacon's Age was more interested in the Revelation of John and the understanding of the Holy scripture. King Henry VIIIth divorce certainly played a role in the new original christian vision of W. Shakespeare. Even if Dante Alighieri is not in the Greek Camp but in the Roman Camp (with Virgil against Ulysses), closer from the Middle age theology than Shakespeare does, Dante's Inferno is not empty of clergymen, 'fish mongers'. This kind of vision is very difficult to understand now, especially in Europe where clergymen are not involved in politics since a long time and are just ballet-dancers now. Use of Church in Europe now is to represent 'Past', which is very useful for a kind of 'State Religion' (on the pattern that Hobbes wrote) that wants to be 'Today and the Future'.

    The books of Francis Bacon are proving that he was convinced of the historical sense of the Greek mythology, not only of the legal sense of these archetypes built against time-flow (i.e. chronology).

    History itself proves that Bacon was true to believe in the brass of Greek and to fight against the Leviathan that he is prophesying. Difference with Hobbes is that Bacon makes the Middle age 'medium', although Hobbes -who IS the British man in which French people see perfidy- just seals the agreement between Gertrude and Claudius with a beautiful sermon.

    "Hell is Truth seen too late" said Hobbes, and he is in, Prophet in a mirror out of History.

  • Narcisse et le Capital

    Si le tropisme de Lévi-Strauss n'est qu'un narcissisme, comme je prétends, on doit retrouver métempsycose et animisme, qui caractérisent les sociétés primitives, dans la société totalitaire.

    Le moyen âge malgré tout le progrès de Thomas d'Aquin, Duns Scot et surtout Roger Bacon, demeure animiste. On peut prendre le combat perdu de Thomas d'Aquin contre Averroès et les "artistes" comme le symbole de la fin d'une époque, et le commencement d'une nouvelle, plus "immédiate" et moins psychique. Le passage de la méditation, aussi transcendantale soit-elle, à la contemplation artistique.

    Les animaux du moyen âge ont une âme, si ce n'est les plantes et les étoiles, comme de nouveau chez Bergson au XXe siècle. Outre Bergson il y a bien aussi les cimetières où les bourgeois mettent parfois leurs chiens en attendant de les retrouver au purgatoire ; mais, dans l'ensemble, on peut dire que les animaux ont perdu leur(s) âme(s).

    Où est passée l'âme, alors, désormais, en dehors de l'homme, si elle n'est plus dans les bestioles ? L'âme, dont la pléthore de psychologues, psychanalystes et psychiatres en tous genres trahit l'excédent. Elle est désormais dans l'Etat, la famille, l'entreprise, le club de foot ; sans oublier l'âme du cinéma, celle de la télévision, de l'Histoire, l'âme des mathématiques et de la poésie...

    L'idée de l'âme au moyen âge n'est donc pas si bête qu'elle en a l'air lorsqu'on la compare à celle de Freud ou de Jung.


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    La métempsycose est en relation avec l'engendrement. L'homme laïc survit à travers ses enfants. La famille, qui a été bouleversée récemment par la généralisation du contrôle des naissances, recèle toute l'idée de métempsycose laïque.

     

  • Défense d'ivoire

    Benoît XVI écrit que ses amis juifs l'ont assuré de leur soutien ; j'ai comme l'impression qu'il n'y aura bientôt plus que les Juifs à défendre l'Eglise.

  • Aufklärungen, bitte!

    Après le fameux problème de l'"identité française", manière de résoudre la France comme un Allemand à une équation balistique sur un grand tableau noir, pour finir par conclure que "tout est dans tout", Herr General, la relativité paradoxalement parfaite et le meilleur des mondes improbable mais fort possible, voici venu le temps de s'interroger sur le problème brûlant de l"'identité européenne".

    Vendre l'idée de marché à une clientèle à sec, qui crie : "Remboursez !!", et refourguerait volontiers deux ou trois parlements avec leurs habitants pour récupérer une partie de la dette, voilà qui exige d'avoir fait au moins HEC+polytechnique, et d'avoir répondu à toutes les fiches de "Question pour un Champion".

    Vraiment les Africains devraient se dépêcher d'entrer dans l'Histoire. Ils ne savent pas ce qu'ils perdent et comme la science laïque est fondamentale.

     


  • Ceci est de l'art

    Noté dans une gazette quelconque, à propos des lectures diverses et variées d'Adolf Hitler :

    "(...) Comme ses capacités intellectuelles restent limitées, on a un peu de mal à le croire [Hitler] lorsqu'il se déclare lecteur de Nitche et, surtout, de Schopenhauer. (...)"

    M. Riglet

    On admirera la grâce et le tact du "surtout" employé par l'auteur. Moi ce n'est pas parce que je déteste la philosophie boche que je me sens obligé de prendre Hitler pour un con, ni même pour le plus con de tous les philosophes boches. Après tout, Hitler avec sa swastika résume tout le bouddhisme et l'ataraxie boche d'un signe élégant qui permet de passer vite à autre chose.

  • Ma guerre

    Trois derniers chapitres de mon "Journal de guerre" (version pdf) : janvier, février, mars, dans une version raccourcie.

    marslapinos[1].pdf


    Je ne crois pas avoir jamais vraiment désarmé au cours des quinze dernières années et je me considère donc presque comme un ancien combattant, bien que je sois trentenaire. Simplement mon combat a redoublé d'intensité depuis un an ou deux. Il ne s'agit pas encore de la version définitive de mon Journal que je publierai -si Dieu veut que le temps nous oppresse encore jusque-là-, en septembre prochain.

    Amateurs de poésie et de romans, de rock'n roll, passez votre chemin : de style mon journal n'a pas ; c'est une arme, pointée notamment contre une forme violente d'oppression : la science laïque athée, mensongère dans toutes ses parties, et qui reçoit le soutien positif navrant de nombreux fétichistes chrétiens. Ceux-là préfèrent les clichés glacés du cinéma à la réalité du carnage sanglant auquel la science laïque est mêlée.

    Car ce n'est pas seulement la science économique prospective qu'on a vu s'effondrer il y a quelques mois qui est susceptible de se retourner, comme la Créature de Frankenstein se retourne contre son génial inventeur ; non, le cancer touche tous les membres. C'est sans doute pourquoi aucun des crétins de Princeton, des béotiens nobelisés, labelisés, et leurs mathématiques financières aussi prétentieuses qu'ineptes, n'ont été ne serait-ce qu'inculpés : pour éviter qu'on ne découvre que le roi tout entier est nu, et pas seulement ses extrémités algébriques les plus froides.

    L'ébauche de critique radicale de Simone Weil, dirigée contre Planck et Boltzmann, est en elle-même une véritable bombe lancée contre l'Université, si on y regarde à deux fois. Je ne fournirai le complément solide de la critique de Simone Weil qu'en annexe de la version définitive de mon Journal ; en attendant je crois que les derniers chapitres, surtout les mois de février et mars, donnent une assez bonne idée de l'ampleur de mon révisionnisme scientifique et, surtout, de la largeur du trou noir, de l'épaisseur des bésicles des fouteurs de merde qui grouillent dedans, depuis le sinistre XVIIe siècle de Pascal et de Descartes où tout à commencé, conformément aux écrits prophétiques des plus grands savants de la Renaissance, qui avaient vu les nuages de tempête s'amonceller, présages de la grande misère.



     

  • L'Inquisition laïque

    La "Miviludes" de Georges Fenech, en lutte contre les sectes, endosse le rôle de la Sainte Inquisition autrefois. Le principe d'unité de l'Eglise (catholique), inconnu aux Etats-Unis, est perpétué par la République jacobine française. L'idée de la religion aux Etats-Unis, marquée par le capitalisme, pousse les Yankis à voir plutôt dans les sectes de petites entreprises spirituelles ou des sortes de partis politiques.

    Que leurs analyses des hérésies soient justes ou pas, saint Augustin ou l'Inquisition toujours isolent dans l'hérésie son principe diabolique. L'hérésie est en effet rattachée dans le Nouveau Testament aux faux prophètes mûs par Satan. Presque toutes les hérésies consistent d'ailleurs à nier la Trinité, comme dans la théologie unitarienne rendue célèbre par Isaac Newton ou Charles Darwin, proches de cette Eglise anglaise.

    L'émergence de sectes en provenance des Etats-Unis, prônant ouvertement cette fois le culte de Satan, renforce la comparaison entre l'Inquisition et la Miviludes, qui s'en serait bien passé vu qu'elle est obligée de se tenir, elle, au principe de neutralité.


    *

     

    Les sectes m'ont toujours paru un fantasme de curés laïcs. De toute ma vie je n'ai croisé qu'une paire ou deux de "témoins de Jéhovah", avec qui j'ai volontiers échangé quelques propos de nature oecuménique, étant plutôt curieux de nature ; la "secte lefèbvriste" est aussi un fantasme dans la mesure où ce sont d'abord des questions de personnes et non de théologie qui opposent la secte lefèbvriste à l'Eglise catholique, quoi qu'en disent les deux parties ; on pourrait facilement lire un sermon de Calvin ou de Luther à Saint-Nicolas du Chardonnet ou Notre-Dame de Paris, sans citer l'auteur, et tout le monde n'y verrait que du feu (sacré).

    Deux mormons yankis aussi, avec qui il m'a été impossible de discuter tant leur discours était rôdé d'avance, et vu qu'il n'y a pas de discussion possible avec des représentants de commerce, aussi polis et puritains soient-ils. Tom Cruise quant à lui est un crétin d'Hollywood semblable à tous les crétins d'Hollywood ; si mes yeux ne m'abusent, ses films ne sont ni moins bons ni moins antinazis que ceux d'Harrisson Ford.

    Non, en revanche le danger est grand pour la secte des admirateurs de la République française laïque, secte désormais aussi prospère que sa mère jalousée l'Eglise, d'être gravement blessés ou tués dans quelque mission industrielle ou militaire, sectateurs dont on n'aura pas hésité, pour les convaincre du bien-fondé leur la mission, à bourrer le mou cyniquement. La guerre d'Algérie n'est pas si loin, où les principes sacrés et mystiques de la République coloniale ont vite fait été ramenés par De Gaulle à leur plus simple expression : des puits de pétrole.

    Mourir pour ça, et de mort violente, avec une étiquette de cocu et de tortionnaire, voilà le danger dont visiblement quelques pauvres crétins éduqués trop près de la télé ne sont pas encore à l'abri en 2009.

    J'ai eu de nombreuses fois affaire dans ma vie à des inquisiteurs laïcs, depuis que je suis enfant, qui ont voulu m'inculquer leurs principes sans discuter, me faire abjurer le bon sens des tas de fois : je connais toutes leurs menaces, leurs séductions et chantages variés ; y compris celles des prêtres chrétiens payés pour justifier l'état militaire, aussi incongru que ça puisse paraître. Comme ça n'a pas marché, j'estime être la preuve vivante de l'inefficacité de l'Inquisition.


     


     


  • Saint Marx

    Marx et Engels démontrent, notamment dans leur pamphlet intitulé "La Sainte Famille", que le totalitarisme dérive d'une idéologie de la famille. C'est-à-dire que la sacralisation de l'Etat, ses institutions, ses lois, reprend en les développant les formules de la sacralisation de l'organisation familiale (même si d'un point de vue marxiste, bien sûr, les idées ne sont que des coquilles vides qui ne permettent pas de comprendre la logique tortueuse de l'Histoire). La famille n'est donc pas seulement l'organisation première constitutive de la société civile, sur le plan humain et économique, la "religion de l'Etat" est aussi un ersatz de la religion de la famille.

    La doctrine de G.W.F. Hegel n'est pas moins médiévale ou romaine que celle de Kant en réalité, même si la "statique" de Hegel, prince des philosophes allemands, est dissimulée derrière un principe d'évolution quasiment algébrique ou fonctionnel. Montesquieu n'est d'ailleurs pas plus capable que Hegel, après avoir posé le principe abstrus de la "loi naturelle", d'expliquer clairement quel rapport les lois entretiennent avec la Nature. Le lien qui s'impose à l'esprit entre la loi et l'artifice n'est effacé par Montesquieu qu'à l'aide d'un décret.

    L'analogie entre "l'homme providentiel" du droit laïc, "national-socialiste", et Moïse a déjà été remarquée par tel ou tel historien (A. Hitler lui-même comme certaines de ses notes en témoignent, avait remarqué les connotations religieuses du droit allemand) ; mais les lois de Montesquieu sont elles aussi comme "tombées du Ciel", et l'ésotérisme juridique de Montesquieu précède celui du Souabe Hegel, malgré la différence de style (et le fait que, dans le domaine artistique au moins, Montesquieu émet des idées moins lucifériennes que celles de Hegel.)

     

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    On peut penser qu'en dehors de l'influence de Charles Fourier, ce sont les études grecques de Karl Marx qui l'ont amené à s'attaquer à une idéologie fondamentalement romaine de la famille. Trois idéologies se rencontrent ici : non seulement le droit romain, mais aussi la philosophie allemande par conséquent, sans oublier le droit patriarcal juif, pour donner naissance à la religion dite "judéo-chrétienne", devenue "laïque" sous l'effet d'un certain nombre de spéculations et de conflits d'intérêts. La mythomanie de l'"Europe latine" (cf. Rémi Brague) procède encore du même amalgame. Si la thèse de Rémi Brague n'a pas de consistance historique, en revanche elle en dit long sur notre temps, incapable de comprendre quoi que ce soit en dehors des principes qui le déterminent.

     

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    Pas besoin par ailleurs d'avoir fait des études de théologie très poussées pour savoir que la théorie chrétienne du sacerdoce du prêtre est elle aussi bâtie contre l'institution matrimoniale ; non pas par puritanisme comme les journalistes disent parfois, mais parce que la famille, institution éminemment patrimoniale, se heurte à la vocation spirituelle de l'homme et aux nécessités de l'évangélisation. Les théologiens du sacerdoce n'ont pas pu ne pas remarquer que Jésus exige des apôtres qu'ils quittent tout sur le champ, y compris leur famille le cas échéant.

    Le journaliste C. Terras (de "Golias") n'a pas tort de relever que le sacerdoce lui-même n'est pas exempt de raisons patrimoniales et qu'il a eu parfois pour effet d'empêcher l'éparpillement des biens du clergé ; mais cette remarque n'a pas de sens sans le corollaire que le mariage, lui, ne déborde pas (d'un point de vue chrétien) le cadre patrimonial (même si la généralisation du salariat a eu tendance à gommer, dans l'après-guerre 1939-45 surtout, cet aspect essentiellement patrimonial, dont seul le monde des affaires ou le monde rural conserve la compréhension).

    L'aberration est donc la suivante : non pas d'inciter l'Eglise à abroger le sacerdoce pour une forme d'action plus moderne, mais de l'inciter à abandonner le principe du sacerdoce pour permettre aux prêtres... de se marier, c'est-à-dire d'endosser les conventions et les rites d'une institution particulièrement archaïque et païenne.

    Cette invitation faite à l'Eglise de se moderniser dans le sens du paganisme (!) a d'ailleurs pour effet de montrer que l'idéologie du mariage n'a rien perdu de sa vivacité, bien au contraire, dans le régime laïc totalitaire. Le "mariage gay" est certainement d'un point de vue matérialiste la conception la plus spirituelle du mariage qu'on ait jamais inventé. Les démocrates-chrétiens puritains, disons "boutinistes", qui combattent le mariage homosexuel, éprouvent d'ailleurs beaucoup de difficultés à lutter contre une conception encore plus "fleur bleue" que la leur de la réalité sociale.

     

     

     

     

     

  • Printemps des antipoètes

    Comme la poésie est un divertissement de sénateur romain, les poètes se divisent en myrmidons d'un côté, rétiaires de l'autre.

    Le rétiaire, qu'on appelle parfois "philosophe" pour honorer son caractère un peu guindé, est sous les ordres sacrés de Neptune. Le poète, lui, croit plutôt louer Cupidon, mais porte aussi la parole du Prince.

  • Salut et Salauds

    Déclaration du Colonel Le Nen, commandant les forces françaises d'intervention en Afghanistan : "La guerre est un art."

    Quand va-t-on enfin enseigner à Saint-Cyr et Polytechnique le b.a.-ba du marketing militaire ? Ce gugusse galonné en est resté à un discours de caserne pas très adapté à la télévision française qui s'efforce de démontrer que nous sommes des pacifistes armés (docu diffusé sur M6 qui en dit long sur la farouche niaiserie des officiers de l'armée de terre française, farouche niaiserie dont on suppose qu'elle est censée exciter la sympathie des téléspectateurs, et qui s'accompagne parfois hélas d'un fétichisme chrétien scandaleux.)

    "La guerre est un art." : il n'y a pas des stages où on apprend à dire "Outil de défense nationale" plutôt que "Fusil-mitrailleur" ou "Lance-roquette"? Je suggère plutôt, slogan qui permet d'adresser un clin d'oeil complice à la jeunesse : "La guerre est un art... comme les jeux vidéos!", ou, plus poétique : "Quelle connerie la guerre... quand elle faite par des amateurs."

    Le parachutiste chante : "Saint Michel, ange chevalier...", et il est beaucoup plus malin que ce Le Nen car, en réalité, c'est un dragon-parachutiste.

    "Que celui qui a des oreilles entende ! Si quelqu'un mène en captivité, il sera mené en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la patience et la foi des saints." (Saint Jean, Ap. XIII, 9)