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Mon Journal de guerre - Page 102

  • Souvenirs du futur

    Le Président Lebrun a laissé le souvenir d'un loufoque à l'Elysée. Sarkozy laissera plutôt le souvenir, lui, d'une loufoquerie interprétée comme une preuve de bon sens par le personnel médiatique.

    Quant au dévôt Fillon avec sa tronche de clystère pour annoncer 0,3 % de croissance en 2009, il agit sur moi comme un répulsif, ou le portrait d'un pharmacien par Flaubert. Me vient à l'esprit en l'entendant cette répartie de cour de récréation : "Touche à ton cul t'auras des verrues."

  • Opportunisme

    L'ex-négociateur syndical Marc Blondel ne cache pas son inquiétude : il craint que la crise économique ne pousse de pauvres âmes égarées à se jeter dans les bras de la religion musulmane ou chrétienne, mettant ainsi en péril leurs consciences laïques (de pH neutre).

    Le suicide apparaît comme le moyen le plus sûr et le plus laïc de ne pas se faire piéger bêtement par Dieu ou ses apôtres.

    Et la Révolution dans tout ça ? Les derniers à prendre la Révolution au sérieux, ce sont bien les négociateurs syndicaux comme Blondel, qui de ce point de vue font la paire avec les curés démocrates-chrétiens.

  • La Peau de Chagrin

    "Quand j'étais jeune, je pensais que deux attractions divergentes aboutissent à un compromis libéral, alors que depuis, nous avons pu constater que très souvent l'une d'elle prévaut complètement. Ce qui justifie le Dr Johnson d'avoir pensé que le Diable, non le Tout-Puissant, a été le premier libéral." Bertrand Russell

    Cette observation, de la part d'un représentant officiel du Système capitaliste, est assez exceptionnelle pour être relevée. On imagine mal aujourd'hui un journaliste démocrate-chrétien du "Figaro" ou même un évêque, avouer que le capitalisme ou le libéralisme fait le lit de Satan. J'ajoute que cette citation de Russell est extraite d'un chapitre intitulé "La renonciation à Pythagore". Ce n'est pas la première fois que je constate que les doctrines pythagoriciennes, ionniennes ou éléates servent de caution à des crétins capitalistes : "signe rétrograde du temps", comme dit Engels.

  • God bless the Poors

    Marx se garde de préciser à quelle vitesse la mécanique capitaliste va s'enrayer. Justement parce les statistiques et les probabilités sont exclues de la science marxiste, qui emprunte sa dynamique à Aristote (au moins autant qu'Averroès ou saint Thomas d'Aquin).

    Peut-être Marx a-t-il sous-estimé l'appui fourni par Satan à cette idéologie d'hommes ? Ce n'est pas sûr car il avait lu Balzac pour qui la volonté de puissance des acteurs du capitalisme est clairement d'origine satanique.

    De même aujourd'hui il est difficile pour un catholique d'ignorer l'omniprésence de Satan dans la culture yankie, à côté des références bibliques. C'est particulièrement net dans la musique pop et dans le cinéma. Un "cinéaste catholique", c'est le genre de truc que j'ai du mal à avaler ; je préfère dire "un suppôt de Satan" tant le cinéma est vecteur de destruction de tout art et de toute science. Quant au slogan "rock n'roll", il est évidemment diabolique aussi.

    Mais les deux preuves les plus flagrantes pour moi sont l'emprisonnement d'Ezra Pound, savant mystique, tendre et dur, comme un homme du moyen-âge, peut-être le seul vrai savant né sur le sol des Etats-Unis. Et cette façon proprement odieuse qu'ont les puritains yankis de baptiser leurs "holdings", c'est-à-dire leurs "hold-ups", de noms chrétiens.

  • Feuilleton de la littérature

    Difficile de dire qui de Houellebecq ou BHL a été le plus mal élevé par sa mère.

    Difficile de dénicher dans leur "correspondance" quelque chose qui corresponde à une remarque intéressante sur la littérature. Je m'étonne que deux ans après sa mort on parle encore de Philippe Muray.

    Une seule observation digne d'intérêt et elle est sociale ou "socio-culturelle", c'est le constat par BHL que son paternel était antisémite, c'est-à-dire que pour lui le judaïsme était synonyme, comme pour un catholique, d'archaïsme. Comme quoi le père de BHL avait mieux pigé que sa "bête à concours" de fils le sens des "Mots".

  • Service commandé

    Le gauchiste de service d''Europe 1', Frédéric Bonneau, reproche à Sarkozy de n'avoir pas su orthographier le nom de Barak Obama sur son petit mot de félicitations ; ça doit être encore un fils de connard d'instituteur laïc ce Bonneau (mes bêtes noires avec les bonnes soeurs démocrates-chrétiennes) qui ne sait même pas qu'on peut orthographier à sa guise en français les noms propres étrangers puisqu'ils sont étrangers. Lorsque je vois un Bled ou un Bescherelle, je sors mon arbalète. Je me rappelle mes camarades de classe dans la cour occupés à répéter comme des bonzes leurs conjugaisons et leurs règles de grammaire au lieu de regarder les jambes des filles. Est-ce que ça les a rendu moins crétins ? Apparemment pas.

    A ce qu'on voit la gauche n'est toujours pas prête à laisser passer le moindre détail à la droite. C'est ce qui s'appelle une gauche de combat.

  • Un peu de Science

    "Un peu de Science pour tout le monde", c'est le slogan (laïc) de Claude Allègre. A quoi Francis Bacon répond chrétiennement : "Un peu de Science éloigne de Dieu, beaucoup de Science en rapproche."

    Je ne sais pas si j'arriverai un jour à pardonner à Benoît XVI d'avoir fustigé Francis Bacon. Les fautes de goûts, je le répète, sont impardonnables. Peut-être le pape s'est-il senti visé par l'aphorisme de Bacon ?

  • Y'a bon Obama

    En France, l''obamamania' est d'abord une idéologie de blancs. L'industrie militaire, 'via' ses filiales dans les médias, 'Le Figaro', 'Europe 1', en font des tonnes sur le thème de la victoire du gentil métis noir exemplaire.

    Cette idéologie, c'est typiquement l'idéologie bobo à laquelle la droite, en France, a fini par se convertir : elle consiste à abriter les valeurs bourgeoises libérales derrière les bons sentiments à coloration sociale-démocrate.

    On constate que les pays capitalistes qui ont élu en premier des présidents 'noirs' (Obama n'est pas plus noir que blanc) sont les pays où des lois raciales étaient en vigueur récemment. Si on pousse la logique WASP jusqu'au bout, pour avoir un président noir en France le plus vite possible, le meilleur moyen c'est d'abord d'édicter des lois raciales.

    Ou : étant donné que la France a édicté quelques lois raciales dirigées contre les Juifs pendant la brève occupation d'une partie de la France par les WASP allemands, avec Sarkozy nous avons déjà notre président 'noir' : comme quoi la couleur importe peu et la chanson de Brassens ne vaut pas que pour les jeunes cons et les vieux cons, elle vaut aussi pour les pâles cons et ceux café-au-lait.

  • La Bête à Goncourt

    Le nihilisme peut partir d'un bon sentiment romantique, au bout du compte ce qu'il y a de plus nul dans le nihilisme, c'est le nihiliste : BHL ou Houellebecq, qui prétendent compenser le Néant de leurs poésies par leurs Êtres télévisuels.

    Chateaubriand qui mit la littérature à l'encan trouve en BHL et son compère des héritiers fidèles qui ont opté pour une SARL.

    L'impressionnable jury Goncourt, somme de demi-crétins à côté de la plaque, faute de matière pourra toujours se rabattre sur la proposition inédite qu'on lui suggère : la bête à Goncourt à deux têtes.

  • Déjà morts

    Le problème de type comme Philippe Sollers ou BHL, c'est que leurs vies ont déjà été racontées par Balzac de A à Z. Autrement dit ils sont nuls et advenus. Il ne leur reste plus qu'à exister aux dépends des autres et de programmes de télé moins emmerdants comme "La Vie des Bêtes".

  • Philologie

    Dans le langage laïc, une banque est considérée comme une "personne morale". Sinon à part les crétins qui ont placé leur argent à la Caisse d'Epargne, tout le monde sait que la réputation de l'écureuil et de faire des provisions, de les planquer... et puis de ne plus jamais les retrouver.

  • L'hypocrisie Nuremberg

    Evidemment les industriels français ou allemands sont passés presque tous "à travers" le procès de Nuremberg, dont le principal effet a été de blanchir à bon compte le monde industriel.

    Mais c'est sans doute lorsqu'on examine la liste des prix Nobel de Physique et de Chimie que la continuité entre le régime nazi et l'idéologie yankie est la plus flagrante.

    Le plus cocasse, c'est que le plus nazi des Nobel, Fritz Haber, prix Nobel de Chimie en 1918, est l'inventeur d'un "grisoumètre" destiné à détecter les coups de grisou dans les mines de charbon et préserver autant que possible des vies de mineurs. Il entre sans doute assez peu de philantropie là-dedans, mais lorsqu'on sait les applications qui ont été tirées des recherches de Pierre et Marie Curie ou des ingénieurs français Potez ou Dassault ultérieurement, il n'est pas interdit de faire des comparaisons et de voir dans le régime gaulliste un pastiche du régime nazi. Je ne suis pas un anti-américain primaire.

  • Haute Définition

    Une définition du "pragmatisme libéral" : Judas Iscariote. Un véritable traître n'hésite pas à se renier lui-même.

  • Twin Towers

    Il faut voir tous ces profs d'économie à Paris-Dauphine ou Sciences-po., les énarques libéraux, la légion des fonctionnaires du capitalisme sortir des bureaux ou des salles de cours aseptisés, et envahir les plateaux de télé pour tenter de minimiser la faillite, leur faillite.

    Car la faillite financière est bien sûr secondaire. Au premier chef, c'est une faillite intellectuelle : la chute des cours boursiers entraîne avec elle une quinzaine de prix Nobel d'économie. Non seulement Milton Friedman, mais aussi John Harsanyi, Thomas Schelling, etc., autant de dangereux cinglés nobélisés par les augustes crétins de Stockholm. Le pire d'entre ces prix Nobel est sans doute John Nash, issu de la pépinière de tarés de Princeton, récompensé pour avoir eu l'idée d'appliquer à l'économie les lois du poker.

    A côté de ces criminels de guerre économique, notre cartomancienne nationale Jacques Attali, une carte "plus" dans la manche gauche, une carte "moins" dans la manche droite, peut presque passer pour un véritable savant.

     

     

  • Marx pour les Nuls

    Il y a entre la dialectique de Hegel et celle de Marx la différence qu'il y a entre l'arche de Noé et une cathédrale gothique. La philosophie laïque de Hegel est une philosophie du Déluge. Sa Nef, une Nef des fous. On aura beau chercher, on ne trouvera pas de clef de voûte chez Hegel. Ni dans sa philosophie du Droit, ni dans ses cours d'esthétique, nulle part. Hegel colmate.

    Les arcs de la science marxiste ne tendent pas, eux, vers le Déluge mais vers l'Apocalypse.

    Mais pourquoi Hegel ? Pourquoi évoquer encore ce ringard ? Parce que nulle théologie laïque n'est plus complète que celle de Hegel. Le consensus quasi-général en France autour de Napoléon-le-Sanglant, à commencer par des parodies d'historiens comme Max Gallo, Alain Minc, à quoi il faut ajouter des parodies tout court comme D. de Villepin ou E. Zemmour, de quoi ce consensus est-il le nom si ce n'est de Hegel ?

    A tel point que la plupart des marxistes en France ne sont pas marxistes mais hégéliens, à commencer par les consternants Derrida et Balibar, acharnés à trahir Marx de l'intérieur, instruments les plus sophistiqués que l'Université française sociale-démocrate ait conçu contre Marx.

    Je lisais récemment dans une revue minable, "Le Magazine littéraire" je crois, véritable torche-cul insipide, un crétin allemand s'étonner que Hegel et Nitche soient moins lus en Allemagne qu'en France. Tout le monde sait bien qu'il n'y a aucun pays au monde où le national-socialisme est plus mal vu qu'en Allemagne, et toutes les idéologies qui s'en rapprochent n'y sont pas en odeur de sainteté. Tandis qu'en France, de Gaulle n'est pas perçu comme un dictateur laïc de seconde zone (par rapport à Franco ou Pinochet), mais comme un humaniste de premier plan !

  • Première fois

    Augustin Legrand, des "Enfants de Don Quichotte", à la télé : un type qui passe à la télé pour la première fois, même s'il n'a pas grand-chose à vendre, il est forcément "à cran" comme une pute qui reçoit son premier client.

  • Transparence

    Pour plus de transparence, il serait bon que le président de la télévision publique soit nommé directement par l'Elysée. (Comme s'il n'était pas parfaitement clair que Patrick de Carolis est une caricature de journaliste chiraquien, s'exprimant comme un chiraquien, avec des goûts de chiraquien et une culture de chiraquien, à peine moins caricatural que D. de Villepin et son panache blanc, mi-bière-mi-limonade.) Pour plus de transparence il faudrait aussi que les salaires de Sarkozy, Fillon et Carla Bruni leur soient directement versés par Bouygues, Lagardère, Dassault, etc., et non par le "contribuable".

    Même si Sarkozy reflète bien la bêtise d'un patronnat français qui ne sait même plus choisir ses employés. Il est évident que la gauche, supportée par l'intelligentsia bobo, constitue une meilleure sécurité pour l'oligarchie, qu'elle est plus apte à endormir l'électorat, à bercer les chômeurs d'illusions et de RMI. D'où la métamorphose habile de Chirac dont Sarkozy ne paraît pas capable : en plein braquage de banques par des cols blancs-costards rayés, Sarkozy n'hésite pas à tancer publiquement des fonctionnaires qui réclament deux ou trois pour cent d'augmentation de salaires et à les attaquer sur le terrain de la... morale.

     

     

  • Marx pour les Nuls

    L'affirmation comme quoi "la Femme est la pire ennemie de la Femme" fait écho selon moi à l'axiome de Marx selon lequel "le Capital est le pire ennemi du Capital".

    Dans la société patriarcale juive ou prostestante, musulmane, la femme joue un rôle décisif dans la perpétuation du patriarcat par le biais de l'éducation des enfants de sexe mâle. Le code moral juif, protestant ou musulman est inculqué aux jeunes garçons dès leur plus jeune âge par leurs mères.

    Le patriarcat repose autant sur les femmes que sur les hommes, si ce n'est plus. Lorsque la loi interdisant le voile fut promulguée, par exemple, provocation de la part de Jacques Chirac pour détourner l'attention de la corruption au plus haut niveau de l'Etat, alors on vit surtout des femmes musulmanes affronter le clergé laïc déchaîné. On se souvient notamment de deux soeurs d'origine juive converties à l'islam, trimballées sur tous les plateaux de télé par leur père de confession laïque, vantant le voile comme le meilleure remède contre la prostitution capitaliste.

    Qu'en est-il de la femme laïque, la femme féministe, censée être l'antithèse de la femme au foyer, cet être quasi-générique, fée du logis sans grande individualité ni sexualité et à laquelle les jeunes Juifs ou les jeunes musulmans, les jeunes protestants restent souvent particulièrement attachés jusqu'à un âge avancé de leur vie ?

    On voit bien qu'il s'agit là d'une parodie de féminité. Sylviane Agacinski, par exemple, avec ses petites fiches de philosophie peut bien essayer de faire oublier qu'elle doit tout à la notoriété de ses compagnons successifs, Derrida et Jospin, il n'est pas certain qu'elle parvienne à s'abuser elle-même.

    Le féminisme laïc n'est qu'une attitude réactionnaire vis-à-vis du régime patriarcal. Quel plus bel exemple que le droit de répudiation, apanage exclusif de l'homme dans la société de droit patriarcal, accordé désormais aux femmes par le divorce laïc ? Toute la profonde stupidité de la religion laïque est dans cet exemple, ainsi que dans les philosophies existentialistes de Nitche ou Kierkegaard, tous ces pasteurs chrétiens avortés, reconvertis en pasteurs laïcs et qui ne croient qu'en un seul dieu : leur mère.

    Si le féminisme est plus redoutable encore que le patriarcat, c'est parce qu'il est un archaïsme hypocrite, déguisé. Et rien ne peut dégoûter plus un homme de la modernité que sa parodie laïque capitaliste.

    Qu'est-ce qui peut bien dans ce cas préserver la femme d'aller se jeter sur l'un de ses deux écueils, tant que les législations archaïques ou laïques s'imposent ? La Science. Dans le cas exceptionnel d'une femme moderne telle que Simone Weil, on voit bien que ce qui l'a préservée des dangers d'une éducation laïque, c'est la science. Le cinéma et les romans de Proust, susceptibles de faire même d'un homme une femelle, sont à proscrire absolument de l'éducation d'une femme, portée naturellement à se vautrer dans la fiction. Si Sarkozy a eu un mot intelligent dans toute sa carrière, il est involontaire et c'est contre "La Princesse de Clèves".

    Un autre exemple c'est la méthode de Marx qui consistait à faire apprendre par coeur à ses filles de longs extraits de Shakespeare ou de Dante.

     

  • Vous avez dit 'victimisation' ?

    Encore une fois les derniers qui reprocheront à Jean-Marc Rouillan d'avoir assassiné Georges Besse, c'est les centaines de milliers de victimes de l'industrie automobile et du pneu Michelin au cours des dernières décades.

    Le reproche qu'un communiste comme moi ferait plutôt à Rouillan, c'est d'avoir assassiné un industriel en faisant usage d'une arme de fabrication industrielle. Ces armes ont précisément pour but de déresponsabiliser ceux qui s'en servent, comme tout ce qui est issu du processus industriel.

    Ainsi un pilote d'avion de chasse français déchargera ses bombes sur un village afghan avant de retourner boire un coup avec ses potes, comme si de rien n'était. Si les guerres d'avant le capitalisme et la polytechnique duraient moins longtemps, c'est aussi parce que les mecs la faisaient pour de bon. Il est vrai que Rouillan, je crois, a déchargé son arme à bout portant. Il a osé regarder sa victime en face.

  • Coureur de fond

    Pour maintenir ma haine du judéo-christianisme et de la religion laïque intacte, pour ne pas tomber dans le sentimentalisme d'une façon ou d'une autre, le meilleur moyen que j'ai trouvé, c'est d'écouter "Europe 1" quelques minutes chaque jour. Dès le matin, cette radio me file des brûlures d'estomac, un bon coup de fouet. Comme ça je n'ai pas besoin d'aller à Lagardère, c'est Lagardère qui vient à moi avec des gros sabots.

    Il y a même un faux gauchiste, Frédéric Bonnot, censé faire croire à l'indépendance de la station.

    De tous, celui qui me donne le plus envie de lui planter entre les deux yeux le couteau que j'ai entre les dents, devant même cette vieille ganache caricaturale de Philippe Tesson, c'est le dénommé Jean-Louis Basse, supporteur de football ET amateur de littérature contemporaine : un "cumulard".

    "Les vilains nazis" par-ci, "le méchant Hitler" par-là, ce mec n'a que ça à la bouche ! A qui croit-il faire oublier qu'il bosse pour le compte de Lagardère, un fabriquant d'armes de destruction massive régulièrement déversées sur des populations civiles innocentes ? Les francs salauds sont plus sympathiques.